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Bachar el-Assad - 29 août 2013 - LA SYRIE SE DÉFENDRA !

jeudi 29 août 2013, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 29 août 2013).

La Syrie se défendra" ! (Assad)

IRIB- le président Assad a rencontré il y a quelques heures une délégation yéménite. "La Syrie se défendra contre toute agression", a martelé le président Assad cité par la télévision d’État.

"Les menaces de guerre proférées contre la Syrie renforcent notre engagement envers nos principes, a affirmé le président au cours de sa rencontre avec les députés et les dirigeants politiques yéménites membres de cette délégation. "Notre décision à nous défendre est une décision souveraine et indépendante"


Le président al-Assad à une délégation yéménite : la Syrie se défendra contre toute éventuelle agression

http://sana.sy/fra/51/2013/08/29/499856.htm

29 Août 2013

Damas / Le président Bachar al-Assad a affirmé aujourd’hui que la Syrie se défendra contre toute éventuelle agression.

Lors de sa rencontre avec une délégation yéménite regroupant nombre de députés et de chefs des partis, le président al-Assad a fait noter que les menaces de lancer une agression contre la Syrie renforcera son attachement à ses principes et à sa décision autonome issue de la volonté de son peuple.

Le président al-Assad a assuré : "La Syrie, par son peuple ferme et son armée intrépide, est résolue à s’en finir avec le terrorisme soutenu par Israël et certains pays occidentaux qui œuvrent à effriter la région et à faire plier ses peuples".

Soulignant que la sensibilisation du peuple arabe est un élément essentiel dans l’affrontement des plans qui visent la région, que le Peuple est la garantie de la victoire, la chose qui se passe en Syrie, et qu’il est l’artisan des relations entre les pays.

De leurs côtés, les membres de la délégation ont apporté leur soutien à la Syrie face aux tentatives visant à porter atteinte à sa position et à son rôle soutenant la résistance et le nationalisme.

Ils ont estimé que la fermeté et la victoire de la Syrie sont celles de la nation arabe.

L.W. / L.A.

21 Messages de forum

  • Une attaque contre la Syrie, dès jeudi soir (Maariv)

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    Jeudi, 29 août 2013 12:40

    IRIB-Ce soir les avions de combats US frapperaient la Syrie a prévu le quotidien du régime sioniste Maariv.

    Quelques heures avant le déclenchement de l’attaque les Etats-Unis informeraient Israël, dit le journal. Par ailleurs, des centaines d’israéliens ont fait la queue devant le centre de distribution de masque à gaz à Tel Aviv. Des centaines d’israéliens ont fait ce matin la queue pour se procurer un masque à gaz dans les points de distribution, a-t-on appris de Farsnews. Le front interne israélien n’est pas prêt à faire face à une attaque au missile chimique éventuelle, a révélé Maariv. 40 % des israéliens ne dispose pas de masque à Gaz, a ajouté le quotidien.

  • Guerre /Syrie : De quoi les USA ont-ils exactement peur ?

    http://french.irib.ir/info/internat…

    Jeudi, 29 août 2013 12:00

    IRIB- Le journaliste libanais Abrahim Al Amin fait remarquer dans un article publié par Al Manar un point à retenir :

    « À chaque fois que les États-Unis et l’Europe cherchent à commettre un crime, ils se demandent d’abord quelle sera la réaction de la victime ! depuis qu’ils ont annoncé vouloir attaquer la Syrie, EU/UE ne cesse de demander quelle sera la réaction de la Syrie, du Hezbollah, de l’Iran … les agresseurs font montre en effet d’une certaine crédulité quand ils demandent à ce que les victimes baissent les bras et leur lancent : "allez tuez-moi" !! mais le fait que les victimes veuillent se défendre offusque ces bourreaux . ils vont jusqu’à attendre que la proie accompagne le prédateur, lui rende la tâche plus facile et qu’elle se taise pour se faire mieux manger ! »

    L’auteur fait remarquer comment "l’opposition de l’opinion publique euro-américaine à la guerre contre la Syrie fait l’objet d’un black out médiatique" et "comment les médias dominants évitent de faire l’écho des propos de ceux et celles des parlementaires européens qui s’opposent à la guerre et mettent en garde contre un bourbier plus grand que celui de l’Irak et de l’Afghanistan"

    « À ceci ajoute l’avis des experts militaires dans ces États qui ne sont pas parvenus à un consensus sur la nécessité d’attaquer la Syrie. la seule voix reflétée par ces médias est celle de ces dirigeants politiques inféodés qui ont soudain conclu à la culpabilité d’Assad et veulent punir un "criminel" qu’ils accusent sans preuve. Ainsi ils se veulent à la fois juge et partie »

    Le journaliste se réfère ensuite aux informations qui font état "d’une certaine hésitation" , d’un "certain doute" qui s’installe dans le camp occidental . "Il s’agit peut être d’une manœuvre destinée à mieux coordonner l’action guerrière mais il se peut aussi que çe soit l’expression d’un besoin de repenser, de revisiter tout ce que les occidentaux ont dit et ont fait ces derniers jours en vue de mieux comprendre et entrevoir la réaction de la victime"

    « Ce que les occidentaux veulent savoir, c’est quelle sera l’ampleur de la réaction syrienne : sera-t-elle vaste ou limitée ? c’est surtout la réaction du Hezbollah qui inquiète au plus haut point le camp occidental. cette question à la quelle le Hezbollah n’a pas répondu se pose à trois niveau : la sécurité d’Israël, la sécurité des forces internationales au Liban et la sécurité politique et militaire des pays occidentaux. Le Hezbollah garde le silence. il n’est pas après tout obligé de prendre une position claire à ce stade des choses. Mais quelques remarques s’imposent :

    Dans le contexte actuel des choses, il faut se rappeler que le Hezbollah fait partie d’une coalition dirigée par l’Iran. Le Hezbollah a des liens viscéraux avec l’Iran et les recommandations du Guide Suprême iranien décident de son action. Ce dernier vient de mettre en garde contre une "catastrophe régionale" qui s’étendra à "toute la région" si la Syrie est attaquée. Ces propos sont interprétés par des analystes comme signe de la volonté iranienne de défendre coûte que coûte la Syrie face à l’agression.

    Un second point est le suivant : le Hezbollah est entièrement impliqué dans la crise syrienne, car il est en guerre contre les takfiris. Le Hezbollah a perdu des dizaines de ses membres dans cette guerre anti-takfirie. Et d’ailleurs, il ne peut pas en être autrement dans la mesure où l’un des objectifs patents de la guerre contre la Syrie c’est de porter atteinte à la résistance. Le Hezbollah le sait depuis longtemps et il s’y est préparé.
    donc les Américains et leurs alliés qui se sentent quelques peu intrigués par le silence de Nasrallah pourront être sûrs au moins d’une chose : la réponse du Hezbollah est préparée depuis longtemps, mais il est fort possible qu’elle soit une grosse surprise par ceux qui vont la recevoir…..

