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Les maquereaux US exigent des licenciements chez BNP Paribas

dimanche 1er juin 2014, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 1er juin 2014).

Marcel : « Les autorités US exigent des licenciements chez BNP Paribas : c’est vraiment la conduite des macs. Que c’est triste ! les institutions US se conduisent comme des macs. le gouvernement mondial c’est pas plus de place pour tous, mais la parole et la puissance entre les mains d’un seul État. Ce sont des formes développées de l’impérialisme et elles iront vers pire. Personne ne protestera réellement à l’intérieur de cette autre forme développée de l’impérialisme qu’est l’Union Européenne. C’est un nouveau genre d’hommes qui est en train de naître sous nos yeux, des mutants qui n’ont plus pour racines et pour rêves que les fonds des coffres forts. »

Xarlo : « Un certain général les aurait envoyés aux pelotes mais maintenant, ils font la loi dans l’Etat français.
Eux et tous les friqués de la Terre… »


Les autorités US exigent des licenciements chez BNP Paribas

http://fr.reuters.com/article/idFRKBN0EC17J20140601?sp=true

Dimanche 1 juin 2014 10h55

par Karen Freifeld

NEW YORK (Reuters) - Les autorités bancaires de l’Etat de New York réclament le licenciement d’une dizaine de dirigeants de BNP Paribas, en plus du paiement de plus de dix milliards de dollars, pour régler l’enquête en cours sur des soupçons d’infraction aux sanctions contre l’Iran et plusieurs autres pays, apprend-on de source proche du dossier.

Des membres de la "direction générale" sont visés, selon une des deux personnes interrogées samedi par Reuters.

L’autre croit savoir que le responsable de la réglementation bancaire pour l’Etat de New York, Benjamin Lawsky, ne devrait pas demander le départ des deux ou trois principaux dirigeants de la banque aux Etats-Unis. Certains employés ont été remerciés et d’autres départs sont attendus, a-t-on ajouté.

BNP Paribas et le bureau Benjamin Lawsky n’ont pas souhaité commenter ces informations.

BNP Paribas est également en discussion avec d’autres autorités américaines, notamment le département de la Justice et le procureur de Manhattan.

Les autorités américaines cherchent à savoir si la banque française a cherché à contourner les sanctions imposées par les Etats-Unis à plusieurs pays et principalement au Soudan, entre 2002 et 2009.

De source proche des négociations, on estime que la transaction en cours avec les autorités américaines prévoit le versement d’une amende qui pourrait être supérieure à dix milliards de dollars (7,3 milliards d’euros) ainsi qu’une reconnaissance par la banque de sa culpabilité.

La banque pourrait également se voir interdire pendant un certain temps de régler des transactions en dollars.

La durée d’une telle suspension, potentiellement dévastatrice, n’est pas précisée, ni les activités concernées.

"QUELQU’UN L’A FAIT"

BNP Paribas compense des milliards de dollars via New York chaque jour, souligne-t-on, que ce soit dans le trading, les comptes ouverts chez elle ou les transactions sur les marchés des changes. La banque pourrait alors perdre des transactions rentables mais aussi perdre les clients concernés.

Le montant définitif de l’amende n’est pas fixé, explique-t-on, mais les négociations portent désormais sur une somme "supérieure à huit milliards de dollars".

Le département des services financiers de l’Etat de New York et le parquet de Manhattan obtiendraient chacun deux milliards de dollars, l’autre moitié étant répartie entre le département de la Justice et d’autres autorités concernées par les enquêtes, notamment le département du Trésor.

Benjamin Lawsky, un ancien procureur fédéral qui a à son actif la condamnation de grandes banques telles que Standard Chartered ou Credit Suisse à de lourdes peines, a fait savoir qu’il centrait son enquête sur le thème de la responsabilité personnelle.

"Si une banque commet une infraction pénale ou si une banque commet de graves violations de la réglementation, c’est que quelqu’un au sein de cette banque l’a fait. Une société est une chose inanimée", a déclaré Benjamin Lawsky le mois dernier.

D’autres facteurs doivent aussi être pris en compte avant de décider si la haute direction doit être tenue pour responsable des activités de ses subordonnés, a-t-il toutefois ajouté.

Il faut, a-t-il dit, regarder "ce qu’ils ont fait ou ce qu’ils n’ont pas fait ou ce pour quoi ils ont mis la tête dans le sable ou ce qu’ils n’ont pas contribué à changer."

"Il faut une analyse soigneuse, quand il s’agit d’individus, de leur vie et de leur carrière", a-t-il ajouté.

Depuis le 13 février, date à laquelle BNP a pris une provision de 1,1 milliard d’euros en vue d’une éventuelle amende, l’action a perdu plus de 13%.

(Aruna Viswanatha et Douwe Miedema, Mathilde Gardin et Danielle Rouquié pour le service français)

1 Message

  • Il n’y a qu’un seul mot pour caractériser la politique d’USrael, c’est hutzpah !

    Et il n’y a qu’un seul mot pour caractériser la politique des autres membres de l’OTAN, c’est servilité.

    Ceux qui gouvernent la France d’aujourd’hui,

    dans le langage des noirs des USA seraient appelés des "Uncle Tom"

    et dans le langage du IIIe Reich, des kapos.

    …alors même que Haaretz vient de confirmer que toute la campagne sur la volonté de l’Iran de se doter de l’arme nucléaire repose sur des faux

    …comme les armes de destrucions massives de Saddam Hussein, comme les charniers de Timisoara, comme l’incident du Golfe du Tonkin, comme Kadhafi tirant "contre son propre peuple" à Benghazi, comme les tirs de Yanoukovicth contre les manifestants du maïdan, comme l’attaque au gaz sarin dansle rif de Damas

    comme, comme, comme, com. com. com. … … …et le mensonge continue sous les gouvernements de la servitude volontaire, en Europe, dans le monde arabe, en Afrique, et ailleurs encore pour un temps.

    Bruno

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