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La répression sexuelle et la guerre coloniale de la dictature sioniste et puritaine

mercredi 23 avril 2014, par do (Date de rédaction antérieure : 23 avril 2014).

La dictature sioniste prépare ses guerres impérialistes (vidéos)

http://mai68.org/spip/spip.php?article7161

Bonjour à toutes et à tous,

Pour voir les vidéos, cliquer le lien ci-dessus. Vous aurez ainsi la preuve que…

D’ici la fin de l’année 2014, le nouvel airbus A400M permettra d’amener un VBCI (Véhicule Blindé de Combat d’Infanterie) en moins de 10 heures en Afrique Noire ; alors qu’auparavant, il fallait l’amener en bateau et ça prenait 15 jours.

Voilà où vont passer quelques-uns des milliards d’Euros d’économie que veut réaliser le gouvernement sioniste de Valls et Hollande : dans la guerre !

On se disait qu’Hollande allait donner 30 milliards d’Euros aux patrons avec le fameux "contrat de confiance". On avait compris à QUI il allait voler cet argent quand il a fait annoncer par le fasciste Manuel Valls qu’il allait faire 50 milliards d’Euros d’économie sur le dos de l’ensemble de la population.

On se demandait où allait passer le différentiel de 20 milliards. Serait-ce pour rembourser à Rothschild la dette artificielle de la France obtenue grâce à la loi Rothschild de 1973 ? Serait-ce pour d’autres sortes de détournement de fonds ? Maintenant, l’on sait que ce sera entre autre pour financer les guerres coloniales de la dictature puritaine et sioniste.

Dictature puritaine ? OUI, puritaine ! Dans le même temps où la dictature sioniste prépare ses guerres coloniales, elle pratique aussi une propagande de répression sexuelle. Normal, les Hippies disaient : « Faites l’amour, pas la guerre ! »

Répression sexuelle - 23 avril 2014 - Le puritanisme de la dictature sioniste prétend que les lapins sont sex-addict :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7159

Ils arrêtent pas, à la télé de prétendre qu’il ne faut pas trop baiser, qu’il faut pas trop aller sur les sites de cul ; que sinon, c’est de l’addiction ! ils nous emmerdent ! on baise et on a autant d’orgasmes qu’on veut !

Les gens normaux baisent au moins une fois par jour ; sinon, c’est qu’il y a un problème : à cause du boulot ou pour d’autres raisons, ils n’ont pas le temps, ou sont trop fatigués, ils subissent une terrible répression sexuelle officielle (interdit de baiser au boulot) ou psychologique, par exemple ils respectent un peu trop diverses conventions débiles, etc.

En effet, des conventions sociales non-écrites veulent que l’on ne baise qu’une seule fois par semaine, le samedi. Ça, c’est toléré. De préférence pour faire des gosses. S’il ne fallait pas baiser pour faire des gosses, ils feraient des lois pour interdire le sexe, au même titre que la drogue.

Si l’on repense à l’époque hippie : « Make love, not war ! » C’est-à-dire : « Faites l’amour, pas la guerre ! », on prend conscience que d’après les enculés qui nous dirigent et qui font cette propagande pourrie antisexe, les hippies sont des malades qui font de l’addiction sexuelles. Mais les malades, c’est eux, qui préfèrent la guerre à l’amour ! Et effectivement, ils font la guerre partout où ils peuvent, c’est vraiment des connards et des ordures !

C’est l’Anglais Cromwell qui a inventé simultanément le puritanisme et le sionisme ! Il faut à tout prix virer les sionistes du pouvoir

VIVE LE SEXE ET VIVE L’AMOUR !

À BAS LA GUERRE !

Bien à vous,
do
23 avril 2014
http://mai68.org

Commentaire de Micheline : En effet, par exemple à PBLV, Plus Belle La Vie, en ce moment, ils font de la propagande pour dire qu’il est interdit de baiser au boulot et que celui qui s’y adonne est sex-addict ! (« No sex in job ! » disent-ils sans arrêt, et en anglais, bien sûr !)

Commentaire de Marc : Je me souviens d’un copain qui me racontait en 1972 que quand il était jeune ado, il avait demandé au médecin si c’était dangereux de se masturber cinq fois par jour. Le médecin lui avait dit que ça ne posait aucun problème et qu’il pouvait se masturber autant qu’il le voulait. Mais aujourd’hui, d’après la propagande actuelle, il faudrait l’envoyer se faire soigner !