  • Voici une carte ethnique de la Syrie pour ceux qui veulent croire qu’en syrie, il s’agit d’un confli ethnique sunnites contre chiites ou alaouites. Ce qui est faut, l’immense majorité des sunnites soutenant Bachar, dont l’armée est d’ailleurs très majoritairement composée de sunnites !

    Cliquer sur l’image ou sur le lien ci-dessous pour l’avoir en plus grand.

    http://mai68.org/spip/IMG/jpg/Syrie_carte_ethnique.jpg

    Cette carte a été élaborée par l’Université de Colombie, d’après un article IRIB, sans qu’il soit précisé de quelle colombie il s’agit. Voici maintenant ci-dessous cet article avec lequel je ne suis pas du tout d’accord, parce que, justement, il tombe dans le piège ethnique.


    Messieurs, attaquer la Syrie n’est pas une plaisanterie !

    http://french.irib.ir/analyses/arti…

    Jeudi, 29 août 2013 11:12

    IRIB- A présent que les Etats-Unis battent le tambour de la guerre contre la Syrie,

    dirigeant une attaque limitée depuis la mer en représailles au recours à l’arme chimique contre les civils syriens, vous devrait avoir entendu à maintes et maintes reprises cette phrase à propos de ce pays : « la Syrie est un pays très compliqué ». Cela n’est pas une plaisanterie, il suffit de jeter un coup d’œil sur la carte ci-dessous pour en avoir une idée. Cette carte a été élaborée par l’Université de Colombie et montre les différents groupes ethniques et linguistiques dans la région du Moyen-Oirent, qui sont en Syrie, au Liban et en Palestine occupée. Chaque couleur est le symbole d’un groupe. Comme vous pouvez le constatez les différents groupes s’y sont enchevêtrés dans cette partie.

    Certes les faiblesses ethnique et linguistique représentent une partie de la donne compliquée de la Syrie, il y en a de nombreux autres cas. Le plus grand groupe ethnique du pays sont les arabes sunnites qui sont marqués par la couleur jaune sur la carte. Les Kurdes avec le brun clair. Les autres ethnies sont les druzes, les arabes chrétiens, les arméniens…

    La Syrie est dirigée par les alaouites, une école de l’Islam qui comprend Bachar Assad et un grand nombre de personnes parmi la sphère qui lui est proche. Les alaouites résident sur le pourtour méditerranéen et sont marqués par un vert-gris sur la carte. Quoique les alaouites constituent 12% de la population syrienne, ils ont pourtant joué un rôle important dans cette guerre, en soutenant le gouvernement Assad. La première raison pour l’effondrement de la Syrie comme le dit, Farid Zakaria, c’est que la Syrie, à l’instar de nombreux pays moyen-orientaux et africains, a des frontières factices qui étaient démarquées par les puissances colonialistes européennes. Une telle tactique embrasait les clashs tribaux et ethniques. De même la gouvernance d’une minorité sur la majorité conduit ces pays vers le basculement de l’équilibre de force. Quoique Bachar Assad ne soit pas arrivé de cette manière au pouvoir, c’est son père qui est arrivé au pouvoir par un coup d’état. Cependant la thèse de Zakaria précise que ce que nous constatons en Syrie, c’est-à-dire la reprise du pouvoir par les arabes sunnites de la minorité alaouites, est d’une manière la sauvegarde inévitable du pouvoir via les lignes ethniques et religieuses. Zakaria compare une telle situation avec celle de l’Irak 2003 ; à cette époque-là la majorité chiite a pris le pouvoir de la minorité sunnite à sa tête Saddam. Cela peut expliquer pourquoi la plupart des massacres qui ont lieu en Syrie sont d’ordre ethnique.

    Dans cette perspective, personne ne peut rien faire pour mettre fin aux tueries, c’est un processus douloureux qui serait impossible d’arrêter.

    Le second angle à travers lequel on peut regarder l’affaire c’est qu’en premier lieu c’est une guerre et en second lieu un conflit interethnique. Les hostilités ethniques et confessionnelles font rage depuis de longues années à l’Orient notamment en Syrie. Ce qui est en train de se passer, c’est que cette guerre pourrait être déclenchée pour des raisons politiques : le peuple a manifesté contre l’ordre au pouvoir, l’ordre a mis sous pression les protestataires de sorte que la situation est devenue hors du contrôle pour aboutir à une guerre civile. Mais la guerre a fait que les populations reprennent leurs hostilités ethnique et identitaire, de sorte que les divergences anciennes s’empirent et s’approfondissent. Néanmoins, les conflits sectaires pourraient avoir leur propre logique pour les alimenter : les alaouites se sont unis par crainte, ce qui n’est pas sans raison. Ils sont inquiets qu’en cas de la chute d’Assad, ils soient massacrés par les sunnites. Les sunnites, quant à eux, en voyant les miliciens alaouites, pensent que tous les alaouites sont leurs ennemis ; par conséquent ils attaquent les alaouites. Ce qui persuade les autres alaouites de s’engager dans les milices.

    Certes, on ne peut pas définir par une théorie une chose aussi compliquée que les conflits interethnique dans un pays qui est une mosaïque de groupes ethnique et confessionnel. Il y a probablement de nombreux autres éléments derrière les événements qui se passent en Syrie ; nonobstant cette carte s’avère utile pour comprendre cette affaire.

  • L’Iran fabrique des « radars passif »

    http://french.irib.ir/info/iran-act…

    Jeudi, 29 août 2013 11:39

    IRIB-Grâces aux efforts menées par mes spécialistes de l’industrie défensive, la RII figure désormais parmi les fabriquant des « radar passif ».

    Ce radar sera dévoilé à l’occasion de la semaine de la défense sacrée. Ces dispositifs exploitent des sources d’ondes déjà présentes dans les environs. Ils sont notamment indétectables et peu coûteux. Un radar passif n’émet pas lui-même d’ondes : il exploite des émetteurs déjà présents dans les environs, telles des antennes-relais pour la radio, la télévision ou la téléphonie mobile. En comparant les signaux provenant directement d’un émetteur avec les signaux issus du même émetteur et qui ont été renvoyés par des objets en mouvement (ici un avion furtif, qui aurait pu être hors du champ de vision), le radar passif détermine la position, la direction et la vitesse de ces cibles. Dans un radar classique, ou actif (voir le cartouche), l’émetteur et le récepteur sont intégrés dans le même dispositif.

