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Concombre masqué - 31 mai 2011 - La souche d’Escherichia coli contaminante est inconnue

mardi 31 mai 2011, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 31 mai 2011).

Quand la souche d’une bactérie est inconnue, la question se pose de savoir s’il s’agit d’une nouvelle souche fabriquée artificiellement par l’homme grâce à la haute et bienveillante technologie OGM :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1162

Quatorze décès dus à E. coli en Allemagne, l’épidémie se répand

http://fr.news.yahoo.com/quatorze-d…

BERLIN (Reuters) - L’épidémie due à des concombres contaminés par la bactérie Escherichia coli, qui a fait 14 morts et touche plus de 300 personnes en Allemagne, s’est répandue dans plusieurs pays du nord de l’Europe et devrait prendre de l’ampleur dans les jours qui viennent.

Les autorités redoutent que le nombre de cas n’augmente, a dit Oliver Grieve, du Centre médical de l’université du Schleswig-Holstein, Land du Nord où de nombreux malades sont soignés.

La souche de la bactérie en question, décelée dans des concombres importés d’Espagne, est inconnue, ont fait savoir les autorités, avant une réunion de crise à Berlin.

On ignore si les légumes ont été contaminés sur le lieu de production, pendant le transport ou en Allemagne même.

Trois cas ont été signalés en France. D’autres ont été décelés en Grande-Bretagne, au Danemark et 36 cas ont été recensés en Suède.

Tous les malades, atteints d’un syndrome hémolytique et urémique (SHU), qui affecte le sang, les reins et, dans les cas graves, le système nerveux, ont effectué des séjours en Allemagne.

Selon le Centre européen pour la prévention et le contrôle des maladies (CEPCM), basé en Suède, il s’agit de l’une des plus importantes épidémies de STEC/SHU jamais recensées à travers le monde et de la plus grave épidémie de ce type en Allemagne, où 60 cas sont recensés en moyenne chaque année.

Cent quinze cas confirmés de contamination et 82 SHU ont été dénombrés au Centre médical de l’Université de Schleswig-Holstein, a poursuivi Oliver Grieve, soulignant que le total avait doublé en quelques jours. Pour la seule ville de Hambourg, le bilan est de 488 contaminations et 94 SHU.

INCUBATION DE SEPT À 15 JOURS

Les autorités allemandes ont déconseillé à la population de consommer des concombres, des tomates et de la laitue et certains de ces produits ont été retirés des étals.

"Puisque les experts en Allemagne et en Espagne ne parviennent pas à définir l’origine de l’agent avec certitude, l’alerte générale pour les légumes reste en vigueur", a déclaré dimanche le ministre allemande de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Protection des consommateurs, Ilse Aigner,

L’Espagne a dit lundi que rien ne prouve que l’épidémie soit due à des concombres espagnols et le secrétaire d’Etat à l’Union européenne, Diego Lopez Garrido, a annoncé que Madrid allait demander des explications aux auteurs de ces allégations.

Les exploitations maraîchères d’Andalousie, dans le sud de l’Espagne, perdent entre sept et huit millions d’euros par jour depuis que, la semaine dernière, les autorités allemandes ont lié la maladie à des concombres espagnols.

L’agence de sécurité alimentaire autrichienne a ordonné le rappel des concombres, tomates et aubergines bio cultivées par le producteur espagnol soupçonné d’être à l’origine de la contamination. Elle a précisé que 33 grands magasins autrichiens étaient affectés.

En France, les autorités ont fait savoir que la situation était sous surveillance, la bactérie ayant une période d’incubation de sept à 15 jours.

L’Institut national de veille sanitaire (InVS) recommande aux médecins hospitaliers ou libéraux français ayant diagnostiqué une diarrhée hémorragique ou un SHU survenus depuis le 20 avril chez des patients ayant séjourné en Allemagne dans les quinze jours précédant le début des symptômes de les signaler à leur agence régionale de santé.

Jean-Philippe Lefief et Nicole Dupont pour le service français, édité par Gilles Trequesser

8 Messages de forum

  • En ce moment, vaut mieux éviter les légumes et manger plus de viande.

    À l’époque de la vache folle, on nous avait fait tout un tas de propagande pour nous faire devenir végétariens. soit-disant que c’était mieux pour la santé, car moins pollué ; alors que, pourtant, dans les fruits et légumes, il y a plein de pesticides et d’insecticides etc.

    Mais alors là, si en plus il y a des bactéries mortelles dans les légumes, et de plus de souches inconnues…

    Je diminue les légumes et me remet à manger autant de viande qu’avant. D’autant plus qu’il n’y a plus de vaches folles depuis longtemps.

  • Quand la souche d’une bactérie est inconnue, la question se pose de savoir s’il s’agit d’une nouvelle souche fabriquée artificiellement par l’homme grâce à la haute et bienveillante technologie OGM :

    http://mai68.org/spip/spip.php?article1162

    • Ceci est très possible, puisque les concombres contaminés étaient stoqués dans la région de Hambourg où se situe un laboratoire de "haute sécurité" destiné de faire se reproduire les microbes les plus dangereux, tels les virus de classe 4 comme Ébola par exemple, afin de faire diverses "expériences".

