VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > France - 17 juin 2014 - Plusieurs jours avant le bac de philo la télé disait (...)

France - 17 juin 2014 - Plusieurs jours avant le bac de philo la télé disait que ça porterait sur le "bonheur"...

lundi 16 juin 2014, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 16 juin 2014).

Plusieurs jours avant le bac de philo la télé disait que ça porterait sur le "bonheur". Je l’ai entendu plusieurs fois ! Puis, le jour de l’examen, la télé s’est indignée que le sujet ait été révélé sur Twitter. J’ai trouvé cela plutôt comique. Le gouvernement disait alors que l’examen ne serait toutefois pas annulé. Et maintenant, pour justifier cette non-annulation, on nous prétend que le sujet n’avait pas fuité. Je rigole de plus en plus ! voilà par QUI et COMMENT l’on est gouverné ! Car cet exemple est valable pour tout : on nous ment tout le temps ! On se fout de notre gueule en permanence.

Tout le monde doit se mettre en grève pour soutenir les grèves de la SNCF et des intermittents du spectacle. Tous les grévistes doivent s’unir au sein de la même coordination. Coordination dont le but final sera de nous diriger nous-mêmes, c’est-à-dire de ne plus avoir de dirigeants. Ainsi, on ne sera plus manipulés par divers mensonges.

Une seule solution, la révolution !


Pas de fuites au premier jour du baccalauréat, dit Benoît Hamon

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0ER0YX20140616

Lundi 16 juin 2014 14h08

PARIS (Reuters) - Le ministre de l’Education nationale a démenti lundi l’existence de fuites au premier jour des épreuves du baccalauréat, soulignant que la situation était "parfaitement maîtrisée".

Le ministère avait saisi lundi les services de lutte contre la cybercriminalité de la gendarmerie au sujet d’une suspicion de fuite des sujets de philosophie via Twitter, qui aurait pu bénéficier à des candidats retardés par la grève à la SNCF.

"Je veux rassurer tout le monde, il n’y a pas eu de fuites", a déclaré Benoît Hamon dans une brève déclaration à la presse.

"Selon les informations de la gendarmerie qui m’ont été communiquées, il semblerait que ce soit totalement inexact et qu’il n’y ait eu aucune fuite de ces sujets après l’heure de divulgation de ces sujets", a-t-il dit.

"Il a pu y avoir (…) la divulgation, après 08h00, d’un ou deux comptes Twitter des sujets, mais nous sommes là dans une situation qui a été parfaitement maîtrisée et qui au pire aurait pu concerner une cinquantaine de retardaires", a précisé le ministre.

Il dément également la divulgation de sujets dans la nuit de dimanche à lundi. "Je veux rassurer les candidats qui ont passé l’épreuve et qui seraient inquiets de cela".

Divulguer le texte ou le sujet d’une épreuve d’un examen national est passible d’une peine de trois ans d’emprisonnement et d’une amende de 9.000 euros.

Quelque 687.000 candidats ont commencé à plancher lundi en France sur les épreuves du baccalauréat.

(Sophie Louet et Chine Labbé, édité par Yves Clarisse)

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0