Commentaire de Joceline :

Moi j’ai lu dans diverses revues, il y a dix ou vingt ans que le sexe était bon pour la santé, que ça produisait des hormones qui permettaient d’éviter ou de contrer diverses maladies. C’est bon aussi pour le moral !

J’avais lu aussi que les éléphants sont toujours en train de marcher. Que quand l’un d’entre eux est trop malade et ne peut plus marcher, ils lui font l’amour pour voir s’il parvient à l’orgasme. S’ils ne parviennent pas, malgré tous leurs efforts à lui donner un orgasme, ils en déduisent qu’il est foutu et l’abandonnent sur place en le laissant mourir. Mais si l’éléphant malade parvient à l’orgasme, alors ils l’entourent, se mettent à deux, un de chaque côté de lui, pour le soutenir fermement et l’aider à marcher avec toute la troupe.

LA LOI ROTHSCHILD : http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

4 Messages de forum

  • Ce ne sont pas que les sionistes qui sont puritains, c’est un problème de civilisation, d’ontologie de la société. Pour le comprendre, il faut remonter à l’Antiquité quand des hommes, les plus vils d’entre nous, ont pris le pouvoir. Avec cette prise de pouvoir par une minorité violente, de nouvelles idéologies sont apparues.

    Le soleil, ce dieu de la fécondation, est devenue une coque d’or ou de lumière trimbalée par un bateau dont le capitaine, un guerrier, est le nouveau dieu principal. En parallèle, le patriarcat a remplacé le matriarcat, ce qui implique que le statut social de la femme a dégringolé entre celui du cochon et celui de l’esclave, et que la polyandrie a été réprimée, mais pas la polygamie. Au mieux la femme pouvait devenir prostituée. C’est toujours le cas aujourd’hui, je connais une femme qui dans les années 80, après avoir passé son bac, s’est payé un permis de port d’arme, un flingue, des cours de tir, un dogue allemand et des cours de dressage. Elle a fait pute de luxe pendant 3 ans, puis elle a pris sa retraite. Avec le fric ainsi gagné, elle a mis une moitié à la banque, les intérêts lui suffisent pour vivre, et avec l’autre moitié elle a ouvert une société où elle fait travailler les autres.

    Comme il est moralement injustifiable de dominer son semblable, ceci dans toutes les cultures, ceux qui prirent le pouvoir lors de l’Antiquité ont eu recours aux premières idéologies de domination, lesquelles ne sont rien d’autre que du racisme organisé. On commence par séparer les dieux, les hommes et le reste de la création en attribuant aux choses des qualités qu’elles n’ont pas comme les bien, le mal, le yin ou le yang. Ceci permet de séparer nature et culture, de séparer l’homme de la nature, et donc à l’homme de dominer la nature. Nous voyons aujourd’hui avec l’industrialisation de cette exploitation de la nature par l’homme ainsi que de la pollution qui l’accompagne où cela nous mène : à la destruction de l’espèce humaine.

    À partir de là, il est possible de créer deux autres hiérarchies, une entre la chair et l’esprit, et la dernière entre les hommes, certains se retrouvant plus près des dieux que les autres, ou plus riches que les autres en version capitaliste ou plus égaux que les autres en version démocratique.

    La séparation de la chair et de l’esprit permet autant de justifier que les riches ne travaillent pas que de véhiculer tous les tabous qui transforment une créature sociale et empathique en un monstre frustré et violent. Le catholicisme n’a donc rien inventé, il n’a fait que suivre le courant tracé avant lui par les romains et les grecs, et avant eux par les égyptiens, les babyloniens et les chinois. William Prescott, un neuro-psychologue, a démontré grâce à des études sur les primates et sur plus de 100 sociétés préindustrielles, qui si ce sont bien des privations sensorielles qui rendent les gens frustrés et incapables de maîtriser leur violence, ce sont les tabous véhiculés par les religions organisées qui rendent possible ces privations sensorielles. Sa conclusion n’a pas plus au gouvernement (US) qui le finançait et ils lui ont coupé les vivres. Elle est sans appel : toutes les sociétés qui ont des formes organisées de religion produisent des adultes qui ne maîtrisent pas leur violence alors que les sociétés où la religion est une affaire personnelle sont des sociétés paisibles.