      De tels laboratoires sont très rares…

      Comme par hasard, une souche inconnue de la bactérie Escherichia coli apparaît non loin d’un tel labo… On comprend que les Allemands aient des doutes sur le fait que la bactérie qui contamine les concombres vienne d’Espagne. D’autant plus que, comme par hasard, tous les malades sont passés par l’Allemagne. Sans exception à ce jour !

      Source pour le labo de hambourg : Infections virales émergentes

      http://revue.medhyg.ch/print.php3?s…

      Extrait :

      Les virus de classe 4 sont des pathogènes qui demandent un niveau de sécurité maximal pour leurs manipulations ainsi qu’une législation extrêmement stricte. Moins d’une dizaine de laboratoires dans le monde remplissent les conditions draconiennes de sécurité nécessaires pour procéder au diagnostic d’un patient, pour étudier ces agents ou pour développer des tests diagnostiques. Ces règles strictes sont compréhensibles, sachant que pour pouvoir réaliser ces deux dernières activités par exemple, ces virus doivent être multipliés à des millions d’exemplaires à l’aide de cellules en culture ou d’animaux, avec tous les risques potentiels que cela comporte. La majorité de ces laboratoires habilités se trouvent aux Etats-Unis, mais plus près de chez nous, le Bernhard Nocht Institute à Hambourg ou le laboratoire P4 de l’INSERM à Lyon sont aussi actifs dans ces domaines. »

      • Il y a déjà eu au moins un accident dans ce laboratoire de Hambourg.

        source : Accident de recherche sur le virus d’Ebola : une chercheuse en quarantaine

        17 mars 2009

        http://www.google.com/hostednews/af…

        Extrait :

        Une chercheuse a été placée en quarantaine après s’être piquée avec une seringue qui avait contenu le virus de la fièvre mortelle Ebola, a annoncé mardi la clinique universitaire de Hambourg.

        La chercheuse, qui travaille dans un laboratoire de haute-sécurité à l’Institut des maladies tropicales de Hambourg, s’est piquée jeudi à la main à travers ses gants de protection, a précisé la clinique dans un communiqué.

        "Comme elle ne montrait à ce moment-là aucun symptôme, il n’existe aucun risque de contamination pour les personnes qui ont été en contact avec elle", souligne l’établissement.

        La souche du virus qui était contenue dans la seringue étant mortelle à 90% et "en l’absence de tout moyen prophylactique ou de traitement, il a été décidé, en accord avec des experts internationaux, de lui appliquer un protocole personnalisé, basé sur un vaccin testé avec succès au stade pré-clinique aux Etats-Unis", poursuit la clinique.

      • De plus ce qui est curieux, c’est la virulence de cette bactérie. Jamais aucune souche de cette bactérie ne l’avait été autant.

        Normalement, c’est une bactérie inoffensive. On en a tous des milliards dans notre corps !

    • Depuis 15 ans les savants nous alertent au sujet de l’évolution des bacilles et des virus qui pourraient devenir particulièrement virulents… Sans doute à cause de la radioactivité ambiante, les mutations s’accélèrent dangereusement et cela fait peur.
      Les manipulations génétiques du vivant ont déjà créé des monstres, des horribles chimères, et aujourd’hui la radioactivité se répand toujours dans l’océan et dans l’atmosphère sachant que les ingénieurs japonais sont incapables d’arrêter la réaction en chaine qui continuent sous les 3 réacteurs en fusion de Fukushima-Daiichi

      2012 : Contamination radioactive de la chaîne alimentaire planétaire

  • Question à C dans l’air du 31 mai 2011 :

    « Culture bio = engrais naturel = excréments = Escherichia Coli. vive le bio ? »

    (Explication : Escherichia coli se trouve à l’état naturel dans les intestins de tous les animaux et est normalement inoffensif)

    Réponse :

    Et si cette bactérie d’une toute nouvelle souche inconnue jusqu’alors avait été commanditée et jetée volontairement sur des concombres bio par des industriels de l’agro-alimentaires pour faire de la propagande anti-bio ?

  • Escherichia coli sur Wikipedia

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Escher…

    Extraits :

    Découverte en 1885 par Théodore Escherich

    E. coli constitue alors tout au long de la vie de l’hôte l’espèce bactérienne dominante de la flore aérobie intestinale. E. coli est sans doute l’organisme vivant le plus étudié à ce jour : en effet, l’ancienneté de sa découverte et sa culture aisée (division cellulaire toutes les 20 minutes à 37 °C dans un milieu riche) en font un outil d’étude de choix. La profusion de publications scientifiques qui la mentionnent en témoigne, et elle joue le rôle de « cheval de labour » dans tous les laboratoires de biologie moléculaire.

    Remarque : la biologie moléculaire est la science des OGM (Organisme Génétiquement Manipulés)

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