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France - 8 septembre 2014 - Chantage du pouvoir : si on conteste le gouvernement Rothschild, ils mettront le Pen !

dimanche 7 septembre 2014, par do (Date de rédaction antérieure : 7 septembre 2014).

FACE AU FAUX CHOIX :

UNE SEULE SOLUTION LA RÉVOLUTION !

Bonjour à toutes et à tous,

La propagande du pouvoir n’a de cesse de nous expliquer à la télé que si l’on refuse le gouvernement actuel en le contestant un peu trop, alors "on" nous mettra le Pen à la direction du pays. On sait que l’actuel gouvernement est un gouvernement Rothschild et qu’Emmanuel Macron n’est que le donneur d’ordre de Rothschild auprès d’Hollande. Il reste à se souvenir qu’il y a peu d’années Marine le Pen a fait allégeance au sionisme, et que le grand maître du sionisme est justement Rothschild, pour prendre conscience que le choix entre un gouvernement P"S" et un gouvernement bleu-marine est un faux-choix. Et ce sera un faux choix même du point de vue du fascisme, puisqu’Hollande a avoué récemment qu’il était un dictateur !

VIVE LA GRÈVE GÉNÉRALE SAUVAGE TOTALE ET ILLIMITÉE :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1081

Bien à vous,
do
http://mai68.org

Emmanuel Macron est le donneur d’ordre de Rothschild auprès d’Hollande :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7834

(Hollande et Valls nomment un gouvernement Rothschild - vidéos 1’57 et 3’36 et 35’’)

Hollande avoue être un dictateur (vidéos Hollande 21’’, et de Gaulle 19’’) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7890

Marine le Pen a fait allégéance au sionisme :

Marine le Pen a été interviewée par le journal israélien Haaretz le 7 janvier 2011. Elle y a déclaré notamment que « the National Front has always been Zionistic » [« Le Front National a toujours été sioniste »]. Ceux qui disaient qu’il ne fallait pas dire que sionisme = nazisme auront sûrement être très contents !

Extraits d’un article du journal israélien Haaretz : « Marine Le Pen, chef du Front National, affirme qu’elle n’a aucune amitié pour le président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Elle a insisté pour que l’on sache que ses commentaires anti-israéliens du passé étaient un stratagème populiste pour gagner le soutien du public. Elle a fait ces remarques en français dans un entretien téléphonique diffusé mercredi sur Radio 90, une station israélienne. »

Article complet : http://mai68.org/spip/spip.php?article4334

Rothschild est le grand maître du sionisme :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1542

La loi Rothschild, cause de l’endettement de la France :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

4 Messages de forum

  • Valls et des ténors PS appellent à tenir, évoquent le péril FN

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0H20A920140907?sp=true

    Dimanche 7 septembre 2014 17h58

    PARIS (Reuters) - Manuel Valls et les ténors du Parti socialiste appellent les membres de la majorité à serrer les rangs pour défendre François Hollande, qui a écarté toute idée de démission face à défiance qui s’élève dans l’opinion à mi-quinquennat.

    Après une semaine dévastatrice pour le chef de l’Etat, marquée par le livre de son ex-compagne Valérie Trierweiler le présentant comme un homme de gauche n’aimant pas les pauvres, le Premier ministre a dit maintenir le cap.

    "Je n’ai pas à me laisser impressionner par les débats internes, et encore moins par les demandes de démission ou de dissolution, et par une extrême droite qui se croit au bord du pouvoir", a-t-il dit en marge d’une rencontre à Bologne avec le chef du gouvernement italien Matteo Renzi.

    "Elle est où l’alternative ? Aujourd’hui, si nous ne faisons pas attention, l’alternative c’est une droite dure ou l’extrême droite", a-t-il ajouté sur BFM-TV. "C’est la mise en cause de notre pacte républicain et social. C’est ce qu’on veut ?"

    Décrivant un régime crépusculaire, la présidente du Front national, Marine Le Pen, avait auparavant appelé une nouvelle fois le chef de l’Etat à dissoudre l’Assemblée nationale.

    Selon une enquête de l’Ifop pour le Journal du dimanche (JDD), 85% des Français ne souhaitent pas que François Hollande postule à un second mandat et, surtout, l’idée d’une dissolution progresse, passant en moins de trois mois de 17% à 23%.

    François Hollande, qui traverse une impopularité record, a rejeté vendredi toute idée de démission avancée par certains élus UMP et l’extrême droite, alors que le Front national semble progresser sondage après sondage.

    "Il n’y a pas de sondage, aussi difficile soit-il (…) qui puisse interrompre le mandat que donne le peuple au président de la République", a dit le chef de l’Etat lors d’une conférence de presse. "J’agis et j’agirai jusqu’au bout".

    Des politologues considèrent que la marge de manoeuvre de François Hollande, qui peut, outre démissionner, dissoudre l’Assemblée nationale ou convoquer un référendum qui le relégitimerait, est faible.

    Mais Manuel Valls, qui semble entraîné dans la chute du président seulement cinq mois après son arrivée à Matignon, appelle les socialistes à "tenir".

    "Je ne crois pas que les Français souhaitent une crise institutionnelle qui se grefferait à la crise économique, sociale, qui dure depuis des années", dit-il au JDD.

