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Les zio-nazis se déchaînent dans la Palestine occupée

jeudi 17 juillet 2014 (Date de rédaction antérieure : 17 juillet 2014).

Nous avons appris hier que 3 suspects israéliens avaient avoué avoir brulé à mort l’adolescent palestinien Mohammed Abu Khdair. Les tueurs ont même rejoué leur acte macabre pour la police.

Les médias occidentaux traitent cet incident comme un crime isolé. Ce n’est pas le cas. Pendant les dernières 14 années, les israéliens ont tué un enfant palestinien tous les 4 jours en moyenne.

Des enfants dans la bande de Gaza assiégée

Pendant la deuxième partie de juin, pendant que les médias globaux dominés par les sionistes tambourinaient sur les "3 adolescents israéliens kidnappés", plusieurs palestiniens furent tués par l’IDF (les Forces Armées Sionistes) y compris Mohammed Dudin âgé de 15 ans, qui fut assassiné à Dura le 20 juin. La couverture du meurtre de Mohammed Dudin par les médias corporatifs fut négligeable. Pour les médias mainstream, les vies des juifs israéliens sont précieuses, alors que les vies des palestiniens ne valent rien ou pas grand chose.

Les statistiques amènent à cette conclusion. Une étude d’If Americans Knew (Si les américains savaient) montre que le New York Times, le journal de référence des USA, rend compte de la mort des enfants israéliens à un taux 6,8 fois plus élevé que celle des enfants palestiniens.

Dans une interview exclusive pour la Truth Jihad Radio (Radio de la vérité du Jihad), le professeur palestinien Mazin Qumsiyeh déclare : “Nous avons un grand problème avec la façon dont les médias américains rendent compte de la situation. Entre l’an 2000, quand le soulèvement a commencé, et aujourd’hui, nous avons vu plus de 1540 enfants palestiniens se faire tuer par des soldats israéliens ou des colons illégaux. Ces enfants sont à peine mentionné quelque part dans les médias occidentaux ; alors que pour chaque israélien tué, nous connaissons tous les détails sur ces personnes."

Comment expliquer cette différence ? Le New York Times, comme beaucoup des médias mainstream occidentaux, est la propriété de sionistes et il est dirigé par des sionistes. Dans l’article intitulé “Est-ce que les juifs dominent les médias américains ? Et si c’est ainsi qu’est-ce-que nous faisons ?” le juif ex-journaliste du New York Times Philip Weiss note que les juifs pro-israéliens dominent de fait les médias américains. Il ajoute : “Le résultat est que les américains ne reçoivent pas toute l’histoire d’Israël et de la Palestine.”

Pourquoi les juifs américains qui dominent les médias américains forcent-ils leur parti pris pro-israélien dans leur couverture des nouvelles - au point de dévaluer radicalement la vie des enfants palestiniens ? Weiss explique : « La cohorte juive dont je fais partie a largement accepté le devoir que Max Frankel a estimé (être le nôtre), de soutenir Israël. Cette obligation est rarement interrogée, et pourtant nous savons tous, consciemment ou pas que l’opinion publique américaine / le leadership américain sont essentiels à l’invulnérabilité politique d’Israël ; et nous pensons que si nous enlevons nos doigts de la digue, qui sait ce qui va se passer. "

Les sionistes des médias corporatifs dissimulent aussi les atrocités israéliennes contre les jeunes Américains. (Ces journalistes apparemment s’identifient plus avec les Israéliens qu’avec les Américains.) Jeudi dernier, par exemple, le citoyen américain de 15 ans Tariq Abu Khodeir, un cousin de la victime lynchée Muhammad Abu Khodeir, a été horriblement battu par la police israélienne de Jérusalem occupée. Il a donné une interview déchirante décrivant l’agression : "Et ils m’ont frappé, et ils ont continué de me frapper, puis je me suis endormi et je me suis réveillé à l’hôpital." Les médias traditionnels américains, comme d’habitude, ont enterré l’histoire … tout comme ils ont enterré l’histoire de Furkan Dogan, l’adolescent américain abattu par des soldats israéliens à bord du Mavi Marmara.