  • L’armée française prête à intervenir en Syrie !!

    http://french.irib.ir/info/internat…

    jeudi, 29 août 2013 11:47

    IRIB- selon Le Point, l’armée française vient d’annoncer sa disponibilité à suivre l’ordre du président français et à s’engager dans la guerre contre la Syrie !!!

    le porte parole du ministère français de la Défense a évoqué la disposition de l’armée française ç à suivre le Président de la République" et à envoyer des troupes en Syrie !! Hollande vient d’ailleurs de rencontrer le chef de la coalition des opposants syriens Jarba à l’Elysée. mêmes les Etats Unis ont écarté un engagement au sol contre la Syrie et la France en fait trop , selon les experts , en cherchant à envoyer des troupes en Syrie !

  • Iran : la mise à l’eau du sous-marin le plus sophistiqué du Moyen-Orient

    http://french.irib.ir/info/iran-act…

    jeudi, 29 août 2013 11:13

    IRIB-Le sous-marin le plus sophistiqué de construction locale est prêt à être exploité.

    Ce sous-marin, "Fateh" est le plus sophistiqué dans le Moyen-Orient, a affirmé le commandant des forces navales de l’armée de la RII. Le tonnage moyen et la plongée profonde, le transport des armes appropriées, une portée opérationnelle souhaitable, une capacité de collecte de données sont les caractéristiques de ce sous-marin.

  • Irak, Libye, Syrie des « preuves » et des agressions, par Ahmed Halfaoui

    http://french.irib.ir/analyses/item…

    Jeudi, 29 août 2013 02:56

    IRIB-L’impérialisme a-t-il jamais eu besoin de preuves pour agresser un peuple, un pays ? Et s’il en a invoquées étaient-elles réellement crédibles et justifiaient-elles son ingérence dans les affaires intérieures des Etats concernés ?

    La seule histoire récente, des interventions militaires des États-Unis, est implacable plutôt de preuves sur l’arrogance et le cynisme de la Maison-Blanche et de sa suite de vassaux. À chaque crime correspond une montagne de mensonges qui sont immédiatement « oubliés » pour en resservir d’autres, à l’occasion d’autres entreprises de prédation. Les « preuves » ont toujours trait aux atteintes aux « droits de l’homme », à la « démocratie », à la « sécurité des États-Unis ou à leur way of life (sic !) ».

    En face et autour, le monde assiste impuissant et passif à sa mise en coupe réglée. Une « communauté internationale » bienveillante sert de caution « morale » au jeu de massacre. Elle est chargée d’applaudir au discours dominant à la demande. Les Nations-unies, quand elles ne sont pas « paralysées » par un veto, peuvent ne plus servir à assurer la légalité internationale comme en Yougoslavie et en Irak.

    La Syrie pourrait-être ainsi la prochaine victime d’une ignominieuse attaque, à laquelle se prépare l’alliance atlantiste forte du silence sidéral de l’écrasante majorité des gouvernements du monde. Le scénario est en place, le « régime de Damas » a utilisé des gaz mortels contre la population de son pays, les principaux membres de l’OTAN l’ont affirmé et n’ont pas eu besoin d’attendre le résultat des expertises. Pourquoi faire ? Pourrions-nous nous demander.

    Ce type de décret a déjà servi et a pu autoriser que deux peuples soient précipités dans un cauchemar sans fin, les Irakiens et les Libyens qui ne sont pas appelés à la barre pour témoigner sur le résultat de leur « libération de la tyrannie » et sur la « démocratie » que les bombardiers atlantistes leur ont larguée. Pourtant, il serait bien de les interroger, chose qui ne semble pas être à l’ordre du jour des médias de la bête. Et pour cause, aujourd’hui, ils sont trop occupés à resservir la soupe sur la Syrie. Cette soupe qui justifiera, le cas échéant, des « frappes chirurgicales » contre Bachar Al-Assad ou plus s’il en faut, jusqu’à la « victoire » des « révolutionnaires » de la CNS/ALS.

    Le gouvernement syrien lui-même se situe dans la rhétorique en vigueur. Son représentant à l’ONU endosse la robe du défenseur : « beaucoup de données tendent à prouver l’innocence du gouvernement syrien qui fait l’objet d’une accusation fallacieuse ». Il feint de croire au bon sens et à l’utilité de cette organisation, au moment même où se confirme le peu de cas fait des données, puisque Washington a demandé à l’ONU de mettre fin à la mission de ses inspecteurs sur les sites où les attaques chimiques se seraient produites. A la suite de quoi les inspecteurs ont cessé leurs activités pour « raison de sécurité ».

    Un seul doute persiste, si les États-Unis envoient leurs avions, sur la nature des assurances qu’ils auraient eu auprès des Russes et des Chinois et en échange de quelle contrepartie. Si, toutefois, Moscou ou Pékin ou les deux réunies ne réagissent pas à la hauteur de l’outrecuidance étatsunienne.

  • Guerre contre la Syrie, "erreur stratégique"

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    jeudi, 29 août 2013 12:08

    IRIB-Une attaque militaire contre la Syrie serait une erreur stratégique dont les répercussions ne seraient pas limitées, a estimé le vice-ministre iranien des affaires étrangère chargé du département arabo-africain.

    Notre prise de position envers la Syrie a été clairement annoncée à Feltman, a affirmé Hossein Amirabdollahian. Lors la visite de Feltman à Téhéran nous nous sommes entretenus des évolutions régionales notamment de la solution politique à la crise syrienne, de la conférence internationale Genève 2 et du soutien de Téhéran aux initiatives politiques des Nations Unis, a-t-il ajouté tout en démentant les informations selon lesquelles Jeffrey Feltman aurait informé lors de sa récente visite à Téhéran les autorités iraniennes d’une attaque militaire conte la Syrie. Nous avons dit à Feltman que nous en tant que victime des armes chimiques sommes opposés à l’utilisation d’armes chimiques et que la Syrie a assuré Téhéran, pékin et Moscou qu’elle n’avait pas utilisé des armes chimiques, a indiqué Amirabdollahian. Le vice-ministre iranien des affaires étrangère a qualifié toute attaque militaire contre la Syrie d’une erreur stratégique avant de préciser : en cas d’une attaque ses répercussions ne seraient pas limitées. Rappelons que le quotidien libanais al-Khabar avait prétendu que lors e sa visite à Téhéran Feltman avait part de la prochaine des Etats-Unis contre la Syrie.

  • 10 raisons pour dissuader Obama d’attaquer la Syrie …

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    jeudi, 29 août 2013 10:53

    IRIB- le site Counterpunch vient de publier un article signé David Swanson cite dix raisons pour lesquelles les Etats Unis ne devront pas s’engager dans une confrontation directe contre la Syrie :

    1 l’argument chimique invoqué ne peut légitimer la guerre. suivant la charte de l’ONU et la constitution Us, une telle guerre est illégale.

