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C’EST LE CRIF QUI ÉCRIT LES DISCOURS DE HOLLANDE !

dimanche 22 septembre 2013, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 22 septembre 2013).

Celui qui rédige les discours de François Hollande se nomme Paul Bernard. En sortant de Normale Sup, il entre directement chez le très sioniste organe de propagande Publicis appartenant à Robert et Élisabeth Badinter, et dirigé par Maurice Lévy. Paul Bernard rejoint en 2006 le Mouvement juif libéral de France (MJLF), un courant du judaïsme soit-disant "progressiste". Et, il a récemment été digne d’entrer au comité directeur du Conseil "Représentatif" des Institutions Juives de France, le CRIF !


Paul Bernard, la plume de l’ombre de François Hollande

http://www.lexpress.fr/actualite/po…

Par Marcelo Wesfreid, publié le 08/11/2012 à 17:43, mis à jour à 18:28

Un parcours atypique, un rôle clef, un profil très discret : Paul Bernard est le conseiller qui rédige les discours de François Hollande. Portrait.

POLITIQUE - Normalien passé par Publicis, engagé auprès du Crif, Paul Bernard détonne. Ici, derrière le président, lors de la commémoration de la rafle du Vél’ d’Hiv, le 22 juillet.

Sur Internet, il y a neuf fiches Wikipédia qui portent le nom de Paul Bernard : un footballeur écossais, un sociologue québécois, un professeur de tuba au conservatoire de Paris… Aucune pour un jeune homme de 35 ans, normalien et agrégé de lettres, dont la profession actuelle est de rédiger tous les projets de discours du président François Hollande. Inconnu du grand public, ce conseiller de l’ombre ne va pas s’en plaindre. Il fuit les sirènes médiatiques, n’apparaît presque jamais devant l’objectif des photographes.

Ce qu’il préfère, c’est prêter ses mots à celui qui est dans la lumière, se couler dans sa pensée. "Il faut prendre le temps de relire les livres et les discours du chef de l’État pour saisir sa constance", explique à L’Express Paul Bernard. Le "conseiller chargé des interventions et des études" travaille claquemuré dans son bureau situé dans l’aile ouest de l’Élysée. Il a peu de contacts directs avec le président.

De l’ouverture de la conférence sociale à l’anniversaire de la Libération de Paris, de la commémoration du Vél’ d’Hiv à celle de la tuerie de Toulouse, du discours sur l’école à celui sur la mutualité française, il est celui qui rédige les premières trames, amendées ensuite par son supérieur hiérarchique, le conseiller politique Aquilino Morelle, puis remodelées par le président lui-même. Paul Bernard planche aussi sur les interviews télévisées et les Légions d’honneur, quand il ne s’occupe pas d’une préface de livre.

Lors des réceptions au Palais, il écrit des fiches que François Hollande, emporté par son goût pour l’improvisation, ne lira pas forcément. C’est le jeu, il le connaît. Pendant quatre ans, cet intellectuel plutôt timide s’est rodé à l’exercice auprès du maire de Paris, Bertrand Delanoë. Il préparait des prises de parole, des analyses politiques et épluchait les sondages. Aujourd’hui encore, il lui arrive de concocter des notes sur l’état de l’opinion. "Avec Paul Bernard, on a sympathisé pendant la présidentielle", raconte Morelle.

"Il faut oublier ce qu’on pense"

Les plumes ne ressemblent jamais aux technocrates qui peuplent les cabinets. Et Paul Bernard n’a pas le parcours type d’une plume. En sortant de Normale sup, un DEA sur la littérature de l’époque napoléonienne en poche, il entre chez Publicis comme chargé de mission auprès du magnat de la publicité Maurice Lévy. Il participe pour le compte de l’homme d’affaires à la rédaction du rapport commandé en 2006 par le ministre des Finances Thierry Breton, sur l’"économie de l’immatériel", cosigné avec Jean-Pierre Jouyet.

Parallèlement, il rejoint le Mouvement juif libéral de France (MJLF), un courant du judaïsme progressiste qui s’est notamment illustré en menant campagne pour l’accès des femmes aux fonctions du culte. Le touche-à-tout a récemment intégré le comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif).

Un engagement qu’il concilie sans difficulté avec son métier : "Il faut oublier ce qu’on pense et ne pas chercher à peser dans le sens de ses propres idées, souligne Paul Bernard. Le but est d’écrire des projets que le président doit pouvoir se réapproprier. Finalement, ce sont toujours les discours de François Hollande et de personne d’autre." De l’art de se faire oublier, au royaume des ego exacerbés qu’est la politique.

Israël - 2004 - Publicis de Badinter au service du mur de l’apartheid :

http://mai68.org/spip/spip.php?article3298

Le très sioniste Publicis se marie avec l’américain Omnicom :

http://mai68.org/spip/spip.php?article5614

(Pour l’impérialisme américano-sioniste, y’a rien de tel !)

Badinter de publicis payé par Israël pour sa propagande de guerre contre la Syrie ?

http://mai68.org/spip/spip.php?article3944

Petit traité de propagande : perroquets, associations "indépendantes" et sondo-mensonges :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1306

Hollande fait écrire ses discours par un dirigeant du CRIF :

http://mai68.org/spip/spip.php?article4946

(Article du Monde Diplomatique présenté par do)

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