    Marx a été encore plus loin car il a montré la cause : c’est à partir du moment où l’homme a commencé à avoir un rapport borné avec la nature que les rapports humains sont devenus bornés, ce qui a contribué à renforcer le coté borné du rapport de l’homme avec la nature, ce qui a son tour renforce la coté borné des rapports humains. C’est donc un cercle vicieux qui trouve son origine dans le moment où l’homme a cessé de vivre en harmonie avec la nature.

    Et c’est bien ce que font les dogmes de toutes les religions organisées : elles attribuent aux choses des qualités qu’elles n’ont pas, ce qui permet de séparer les dieux, l’homme et le reste de la création. Sans cette première hiérarchie superstitieuse entre l’homme et la nature, les autres hiérarchies n’existent pas.

    Les anthropologues ont donné raison à Marx en prouvant que toute l’ontologie d’une société découle de son rapport avec la nature. Or une ontologie n’est pas de la théorie, c’est à la fois la vision du monde, le mode de vie et donc l’évolution historique d’une société. Ils font aussi remarquer qu’il est impossible de se placer du point de vue d’une ontologie pour en juger une autre, et aussi qu’il est impossible de savoir aujourd’hui qu’elle sera l’ontologie du monde de demain.

    Em effet, nous pouvons constater que notre mode de vie détruit la biodiversité alors que celui des indiens d’Amazonie contribue à la biodiversité. Mais cela ne fait pas de nous des indiens. Pour un judéo-chrétien, sous la terre il y a l’enfer et le purgatoire. Pour un indien, ses morceaux d’âmes perdus vont se reposer sous la terre dans un endroit où ils sont en paix. Et le ciel n’est pas le paradis mais l’endroit où les esprits équilibrés peuvent voyager. Pour un indien, ces 3 mondes sont réels, leur seule différence est la physicalité du monde de tous les jours.

    Un médecin occidental va nous donner des pilules. Un chamane va non seulement maîtriser les plantes, mais il est aussi capable de faire voyager son patient pour lui permettre d’aller récupérer ses morceaux d’âmes perdus dans le mode sous-terrain. Le chamane soigne donc autant l’esprit que le corps de son patient. Vu de notre point de vue, la médecine du chamane est une hérésie, vu du point de vue du chamane il est impossible de soigner le corps sans soigner aussi l’esprit. Après que la patient ait récupéré ses morceaux d’âmes perdus, le chamane peut commencer à lui faire faire un autre voyage : écrire sa vie dans le monde supérieur (céleste dirions-nous). Pour donner une idée, quand je fais quelque chose et que c’est facile à faire, c’est que je l’ai déjà écrit dans le monde supérieur et que mon moi dans le monde physique ne fait que suivre et s’accorder avec la partie supérieure de mon esprit, qui elle se trouve dans le monde céleste.

    C’est comme le temps. Pour nous prisonniers d’idéologies matérialistes comme le capitalisme ou le marxisme, le temps est linéaire. Pour un indien le temps zigzague entre ces 3 mondes, ce qui fait que la vision du temps d’un indien de la forêt est bien plus proche de celle de la physique quantique que de celle de Swatch, d’Oméga ou de Longines.

    Les alchimistes disaient quelque chose de très simple : Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Celui qui a compris cela a tout compris. Ils furent exterminé par l’Eglise pour oser dire cela, car cela contredit le dogme de base sur lequel sont bâtis les 3 religions du livre, ce sacro saint et immuable conflit du bien et du mal, lequel ne peut exister que parce que nous séparons tout de manière arbitraire et superstitieuse entre bien et mal.

    Même bien des marxistes se sont fait avoir. Ainsi pour Plekhanov, lequel a introduit le marxisme en Russie, notamment auprès de Lénine, la cause de toutes les causes est la lutte que l’homme mène avec la nature. Non seulement il fait de cette cause un dogme pseudo-biblique, elle ne peut être qu’une lutte, mais à aucun moment, alors qu’il relève son coté fondamental, il n’envisage de changer ce qu’il appelle la cause de toutes les causes. Je ne sais pas vous, mais moi un marxisme qui ne me permet pas de changer la cause de toutes les causes après l’avoir identifiée, cela ne m’intéresse pas !