    2 "Tuer les civils pour éviter leur mort " est une formule parfaitement insensée qu’Obama veut appliquer au cas syrien ! l’armée de l’Air Us utilisera sans nul doute des bombes à uranium appauvri comme elle les a déjà utilisés en Irak en Afghanistan et ailleurs.

    3 Une guerre d’envergure contre la Syrie pourrait déboucher sur une grande guerre régionale puis internationale aux conséquences imprévisibles et . la syrie, le Liban, l’Iran la Chine la Russie, les Etats Unsi et les pays du Golfe y sont déjà impliqués. est-ce la guerre que les Etats Unis voulaient déclencher ? croient-ils pourvoir s’en sortir indemne ? et pourquoi prendre un si gros risque ?

    4 Etablir une zone d’exclusion aérienne revient à bombarder les villes et à tuer des civils et c’est d’ailleurs ce qui s’est passé en Libye . la zone no Fly ne peut pas être formée par un communiqué, il faut qu’il y ait des bombardements.

    5 Armer les rebelles syriens qui sont en majorité des extrémistes est éminemment dangereux.

    6 Les États-Unis auront à rendre des compte de leur soutien aux rebelles juhadistes qui comettent des crimes.

    7 L’arrivée au pouvoir de ces jihadistes haïs par la population ne pourra pas déboucher sur la naissance d’un Etat durable.

    8 les rebelles syriens ne veulent pas une démocratie et ils se retourneront contre les Etats Unis un jour ou l’autre.

    9 la reconduction d’un acte illégal comme cette guerre que cela soit sous forme d’acheminement des armes aux rebelles ou sous forme d’une action militaire directe contre al Syrie créera un dangereux précedent pour ceux qui à Washington disent sans cesse que la prochaine cible est l’Iran.

    10 une majorté d’américains (75%) est hostile à la fois à une action militaire contre la Syrie et à l’armement des rebelles . les maricains défendent au contraire à 75% un action humanitaire et Obama se doit de prendre en compte ce voeu public

    La guerre directe contre la Syrie compliquera davantage la donne surtout qu’elle se base sur un prétexte mensonger comme celui qui a servi à déclencher la guerre contre l’Irak.

  • Guerre contre la Syrie : Rumsfeld gêné !!

    http://french.irib.ir/info/internat…

    jeudi, 29 août 2013 16:05

    IRIB-L’ex secrétaire néoconservateur à la Défense et architecte de l’invasion de l’Irak en 2003 accuse l’administration d’Obama d’indiscrétion !! " Notre comportement militaire en Syrie est irréfléchie et passionnelle ! pourquoi déballer tout devant l’ennemi avant de lancer l’attaque. " les autorités américaines ont tout dévoilé jusqu’à leur plan d’attaque en affirmant qu’elles entendent mener des attaques limitées "

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  • L’armée syrienne bloque les entrées de Damas

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    Jeudi, 29 août 2013 12:56

    IRIB-L’armée syrienne s’est re-déployée à Damas et a bloqué les entrées de la capitale. selon Al Nachra, l’armée de l’Air et de terre syrienne se sont mobilisées et des unités de défenses anti aériennes jusqu’ici non utilisées sont prêtes à passer à l’action. un assaut terroriste pourrait avoir lieu simultaznément à de possibles frappes us

  • Vendredi, la grande marche des jeunes iraniens en solidarité avec le peuple syrien

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    Jeudi, 29 août 2013 15:45

    IRIB- Solidaires avec le peuple syrien, les jeunes iraniens organiseront vendredi une manifestation générale.

    "60 ans viennent de s’écouler depuis l’occupation des territoires palestiniens et pendant ce temps les Etats-Unis en menant des attaques militaires, des coups d’Etat, des assassinats et des massacre ont soutenu le régime sioniste, ont annoncé aujourd’hui jeudi ces jeunes dans un communiqué, tout en appelant à une marche générale en soutien au peuple syrien. « Les peuples de la région sont conscients que les prétextes des Etats-Unis pour lancer une intervention militaire ne sont que d’allégations fallacieuses et sans fondement, visant uniquement à soutenir le régime sioniste, est-il écrit dans ce communiqué. Les jeunes iraniens ont affirmé dans leur communiqué que les peuples de la région doivent une fois pour toute décider d’anéantir le régime sioniste, d’où la dissipation des motivations américaines pour lancer une attaque. Alors que les gouvernements occidentaux et des pays rétrogrades arabes font, à travers une campagne médiatique d’envergure, les préparatifs d’une offensive contre le peuple syrien, il est nécessaire que les médias internes, régionaux et internationaux défenseurs des droits de l’homme, de la paix et de la liberté en créant une couverture médiatique unie, fassent écho au peuple syrien et entendre sa voix au monde entier.

  • L’ancien président de la coalition syrienne rejette l’intervention en Syrie

    http://www.almanar.com.lb/french/ad…

    29-08-2013 - 16:22

    Le membre et ancien président de la coalition de syrienne Moaz el-Khatib a appelé sur sa page Facebook « les sages de la révolution syrienne » à étudier les répercussions d’une intervention militaire étrangère sur le pays.

    Selon lui, une telle intervention en Syrie ne stoppera pas l’effusion du sang des Syriens.

    Al-Khatib a écrit entre autre : « En cas d’une intervention militaire, elle serait un message contre le recours aux armes chimiques et non pour stopper l’effusion du sang des Syriens », soulignant que les grandes puissances ne permettront pas à l’une des parties belligérantes de trancher la guerre.

    Et de poursuivre : « La décision de renverser le régime n’existe pas, mais il s’agit plutôt d’une guerre d’usure qui épuise les deux parties. Une intervention militaire imposera un parcours politique sur tout le monde ».

  • L’Amérique latine contre une intervention militaire en Syrie

    http://www.almanar.com.lb/french/ad…

    L’équipe du site al-Manar

    29-08-2013 - 12:32

    La majorité des pays d’Amérique latine se sont prononcés mercredi contre une intervention militaire en Syrie, au moment où les Etats-Unis et certains de leurs alliés européens envisagent de mener des frappes contre la Syrie.

    "Une agression contre la Syrie aurait des conséquences extrêmement graves pour le Moyen-Orient, une région qui est déjà en proie à des troubles", a déclaré dans un communiqué le ministère cubain des Affaires étrangères.

    "Elle constituerait une violation flagrante des principes de la Charte des Nations unies et du droit international et accroîtrait les dangers pour la paix et la sécurité internationales", a estimé le ministère cubain.

    Le président de l’Equateur, Rafael Correa, a exprimé "le rejet de toute ingérence, à plus forte raison militaire, dans le problème syrien".