Un nombre croissant d’Américains juifs, dont Philip Weiss, ont développé une vision plus précise et compatissante du conflit en Palestine occupée. De plus en plus de Juifs américains sont confrontés à l’horrible vérité : l’Israël sioniste est chaque qui passe de plus en plus comme l’Allemagne nazie.

Durant la semaine écoulée, les Juifs israéliens ont formé des brigades de lynchage dans les rues pour traquer et brutaliser les Arabes. Leurs actions rappellent à de nombreux observateurs les gangs nazis qui pourchassaient et brutalisés les Juifs dans l’Allemagne des années 1930.

La politique d’Israël envers ses voisins est également une réminiscence de l’Allemagne nazie. Il est bien connu que Hitler cherchait son "espace vital", ce qui signifie un "territoire jugé nécessaire pour l’existence nationale ou l’autosuffisance économique." Alors il a lancé des guerres d’agression et de colonisation, avec l’intention de saisir et d’occuper des territoires dans les pays slaves de l’est.

Israël a lancé des guerres blitzkrieg pour l’espace vital sur une base régulière depuis que les sionistes ont commencé à saisir le territoire palestinien en 1948. Ces invasions sont des violations flagrantes des principes de Nuremberg, qui déclarent que la guerre d’agression est le crime de guerre suprême. Pourtant, Israël s’excuse en affirmant que, parce qu’elle était fondée (en partie) par des réfugiés de l’Allemagne nazie, il a le droit de s’engager dans un comportement de type nazi.

Le sionisme et le nazisme ont quelque chose en commun : la supériorité raciale. Les nazis et les sionistes se croient une « race » ou « peuple élu » dont le destin est de dominer des êtres inférieurs. Les nazis regardaient les Juifs, les Tsiganes, les Slaves, les Arabes et les Africains de la même manière que les sionistes regarder vers le bas sur les Arabes (et goyim en général) aujourd’hui.

Le racisme sioniste, comme le racisme nazi, est virulent au point d’être génocidaire. Comme le dit le professeur de droit international Francis Boyle, la « solution finale » du sionisme à la supposée et tant vantée raciste « menace démographique » d’Israël que poserait soi-disant l’existence même des Palestiniens a toujours été un génocide, que ce soit au ralenti ou par des à-coups assoiffés de sang de violence. "Tout comme les nazis se sont dévoués à la construction d’un Reich en perpétuelle expansion et libre de la souillure de races inférieures, les sionistes se sont également repliées sur le nettoyage ethnique d’une part de plus en plus grande de la Palestine. Après cela, la ligne dure des sionistes promettent que viendra tout le Moyen-Orient du Nil à l’Euphrate.

La bande de Gaza - que certains appellent le plus grand camp de concentration à ciel ouvert du monde, d’autres le nouveau Ghetto de Varsovie - est encore une fois bombardée. Des israéliens se demandent à voix haute si Netanyahu envisage une nouvelle invasion terrestre sanglante. Des observateurs chevronnés du Moyen-Orient tels que Alan Hart, l’ancien correspondant en chef de la BBC au Moyen-Orient lance un avertissent tonitruant qu’un jour prochain Israël pourrait lancer une large guerre au Moyen-Orient qui permettrait aux sionistes de terminer le nettoyage ethnique de la Palestine sous le "brouillard de la guerre."

Le slogan de l’après seconde guerre mondiale « plus jamais » est obsolète. Cela se produit de nouveau. Les nouveaux nazis - les sionistes - sont légions en Palestine et ils poussent le monde vers la guerre totale.

KB/HSN

Le Dr. Kevin Barrett, un professeur en arabisme et islamologie est un des critiques les plus connus aux USA de la guerre contre le terrorisme.

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