    Marx avait bien raison sur le fait que nous sommes en présence d’un cercle vicieux. C’est notre rapport borné avec la nature qui conditionne les autres rapports humains, et à leur tour ces rapports humains bornés conditionnent notre rapport borné avec la nature. Ce qui implique que ce que nous appelons civilisation est un civilisation du pire. Elle ne peut évoluer que vers le pire, c’est son principe même. À Cuba, les indiens en voyant que les espagnols n’étaient intéressés que par leur prendre leur or le jetèrent à la mer. Les espagnols firent un massacre. Aujourd’hui, ce n’est plus la fièvre de l’or mais celle des bourses, et pas des bourses que nous les hommes avons entre les jambes mais cette représentation fictive des marchés économiques que les médias nous servent sur un plateau entre deux crises. Et au nom de ces "bourses" qui servent à tout sauf à faire l’amour, nous n’avons rien trouvé de mieux que de transformer le plus toxique de nos déchets, l’uranium pur dit appauvri, en un arme de destruction massive que nous balançons sur les têtes de nos voisins.

    La prochaine espèce intelligente risque bien d’être le scorpion ou la méduse, il paraît que certaine espèces résistent à tout. Quand à nous, nous sommes le sommet de la chaîne alimentaire, et comme le dit le proverbe, plus dure sera la chute.

    • Salut dominique,

      Quand le plaisir et la jouissance s’affichaient à la télé (vidéo 2’57)

      Les sionistes sont bien plus puritains que les autres. C’est Cromwell qui a inventé simultanément le sionisme et le puritanisme.

      Il fut une époque, dont on ne se rendait pas compte qu’elle était encore heureuse, où le plaisir et la jouissance s’affichaient plusieurs fois par jour à la télévision. Malheureusement, depuis que les sionistes ont pris le pouvoir en ce pays, c’est le puritanisme anglo-saxon qui règne en maître :

      http://mai68.org/spip/spip.php?article4943

      (Lire aussi les commentaires)

      Bien à toi,
      do
      http://mai68.org

      Sinon, c’est en fait parce que ce sont les hommes qui faisaient la guerre qu’ils sont devenus dominants par rapport aux femmes.

      Pourquoi ce sont les hommes qui faisaient la guerre ?

      Quand une tribu envoyait seulement les femmes à la guerre, si elle perdait la guerre de façon désastreuse et qu’une seule femme revenait vivante de la guerre, la tribu était foutue et n’avait pas le moyen de se reconstituer.

      Tandis que quand une tribu envoyait à la guerre uniquement les hommes, si elle perdait la guerre et qu’un seul homme avait survécu, il suffisait à l’homme survivant de baiser chaque nuit avec une femme différente pour que la tribu se reconstitue.

      Par conséquent, la sélection naturelle a fait en sorte que seules les tribus qui n’envoie que les hommes à la guerre survivent.

      En revenant de la guerre, forcément, ce sont les hommes qui ont dominé.

      Avant la guerre, les femmes dominaient, parce que ce sont elles qui portaient les enfants, ces "cadeaux des dieux". Puis parce que, restant sur place parce qu’enceinte ou pour allaiter pendant que les hommes allaient à la chasse, elles ont eu l’occasion d’inventer l’agriculture. Pour faire pousser du blé, il faut un peu rester sur place. Donc les femmes ont dominé à cause de l’économie. Et ce fut la sédentarisation, c’est-à-dire le néolithique, pour profiter à fond de l’« invention » de l’agriculture et ainsi pouvoir nourir tout le monde, car il commençait à y avoir beaucoup de monde à nourrir.

      La guerre est arrivée au néolithique parce que ceux qui étaient encore nomades n’avaient aucun sens de la propriété ; car, ne cultivant rien, ne travaillant pas, ils n’avaient aucun sens de la propriété et pensaient que le blé, par exemple, était à celui qui le ramasse, et ramassaient par conséquent aussi ce qui avait été cultivé par les sédentaires ; et que, les sédentaires travaillant pour avoir ce blé, avaient en conséquence le sens de la propriété et pensaient que c’était du vol quand les nomades prenaient le blé qu’ils avaient cultivé. C’est ce qui donna naissance à la guerre, chacun pensant être dans son bon droit. Et c’est ce qui donna le pouvoir aux hommes sur les femmes, de la façon décrite plus haut.

      À partir du néolithique, il y a propriété, et donc héritage.