    Son homologue bolivien, Evo Morales, a lui aussi condamné les menaces de frappes. "Nous rejetons, nous condamnons" toute intervention militaire étrangère en Syrie, a-t-il déclaré au palais présidentiel à la Paz.

    M. Morales a mentionné des informations de presse selon lesquelles des armes chimiques auraient été utilisées près de Damas non par le pouvoir mais par la rébellion, afin de susciter une intervention internationale.

    "Nous n’acceptons pas l’utilisation d’agents chimiques qui, selon ces informations, sont utilisés par des groupes qui déstabilisent la démocratie et le gouvernement" syrien, a déclaré le président bolivien.

    Le Brésil ne soutiendra pas une intervention militaire en Syrie sans l’aval du Conseil de sécurité de l’ONU, a déclaré mercredi le nouveau ministre des Affaires étrangères Luiz Alberto Figueiredo. Selon lui, il s’agirait d’une violation du droit international et de la charte de l’ONU.

    Maduro évoque un lien entre les complots d’assassinat contre lui et l’intervention en Syrie

    De même le président du Venezuela, Nicolas Maduro, a condamné les menaces occidentales de frappes contre la Syrie, au cours d’une visite à Tachira, dans l’ouest du pays.

    Et il a affirmé que les autorités vénézuéliennes avaient déjoué un complot qui visait à l’assassiner au moment où auraient lieu d’éventuelles frappes occidentales contre la Syrie.

    M. Maduro a rappelé l’arrestation au Venezuela, annoncée lundi par les autorités, de deux Colombiens qui seraient impliqués dans ce projet d’assassinat. "Le plan était de m’éliminer au moment de l’attaque contre la Syrie", a-t-il affirmé.

    « Le projet des Occidentaux était de les faire coïncider (dans le temps), tout comme ils avaient tenté de le faire en 2002, lorsqu’une tentative de coup d’Etat contre Chavez avait précédé l’agression de l’Irak par les Etats-Unis », ont rapporté les médias vénézuéliens.

    Le secrétaire général de l’OEA "opposé" à une intervention en Syrie
    Dans ce contexte, le secrétaire général de l’Organisation des Etats américains (OEA), le Chilien José Miguel Insulza, s’est déclaré mercredi "profondément opposé" à une éventuelle intervention militaire en Syrie.

    "Je suis profondément opposé aux interventions militaires. Il n’y a pas beaucoup d’exemples dans le monde d’interventions de ce type qui ont été positives", a indiqué M. Insulza à la presse.

  • Pékin met en garde contre toute intervention militaire en Syrie

    http://www.almanar.com.lb/french/ad…

    29-08-2013 - 14:17

    L’équipe du site al-Manar

    Le chef de la diplomatie chinois, Wang Yee, a mis en garde contre une intervention militaire en Syrie qui déstabilisera les pays de la région.

    « Seule une solution politique peut régler la crise syrienne », a réitéré le chef de la diplomatie chinois, qui a appelé à la retenue.

    Il a par ailleurs mis en garde contre "toute ingérence" dans l’enquête en cours de l’ONU sur l’attaque chimique du 21 août.

    La presse chinoise appelle à une union mondiale contre des frappes en Syrie

    De son côté, la presse officielle chinoise a appelé jeudi à une mobilisation internationale pour empêcher une intervention armée occidentale en Syrie, qui semble désormais probable à court terme.

    "La communauté internationale devrait faire preuve de patience plutôt que de se laisser mener par le bout du nez par les services de renseignement américains", a écrit le journal China Daily dans un éditorial intitulé : "Pas d’excuse pour des frappes".

    "Il y a dix ans, les Etats-Unis et leurs alliés ont contourné l’ONU pour imposer par la force un changement de régime en Irak, sous le prétexte que ce régime détenait des armes de destruction massive. Cela ne doit pas être permis une nouvelle fois", a ajouté le quotidien.

    "Une intervention militaire sans mandat de l’ONU ne fera qu’aggraver encore la situation en Syrie", a prévenu le China Daily.

    "Les forces mondiales opposées à une intervention militaire doivent s’unir et empêcher cette attaque occidentale en Syrie", a de son côté prôné le journal Global Times dans un commentaire.

    "Si ces frappes se produisent, elles (les forces mondiales) doivent ouvertement soutenir la résistance du gouvernement syrien. Il est nécessaire que la Russie et l’Iran envisagent de fournir une assistance militaire directe (au pouvoir syrien)", a poursuivi ce quotidien.

    "Mettre en avant une ’indécence morale’ (usage présumé d’armes chimiques) comme excuse justifiant la préparation d’une intervention militaire apparaît précipité et irréfléchi", a rétorqué le Global Times.

  • La Russie va envoyer de nouveaux bateaux de guerre en Méditerranée

    http://www.almanar.com.lb/french/ad…

    29-08-2013 - 12:01 Dernière mise à jour 29-08-2013 - 12:05
    L’équipe du site al-Manar

    La Russie va envoyer "dans les prochains jours" un bateau de lutte anti-sous-marine et un bateau lance-missiles en Méditerranée, au moment où des pays occidentaux menacent d’effectuer une frappe contre la Syrie, a annoncé jeudi une source militaire russe.

    "La situation qui se complique dans l’est de la Méditerranée exige de notre part une certaine adaptation des forces navales. Un bateau de lutte anti-sous-marine et un bateau lance-missiles vont s’ajouter dans les prochains jours à la flotte" russe déjà présente dans cette région, a précisé cette source au sein de l’état-major des forces armées.

    "Dans les prochains jours, un bateau de lutte anti-sous-marine va
    rejoindre" les forces navales russes déjà présentes dans cette région, a-t-elle ajouté.

    "Plus tard, il sera rejoint par le croiseur lance-missiles de la flotte de
    la mer Noire Moskva, qui est en train d’achever sa mission dans l’Atlantique Nord et va bientôt entamer une traversée transatlantique en direction du détroit de Gibraltar", selon la même source.

    Les projets occidentaux d’intervention en Syrie, "défi" à la Charte de l’ONU

    Par ailleurs, le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov a fait savoir au secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon que les projets occidentaux d’intervention en Syrie sont "un défi" à la Charte de l’ONU.

    "Les projets de frappes militaires en Syrie déclarés par certains pays sont un défi aux dispositions clé de la Charte de l’ONU et à d’autres normes du droit international", a déclaré M. Gatilov mercredi soir à La Haye, selon un communiqué publié jeudi de la diplomatie russe.

    "A ce stade il faut utiliser tous les instruments possibles politico-diplomatiques, avant tout laisser les experts de l’ONU mener à bien leur enquête sur l’attaque chimique présumée et rendre leurs comptes à l’ONU", selon la même source.

