Après le “socialiste” Papandréou en Grèce, c’ est l’Italien Berlusconi qui fout l’camp.
“Socialiste” ou autre chose, c’ est le même procédé, la même politique, au service des multinationales toute puissantes, des banquiers, … : ils appliquent les directives de l’ Euro-dictature, du Fmi, de la BCE, l’ austérité, les restrictions contre leur peuple,
démissionnent ensuite, provoquent des élections, mais leur sale travail reste.
Des élections, un nouveau premier ministre, un autre gouvernement, “socialiste” ou conservateur, élargi aux nationalistes, à l’ extrême-droite, pour remplir des ventres de plus en plus vides, donner du travail, éloigner la misère (???). Bien sûr que non…
C’est le règne de la lâcheté et de l’hypocrisie chez ceux qui se font élire pour gouverner … Ils appellent cela l’ alternance démocratique … Rien d’ étonnant à ce que dans l’ ensemble de l’ Euro-dictature, de moins en moins d’ électeurs dégoûtés se présentent dans les bureaux de vote. Lorsqu’un parti réunit 35 %, voire même 51%, de 50-60 % de votants sur l’ensemble des électeurs inscrits, il se coalise avec un autre parti et dirige donc au nom de qui ???
C’est de plus en plus le règne des particrates et des faux jetons … Ils ne sont nécessaires que pour tenter de sauver le capitalisme de plus en plus décadent, tenter de le rendre comestible chez des millions de gogos qui mordent encore malheureusement à l’hameçon…
RoRo
RSS 2.0