      Quand les femmes avaient le pouvoir, l’héritage se faisait de façon matrilinéaire. C’est-à-dire que la fille héritait de sa mère. Et la mère n’avait aucun problème pour savoir que c’était bien son enfant qui allait hériter, et pas l’enfant d’une autre. Les gens pratiquaient en conséquence l’amour libre, comme il est naturel.

      Mais quand les hommes, revenant de la guerre, prirent le pouvoir, les successions se firent de façon patrilinéaire, le fils héritant du père. Mais alors s’est posée une grave question pour le père : « Est-ce bien mon fils qui va hériter ? comment savoir si cette femme n’a pas fait cet enfant avec un autre homme ? »

      La seule façon pour les hommes de s’assurer que c’était bien leur descendance qui allait hériter d’eux, ce fut d’interdire l’amour libre. Et pour l’interdire physiquement, d’horribles choses furent inventées, comme l’infibulation pour s’assurer que la femme arrive vierge au mariage et ne porte donc pas d’enfant à ce moment crucial. Et la circoncision des femmes pour leur supprimer ou diminuer le désir sexuel afin qu’elles ne soient pas ou soient moins tentées d’aller baiser en dehore du couple, etc. Et bien sûr, la morale et la répression sexuelle : les hommes avaient le droit d’aller voir ailleurs, puisque ça ne génait pas pour l’héritage, mais pas les femmes.

      Il n’y a peut-être pas que les dirigeants Juifs qui soient antisexe, quoique les autres soient surtout antisexe pour les femmes et pas pour les hommes ; mais le puritanisme inventé par Cromwell (qui inventa en même temps le sionisme) est bien pire et s’attache à supprimer tous les plaisirs, même pour les hommes. Et, alors que les années succédant à mai 68 et au mouvement hippie furent des années de plaisir et d’amour libre, grâce à la pilule, quand les sionistes prirent le pouvoir en France, le puritanisme prit le pouvoir avec eux : ils arrêtent pas de faire de la propagande contre le plaisir de fumer, de boire, de manger de la viande, de conduire vite, ils s’attaquent même au plaisir sexuel en interdisant la prostitution et en faisant de la propagande contre la pornographie et pour que soit admise l’expression "addiction sexuelle". C’est des tarés !

  • Pour moi dire le néolithique ne signifie pas grand chose. Aujourd’hui dans les forêts humides, il y a encore des peuples qui vivent d’une façon assez semblables à celle de nos ancêtres européens d’avant l’antiquité. Le problème commence vraiment à partir du moment où le rapport de l’homme et de la nature cesse d’être un rapport basé sur l’harmonie de l’homme et de la nature. Marx le montre dans l’idéologie allemande. Il montre aussi que ce changement de rapport de l’homme et de la nature fut le point de départ d’un cercle vicieux qui est allé en se renforçant.

    Les anthropologues contemporains ont prouvé que Marx avait raison, sans trop insister sur le côté cercle vicieux. Pour Marx,

    "l’identité de l’homme et de la nature apparaît aussi sous cette forme, que le comportement borné des hommes en face de la nature conditionne leur comportement borné entre eux, et que leur comportement borné entre eux conditionne à son tour leurs rapports bornés avec la nature…"

    . Ce qui peut être paraphrasé :

    "l’identité de l’homme et de la nature apparaît aussi sous cette forme, que le comportement harmonieux des hommes en face de la nature conditionne leur comportement harmonieux entre eux, et que leur comportement harmonieux entre eux conditionne à son tour leurs rapports harmonieux avec la nature…"

    Dans le même ouvrage, Marx dit aussi

    "Ainsi se développe la division du travail qui n’était primitivement pas autre chose que la division du travail dans l’acte sexuel, puis devint la division du travail qui se fait d’elle-même ou "par nature" en vertu des dispositions naturelles (vigueur corporelle par exemple), des besoins, des hasards, etc. La division du travail ne devient effectivement division du travail qu’à partir du moment où s’opère une division du travail matériel et intellectuel."