    Le chef de la diplomatie britannique William Hague a estimé lundi qu’il était "possible" de répondre à l’usage d’armes chimiques en Syrie "sans unité complète au Conseil de sécurité de l’ONU" où la Russie n’a soutenu aucune des résolutions occidentales sur la Syrie.

  • Des soldats syriens gazés lors de nouveaux incidents, Jaafari exige une enquête

    http://www.almanar.com.lb/french/ad…

    28-08-2013 - 22:37

    L’équipe du site al-Manar

    L’ambassadeur syrien à l’ONU Bachar Jaafari a affirmé mercredi que des dizaines de soldats syriens avaient inhalé des gaz toxiques et a demandé à l’ONU d’enquêter sur ces nouveaux incidents "odieux".

    M. Jaafari a demandé au secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon de prolonger la mission de l’équipe d’experts de l’ONU, qui est arrivée en Syrie pour enquêter entre autre sur l’attaque chimique perpétrée à Khan el-Assal le mois de mars dernier, mais enquête désormais sur la présumée attaque chimique perpétrée près de Damas le 21 août. Et qui selon les autorités syriennes a été perpétrée par les rebelles eux-mêmes pour justifier une intervention militaire occidentale.

    L’ambassadeur indique que des dizaines de soldats syriens ont été soignés dans les hôpitaux après des incidents survenus les 22, 24 et 25 août dans les faubourgs de Damas.

    S’exprimant au moment où les ambassadeurs des cinq pays membres permanents du Conseil de sécurité discutaient à huis clos un projet britannique de résolution qui justifierait une frappe militaire contre la Syrie, Jaafari a assuré que le projet est illégal et une tentative de justifier une attaque contre la Syrie pour anticiper aux conclusions de la commission d’enquête des Nations Unies.

    « Toute agression militaire contre la Syrie équivaudrait à une agression contre la mission des enquêteurs internationaux », a-t-il expliqué, affirmant que seul le Conseil de sécurité a le droit de décréter les résolutions sur la Syrie.

    Jaafari a révélé que c’est Israël qui incite les Etats-Unis à réaliser l’intervention militaire, rappelant que les USA qui veulent faire la guerre à la Syrie ne sont pas membres de la Convention de non-prolifération d’armements chimiques.

    Conseil de sécurité : pas d’accord

    Au Conseil de sécurité, les cinq pays membres permanents se sont séparés sans conclure à l’issue d’une discussion sur une résolution britannique justifiant une frappe en Syrie.

    Moscou et Pékin ont continué de rejeter l’option militaire en préparation à Washington, Londres et Paris.

    Les ambassadeurs russe et chinois ont quitté la salle où se tenaient ces consultations à huis clos au bout d’une heure et quart environ. Les représentants des trois autres pays (Etats-Unis, France, Royaume uni) sont restés un peu plus longtemps mais sont sortis sans faire de déclaration.

    Selon des diplomates, les Russes "ont répété les arguments de Serguei Lavrov", leur ministre des Affaires étrangères, sur les dangers d’une opération militaire et affirmé qu’il n’y avait pas de preuve que le régime syrien ait mené une attaque à l’arme chimique.

    La Chine a insisté sur "l’importance de Genève II", la conférence censée aboutir à une transition politique en Syrie mais qui n’a toujours pas pu être convoquée.

    Russes et Chinois ont indiqué qu’ils allaient en référer à leurs gouvernements respectifs.

    "Les discussions doivent se poursuivre sur la base des instructions que donneront les capitales", a expliqué un diplomate occidental. Mais il s’est déclaré "pas très optimiste" et a indiqué qu’aucune date précise n’avait été fixée pour une nouvelle discussion.

    Le Premier ministre britannique David Cameron avait annoncé mercredi que Londres allait présenter une résolution devant le Conseil "condamnant l’attaque chimique" du 21 août en Syrie et "autorisant les mesures nécessaires pour protéger les civils", y compris l’usage de la force armée.

    Selon le gouvernement britannique, cette résolution "autorisera toutes les mesures nécessaires en vertu du chapitre VII de la Charte de l’ONU pour protéger les civils contre les armes chimiques" en Syrie. Le chapitre VII prévoit des mesures coercitives en cas de menace contre la paix et la sécurité internationales, qui peuvent aller des sanctions à une opération militaire.

    Cette résolution, si elle était adoptée, donnerait une plus grande légitimité à une éventuelle frappe militaire contre la Syrie, qui est en préparation à Washington, Londres et Paris.

    Mais la Russie, alliée fidèle du régime syrien, avait affirmé avant la réunion qu’il fallait attendre le retour des enquêteurs de l’ONU actuellement en Syrie avant de discuter d’une résolution.

    Moscou a mis son véto à trois projets occidentaux de résolution visant à faire pression sur Damas depuis le début de la crise syrienne en mars 2011.

    Le chef du Foreign Office, William Hague, a estimé mercredi que les discussions à l’ONU allaient se poursuivre dans les "prochains jours" sur le projet de résolution mais jugé qu’il fallait agir sans trop tarder, même si le texte était rejeté.

  • Guerre contre la Syrie : "Pearl Harbor à la syrienne" ?!!

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    jeudi, 29 août 2013 08:54

    IRIB-Selon un officier syrien, les pilotes de l’Armée de l’Air syrienne sont prêts à mener des opérations martyrs !

    " Aussitot entré dans l’espace aérien syrien, les bombardiers américains et britanniques se trouveront en plein enfer " !! affirme cet officier de défense anti aérienne dans un entretien accordé à The Guardien. " la force aérienne étudien en ce moment la possibilité de mener des raids -martyrs contre les agresseurs occidentaux. cette semaine 13 pilotes syriens se sont engagés à former un escadron pour lancer des opérations suicides contre les navires américains . si les Etats Unis et la Grande Bretagne tirent une seule roquette, nous allons riposter en tirant des missiles . leurs chasseurs bombardiers se trouveront en plein enfer une fois qu’ils auront franchi notre espace aérien. nos DCA tireront et pour chaque avion US/GB non atteint , il y aura un pilote syrien qui le chassera à bord de son avion-suicide" !! The Guardien dit ne pas pouvoir confirmer cette information mais fait remarquer être en contact ces douze derniers mois avec ce pilote de 35 ans et que ce dernier a fourni constamment des informations qui se sont avérées vraies. … L’officier syrien revient ensuite sur le soutien de l’iran et du hezbollah à larmée syrienne : " l’Iran et le hezbollah se tiennent prêts à nos côtés et nous sommes les composantes de l’axe de la résistance . nous sommes prêts à tout . seul Dieu décidera d notre mort ni les etats Unis ni la grande Bretagne . cela fait deux ans que les etats unis et la grande bretagne nous font la guerre et nous menacent . nous n’avons pas peur , nous avons combattu les pires terroristes du monde sans avoir peur . l’armée syrienne est à plus haut degrès de discernement . nous allons tout faire pour empêcher les raids aériens et nos missiles sont prêts à être tirés . nous nous attendons à ce que USA/GB ciblent des points précis c’est en ce sens que nous avons chager la mise en ordre de nos forces et les forces armées se sont déplacées dans différentes régions" !!

  • Syrie/Guerre : Quelles sont les cibles israéliennes à abattre ?

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    jeudi, 29 août 2013 04:56

    IRIB- Selon les sources bien informées, les unités balistiques syriennes s’apprêtent selon les images satellites à viser cinq zones stratégiques en Palestine occupée !

    Imad Razq, directeur du centre d’études stratégiques à Beyrouth vient de publier cinq images satellitaires qui localisent 80 cibles potentielles à abattre en cas d’attaque militaire contre la Syrie. Les sources israéliennes affirment que les États-Unis tireront dès ce jeudi le territoire syrien. voici les centres névralgiques en Israël qui sont en point de mire :

    • 1 la centrale atomique de Dimona protégée par les missiles Patriot :

    http://mai68.org/spip/IMG/jpg/Cible1.jpg

    • 2 La base militaire Zalim au sud de la bande de Gaza :

    http://mai68.org/spip/IMG/jpg/Cible2.jpg

    • 3 La base de lancement de missiles à Ariha, au sud de Tel-Aviv :

    http://mai68.org/spip/IMG/jpg/Cible3.jpg

    • 4 La base militaire Zirtin au sud de Tel-Aviv :

    http://mai68.org/spip/IMG/jpg/Cible4.jpg

    • 5 le complexe de fabrication de missiles Mohim , accessibles aux missiles syriens en l’espace de neuf minutes :

    http://mai68.org/spip/IMG/jpg/Cible5.jpg

  • La Grande-Bretagne veut bombarder la Syrie pour des raisons humanitaires

    http://french.ruvr.ru/2013_08_29/La…

    28 août 2013 à 18h30

    Par La Voix de la Russie

    Le projet de résolution britannique autorisant une opération militaire en Syrie contre les troupes de Bachar al-Assad a été envoyé aux gouvernements des membres permanents au Conseil de sécurité de l’ONU afin d’être examiné.

    Moscou a confirmé sa réception. Hier, le projet de résolution a été discuté lors d’une séance à huis clos par les représentants des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU à New York. Il n’a toutefois pas fait l’unanimité, la Russie et la Chine refusant catégoriquement d’utiliser la force.

    La Grande-Bretagne propose au Conseil de sécurité de l’ONU de prendre une résolution autorisant à prendre « les mesures nécessaires afin de protéger la population civile » en Syrie. Pour Serguéï Serioguitchev, expert de l’Institut du Proche-Orient, cette formulation cache en fait les projets des pays occidentaux de lancer des missiles.

    « Ils ne se préparent pas à envahir le pays, parce que l’expérience en Irak leur a montré qu’ils peuvent évidemment venir à bout de l’armée syrienne en deux semaines, mais qu’une résistance débutera. De plus, tout le monde, les partisans d’al-Assad et les islamistes, tirera sur les Américains et leurs alliés. C’est pourquoi l’Occident va essayer d’éviter une attaque terrestre, mais il va, comme en Yougoslavie en 1999, détruire les infrastructures militaires, politiques, sociales, économiques en utilisant des missiles. »

    Les Britanniques préfèrent baser leur volonté de bombarder la Syrie sur le principe d’intervention humanitaire. Pour William Hague, le ministre des Affaires étrangères britannique, les éventuelles actions militaires seront légales, proportionnées et elles viseront la protection de la vie par la prévention d’autres utilisations d’armes chimiques en Syrie. Anders Fogh Rasmussen, le secrétaire général de l’OTAN, a déclaré hier que c’était bien l’armée du régime al-Assad qui avait utilisé du sarin.

    « Le régime syrien conserve encore des stocks d’armes chimiques. Des informations, provenant de nombreuses sources, imputent la responsabilité de l’utilisation d’armes chimiques au régime syrien. »

    Mais de quelles informations s’agit-il ? Nous n’en savons encore rien. Au cours de la dernière semaine, l’Occident, et Washington en tête, a promis de montrer au monde des preuves irréfutables de la culpabilité de Bachar al-Assad. Il ne s’agit plus d’affirmations sans preuve. Selon le New York Times, le fait est que les autorités américaines ne disposent pas de ces preuves. Elles n’ont que des conversations téléphoniques de personnes, qui semblent être des dirigeants militaires syriens, parlant d’armes chimiques. Cela ne peut pas prouver le lien entre Bachar al-Assad et l’attaque sur la population civile.

    Barack Obama ne se hâte pour l’instant pas de prendre une décision en ce qui concerne la Syrie. De plus, mercredi, les législateurs américains lui ont demandé d’expliquer en détail et de façon motivée la nécessité de lancer les États-Unis dans un nouveau conflit armé. Cent seize membres de la Chambre des représentants ont signé cette lettre. La Maison-Blanche devra probablement attendre la fin du travail des experts de l’ONU en Syrie et leurs conclusions.

    Pour Serguéï Demidenko, expert orientaliste à l’Institut russe d’études stratégiques et d’analyse, la Grande-Bretagne est d’humeur plus belliqueuse, mais il est peu probable qu’elle se décide à frapper avant les États-Unis.

    « Prenons l’exemple de la Libye. Les Américains ont activement participé à cette opération. Mais tant qu’ils n’avaient pas mis leurs troupes aux frontières libyennes, tant qu’ils n’avaient pas fait un acte menaçant envers Kadhafi, les Anglais et les Français restaient assez tranquilles. La Grande-Bretagne n’aurait pas pu faire cette opération toute seule. C’est pour cette raison qu’elle pousse par tous les moyens les États-Unis à attaquer franchement Bachar al-Assad, et les Anglais se tiendront à l’arrière-garde. »

    Pendant ce temps, les forces militaires occidentales s’amassent autour de la Syrie. Un groupe de quatre destroyers de la marine américaine, armés de missile Tomahawk, ainsi qu’un navire et un sous-marin britannique se trouvent déjà dans la mer Méditerranée orientale. Un porte-hélicoptère et deux frégates britanniques ont pris position dans la mer Adriatique. Des groupes aériens embarqués américains sont dans la mer Rouge et dans le golfe Persique. Actuellement, une nouvelle frégate antiaérienne française est en route pour les côtes syriennes.

    L’éventuel soutien à ces opérations des bases aériennes de l’OTAN en Europe n’a pas encore été décidé. L’Autriche a refusé d’ouvrir son espace aérien au survol d’avions militaires de l’OTAN s’ils devaient être déployés pour frapper la Syrie. Des doutes subsistent en ce qui concerne la République tchèque et la Belgique.