    Je ne suis pas entièrement d’accord avec Marx, car si la position sexuelle favorite des occidentaux modernes est le missionnaire, pour les peuples des forêts humides, cette position est une des plus mauvaises car elle ne permet pas aux deux partenaires de s’apprécier de façon égale et pleine. Il lui préfère de loin une position face à face agenouillée, qui permet aux deux partenaires une pleine liberté de mouvements et de jouir pleinement de ces moments de plaisir. Dans ces peuples, il existe une division du travail. Le travail des champs est réalisé par les femmes, la chasse est une activité d’hommes, comme la construction des maisons, la cueillette est une activité où tous participent même les enfants. De plus, ils mènent souvent chasse et cueillette en parallèle. Cependant, je suis bien d’accord quand il dit que la division du travail ne devient effectivement division du travail qu’à partir du moment où s’opère une division du travail matériel et intellectuel. Et cette division là apparaît avec les peuples de guerriers et leurs religions de domination.

    Différencier travail intellectuel et matériel implique de séparer le corps et l’esprit. Or pour pouvoir faire cela, il faut commencer par attribuer des qualités surnaturelles aux choses afin de pouvoir les séparer et le hiérarchiser. Ce qui nous ramène au rapport de l’homme avec la nature. L’homme est séparé de la nature, ce qui permet de le séparer de sa nature en séparant corps et esprit, ce qui permet de séparer les hommes entre aux, certains se retrouvant plus spirituels (plus proches des dieux) que les autres.

    Maintenant la question de savoir si la séparation de l’homme et de la nature a précédé l’apparition des idéologies religieuses qui justifient moralement cette séparation me semble secondaire. Cela fait plusieurs millénaires que suite à cette séparation notre société est engagée dans une spirale du pire, et il est donc plus important de reconnaître ce cercle vicieux ainsi que sa cause première : la séparation de l’homme et de la nature. Casser ce cercle vicieux est une chose, l’empêcher de renaître de ses cendres implique de changer sa cause première, de changer notre rapport avec la nature.

    Le puritanisme sioniste est le produit de son époque, et il n’est pire que ceux qui l’ont précédé que parce que notre société est dans une spirale du pire. Dans l’idéolog9ie bourgeoise, il y a 3 composantes à l’exploitation :

    • la forme d’exploitation fondamentale qui autorise toutes les autres est l’exploitation de la nature par l’homme. Elle implique une séparation de l’homme et de la nature sur une échelle verticale allant des dieux au reste de la création en passant par l’homme.
    • vient ensuite l’exploitation du travail manuel. Elle implique une séparation de la chair et de l’esprit, l’esprit est valorisé par rapport à la chair, ce qui permet non seulement d’exploiter les ouvriers manuels mais aussi aux religions de véhiculer toutes sortes de tabous sexuels dans la société. Ces tabous sont la cause première des frustrations sensorielles, frustrations qui quand elles sont accumulées transforment les sentiments en ressentiments, ce qui signifie que la violence non contrôlée peut remplacer la rationalité. Aujourd’hui, ces religions prennent souvent la forme de scientisme, voir par exemple l’expression "la masturbation rend sourd", laquelle n’a pas été diffusée par des religieux mais par des pseudos-scientifiques.
    • en dernier vient l’exploitation générale de l’homme par l’homme. Elle est une séparation des hommes entre eux basée sur toutes sortes de critères arbitraires, moi et les autres. Elle tient à la fois du racisme ordinaire et du racisme institutionnalisé. C’est la généralisation de la séparation de la chair et de l’esprit à toutes sortes de critères racistes.

    Dans ce contexte, il faut bien voir que ces 3 problématiques ne sont en fait qu’une seule et même problématique. Les religions ne s’y sont d’ailleurs pas trompées : leurs dogmes de base, en un seul dogme, séparent l’homme de la nature, l’esprit de la chair et les hommes entre eux. Il n’est dés lors pas étonnant de constater que ceux qui défendent le puritanisme défendent aussi les guerres de conquêtes de l’empire, la colonisation sioniste de la Palestine, l’ultra-libéralisme économique et la destruction de la nature.

  • A propos de fumette, j’ai réussi à arrêter de fumer des clopes. Et sans devenir nerveux ni prendre de médicament : simplement en fumant les cigares que j’ai ramené de Cuba. Et non seulement tu n’avales pas la fumée, mais c’est aussi bien meilleur tout en ne jaunissant pas les doigts.

    Ici, leur croisade anti-fumeurs c’est de la connerie raciste à l’état pur. Plutôt que de reconnaître les méfaits de notre mode de vie dus à la pollution massive et générale qu’il produit, et prendre des vraies mesures pour limiter cette pollution en passant à un mode de vie durable ainsi que des vraies mesures de santé publique, ils nous taxent de partout et pour faire passer la facture désignent des boucs émissaires, quand ce ne sont pas les roms ce sont les fumeurs.