    Damas a déclaré qu’il se défendra par tous les moyens qu’il a à sa disposition.

  • Syrie : le ferment anti-guerre s’empare des Etats-Unis et du Royaume-Uni

    http://french.irib.ir/info/moyen-or…

    Jeudi, 29 août 2013 19:02

    IRIB-Dans un contexte déjà tendu, où la destitution du président Obama est discutée dans tout le pays, 116 députés (98 républicains et 18 démocrates) ont signé la lettre rédigée par le député Scott Rigellsommant le président de respecter la Constitution en obtenant l’autorisation préalable du Congrès pour toute action militaire en Syrie.

    Des initiatives similaires se multiplient avec la même exigence, de la part de parlementaires déterminés à ne pas revivre l’affaire de la Libye, où Obama avait engagé l’armée américaine sans chercher l’approbation préalable du Congrès. Si les démocrates se sont montrés discrets jusqu’à présent, un groupe de députés progressistes a signé la lettre de la députée californienne Barbara Lee, affirmant que le « Congrès doit réaffirmer son autorité sur cette question » [la prérogative constitutionnelle de déclarer la guerre].

    Pour sa part, le site Politico rapporte qu’il y a, sous la surface, « un ferment, qui n’a tout simplement pas encore éclaté au grand jour ». Le député démocrate Jim McDermott est cité : « S’ils tirent des missiles là-bas, vous verrez un tas de gens s’exclamer : ’’c’est une erreur absolue, ils n’auraient pas dû faire cela, je ne soutiens pas cette action’’. La tempête éclatera s’il [Obama] y va sans l’approbation du Congrès. »

    Le républicain Justin Amash a dit mercredi que l’usage de la force contre la Syrie est « manifestement anticonstitutionnel », et le président de la Chambre des représentants, le républicain John Boehner, qui a le pouvoir de convoquer le Congrès actuellement en vacance, a envoyé une lettre à Obama mercredi questionnant le droit du président à lancer une action militaire sans l’autorisation du Congrès.

    Les députés démocrates Rick Nolan et Peter Welch, ainsi que le républicain Chris Gibson, un vétéran de la guerre d’Irak, ont demandé que le président convoque le Congrès pour qu’il se prononce sur l’escalade possible de l’action militaire américaine contre la Syrie : « Avant d’engager nos forces, écrivent-ils, dans ce qui serait clairement un acte de guerre, le président a l’obligation constitutionnelle d’obtenir l’autorisation du Congrès, et nous avons l’obligation d’étudier les conséquences potentielles, de conseiller et de consentir à la prise d’une telle décision. »

    Après avoir rappelé que la Loi des pouvoirs de guerre de 1973 avait été adoptée à la fin de la guerre du Vietnam pour s’assurer qu’aucun président ne violerait plus jamais la constitution en engageant le pays dans une guerre sans l’autorisation du Congrès, les trois députés exigent des réponses aux questions suivantes :

    Il est essentiel que tout le monde comprenne qu’une fois une attaque lancée, des conséquences durables et inévitables nous conduiront à répondre tôt ou tard à des questions difficiles, parmi lesquelles :

    avons-nous les moyens de nous engager dans un nouveau conflit armé onéreux à mi-chemin de l’autre côté de la planète, au moment où nous confrontons chez nous une crise sur le plafond de la dette et notre capacité à financer le fonctionnement de l’Etat et les services essentiels à notre population ?

    quelles seront les ressources exigées par une attaque sur la Syrie, et sur quelle période de temps ?

    une attaque américaine ne résulterait-elle pas en un usage encore plus grand des armes chimiques par le gouvernement syrien ?

    quels seront les dommages collatéraux sur les villages et les civils innocents causés par une attaque américaine sur les forces du gouvernement syrien ?

    la Russie et l’Iran ne se verront-ils pas obligés de venir à l’aide de la Syrie, déclenchant possiblement une confrontation entre les superpuissances par subrogation ?

    reconnaissant que nous n’avons pas d’amis dans aucun camp du conflit syrien, un engagement des Etats-Unis ne servira-t-il pas, ultimement, à prolonger la guerre et exacerber les tueries ?

    Le Congrès se doit d’examiner ces questions fondamentales dès maintenant, avant toute intervention militaire américaine en Syrie. Nous vous demandons par conséquent, une fois de plus, de convoquer le Congrès en session au plus vite.

    Royaume-Uni :

    Le Premier ministre David Cameron doit lui aussi faire face à une opposition de plus en plus forte contre sa tentative de déclencher une guerre souhaitée ardemment par les financiers de la City et de Wall Street.

    Cameron a dû modifier le projet de résolution qu’il devait déposer aujourd’hui au Parlement, pour que le vote autorisant l’usage de la force soit retardé jusqu’à ce que ne soit complété le rapport des inspecteurs de l’ONU enquêtant à l’heure actuelle sur la question des armes chimiques en Syrie.

    Il ne faut pas oublier toutefois que la prérogative de décider la guerre revient ultimement à la reine-impératrice britannique, même si la tradition demande que le Parlement soit consulté. Il n’y a par conséquent pas de danger, contrairement aux Etats-Unis où Obama pourrait se voir destitué pour avoir violé la Constitution, de voir la reine abdiquer ou le gouvernement tomber pour ne pas avoir obtenu l’autorisation préalable du Parlement avant de lancer la guerre. Dès le mois de juin, 114 députés de la Chambre des communes de tous les partis avaient toutefois voté en faveur d’une résolution demandant que Cameron consulte le Parlement avant de partir en guerre contre la Syrie.

    Le parti travailliste n’a pas rejeté la possibilité qu’il puisse voter en faveur d’une attaque contre la Syrie, mais entend poser des conditions visant à s’assurer que le droit international soit respecté, que les objectifs stratégiques soient clairement identifiés, et que soit connue l’étendue du soutien de la communauté internationale. La voix de l’opposition en matière de politique étrangère, le travailliste Douglas Alexander, a déclaré que son parti n’a pas l’intention de « signer un chèque en blanc pour le gouvernement ». Certains membres du parti de Cameron, dont le tory Adam Holloway, ont également fait part de leurs doutes sur les conséquences d’une attaque contre la Syrie, faisant remarquer que la « réaction face à l’horreur ne constitue pas une stratégie ».

    Dans un exercice visant à discréditer davantage la Chine et la Russie, le gouvernement de sa Majesté a par ailleurs déposé un projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU, afin d’obtenir l’autorisation des Nations unies pour attaquer la Syrie, sachant que ces deux pays y opposeront leur veto et que la France ne sera pas cette fois-ci de leur coté.
    Progrès et Solidarité

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