    Quand je fume par exemple un Montechristo "A", près de 25 cm de pur plaisir, je pollue bien moins que pour faire le tour du quartier en voiture, et c’est un plaisir qui dure bien plus longtemps. La voiture est le meilleur exemple que je connaisse de l’équation mépris de la nature = mépris des autres. On pollue pour se déplacer et ce qu’on pollue ainsi est l’air des autres. Ceci dit, je suis aussi bien conscient que c’est tout notre système de transport et ses priorités qui sont à revoir.

    Lors de la révolution industrielle, de nombreux travailleurs des champs sont venus travailler dans les villes. Ils pouvaient alors aisément aller au travail à pied ou en vélo. Mais lors des 30 glorieuses, une mode se fit jour peu à peu : acheter une voiture, pour les vacances et l’évasion d’après les pubs, alors que la plupart du temps que l’on passe dedans est pour aller au travail ou en revenir. Ce fut l’exode à la campagne des travailleurs, lesquels pour la plupart continuèrent à travailler en vile.

    Aujourd’hui, la plupart des ouvriers sont des pendulaires qui utilisent leur voiture pour amener les enfants à l’école car il n’y a plus d’école de proximité, pour aller faire les courses car il n’y a plus de commerce de proximité, ou pour aller travailler car il n’y a plus de travail de proximité. Quand ils vont chez le toubib, celui-ci leur dit de faire de l’exercice, alors comme ils ne savent plus faire autrement, ils reprennent leur voiture pour aller au fitness. Et pendant ce temps nos médias plutôt que de montrer les sportifs anonymes qui vont au travail à pied ou en vélo, nous montre des sportifs d’"élite" qui vont à l’entraînement en Ferrari et nos dirigeants détruisent et terrorisent des pays entiers pour continuer à approvisionner nos pays en pétrole bon marché. Là les puritains applaudissent quand il ne sont pas partie prenante de ces infamies.

    Quand à la vitesse en voiture, je suis avant tout un piéton et un cycliste qui ne peut que constater le manque quasi total d’infrastructures pour les non motorisés ainsi qu’une statistique têtue : alors que le nombre de morts dus aux accidents de la route diminue, celui des non motorisés assassinés par les motorisés est en constante augmentation dans la plupart des pays industrialisés. Ce qui m’amène à penser que sur les autoroutes où il n’y a dans ces pays que des non motorisés, ceux-ci devraient pouvoir faire ce qu’ils veulent et même s’entre-tuer s’ils le souhaitent. Ils seraient ainsi peut-être plus enclins à faire attention et à respecter les non motorisés en dehors des autoroutes, ou a accepter que de l’argent soit dépensé pour des infrastructures à l’usage des non motorisés.

    Un cycliste sur une piste cyclable en Suède a la priorité sur absolument tout. Mais encore pour cela faut-il qu’il y ait des pistes cyclables ! à part le fait qu’il n’y a quasiment pas d’accident mortel à vélo en Suède, une autre conséquence est que cyclistes et automobilistes s’y respectent au lieu de s’insulter comme chez nous ! Et ne me dites pas que les cyclistes roulent n’importe comment : s’ils avaient des infrastructures dignes de ce nom à disposition ils ne seraient pas obliger de le faire ! Une autre mesure simple pour inciter les motorisés à la prudence et au respect des autres pourrait être de faire comme en montagne : planter une croix à chaque endroit où il y a eu un accident mortel.

    Pour revenir à Cuba, j’ai adoré. C’est vraiment un endroit où les gens sont plus humains que chez nous. Comme partout il y a aussi des cons, mais à la différence de chez nous ce ne sont pas eux qui sont au pouvoir. Les cubainEs sont aussi très ouverts, très bien éduqués et au fait des réalités non seulement de Cuba, mais aussi du reste du monde, ce qui fait qu’ils ont une grande facilité pour aller directement à l’essentiel. En même temps, ils ont une grande simplicité, carrément de l’authenticité, et une immense joie de vivre, et bien que beaucoup soient croyants, la morale judéo-chrétienne et son puritanisme est un truc qui n’a pas prit dans l’île.

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