    AUBRY VA FAIRE DES PROPOSITIONS

    "Les Français ont élu le président de la République pour cinq ans, c’est lui qui a la légitimité du peuple. J’en appelle à la responsabilité de la gauche et du PS", ajoute-t-il. "Il faut tenir".

    Julien Dray, vice-président PS du conseil régional d’Ile-de-France et proche du chef de l’Etat, a dénoncé dimanche "la démocratie d’opinion" et les "orages médiatiques qui finissent par créer l’événement".

    "Je ne veux pas que s’établisse une sorte d’ébullition qui donnerait le sentiment que le pays est au bord du gouffre. Le pays n’est pas au bord du gouffre", a-t-il dit au Grand Rendez-Vous sur Europe 1, i>télé et Le Monde.

    La maire de Lille, Martine Aubry, a cependant fait entendre sa différence en annonçant qu’elle allait faire des propositions par écrit cette semaine au gouvernement pour obtenir une inflexion de la politique économique.

    "Je pense qu’il y a des inflexions à faire dans la politique économique", a-t-elle dit sur Europe 1. "Je parlerai dans quelques temps, les propositions je les ferai par écrit, pas dans les petites phrases".

    Pour Claude Bartolone, le président PS de l’Assemblée nationale, qui écarte lui aussi toute idée de dissolution, la crise actuelle montre que les institutions sont "dépassées".

    "L’idée de confier, tous les cinq ans, notre destin à un sauveur suprême est finie", dit-il au JDD.

    Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS, prône lui aussi une réforme institutionnelle, appelant la gauche à la raison alors que Manuel Valls doit demander la confiance pour son second gouvernement le 16 septembre.

    "Je crois que la Ve République est en train de montrer qu’elle est finie (…) elle n’est plus adaptée ni au temps politique ni à la question du dialogue", a également estimé Emmanuelle Cosse, la responsable d’Europe Ecologie-Les Verts au Forum de Radio J.

    (Gérard Bon)

  • Marine Le Pen réclame à nouveau une dissolution

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0H20JA20140907?sp=true

    Dimanche 7 septembre 2014 17h04

    FREJUS (Reuters) - Marine Le Pen s’est posée en recours dimanche face à la "situation catastrophique" que traverse à ses yeux le pays, prédisant l’échec du gouvernement Valls 2 et enjoignant François Hollande de dissoudre l’Assemblée nationale.

    A la tête du "premier parti de France" depuis son succès aux élections européennes, la présidente du FN s’est efforcée de galvaniser les jeunes de son parti réunis à Fréjus (Var) en vue de la présidentielle de 2017.

    Ironisant sur le "numéro d’illusionniste" joué "remaniement après remaniement" par le chef de l’Etat, Marine Le Pen a comparé le gouvernement Valls 2 à un "cirque" et décrit un régime crépusculaire.

    "Nous ne sommes pas encore à la moitié du mandat de François Hollande que le soleil semble déjà se coucher sur ce quinquennat crépusculaire", a-t-elle lancé.

    Pour la présidente du FN, "il est plus que jamais nécessaire de rendre la parole aux Français et de dissoudre l’Assemblée nationale".

    "François Hollande cherche à gagner du temps, mais le mal est trop profond", a-t-elle ajouté. "Dissoudre l’Assemblée nationale serait la seule décision responsable" du chef de l’Etat depuis le début de son quinquennat.

    Marine Le Pen a pris pour cible trois membres du gouvernement, Emmanuel Macron (Economie), Najat Vallaud-Belkacem (Education) et Christiane Taubira (Education, qu’elle qualifie de "trio franco-sceptique".

    "TRIO FRANCO-SCEPTIQUE"

    "Avec le trio franco-sceptique Macron, Belkacem, Taubira, nous savons à quoi nous en tenir. Le libéral, la libertaire et la laxiste portent les germes des prochaines calamités", a-t-elle dit.

    La présidente du FN voit dans le récent sondage la donnant en tête au premier tour de la présidentielle de 2017 et battant François Hollande au second - mais aucun des candidats potentiels de l’UMP - une validation de sa stratégie.

    "Les sondages nous donnent de l’espoir, ils nous montrent qu’il n’y a plus de plafond de verre qui empêcherait notre victoire électorale", a-t-elle dit.

    Autre signe positif pour Marine Le Pen, l’idée d’une dissolution progresse dans l’opinion (23%) tandis que 85% des Français ne souhaitent pas que le chef de l’Etat se représente, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche.

    Tout en sachant qu’il lui serait impossible, en cas de dissolution, d’obtenir la majorité au palais Bourbon sans alliances, Marine Le Pen veut accréditer l’idée qu’elle est prête à gouverner en vue de la présidentielle de 2017.

    Elle estime que le dernier remaniement est "la dernière cartouche" de François Hollande avant une dissolution.

    "Je suis respectueuse des institutions. Je ne remets pas en cause la légitimité du président. Mais il n’a plus la confiance du peuple, il doit donc en tirer les conséquences", a-t-elle dit au Monde, publié vendredi.

    Elle assure aussi qu’elle ne se déroberait pas en cas de cohabitation et accepterait de prendre la tête du gouvernement, fustigeant les ténors de l’UMP qui s’y refusent par crainte de compromette les chances de la droite au scrutin présidentiel.

    "Quand le peuple commande de gouverner, on gouverne, c’est la seule attitude digne", a-t-elle dit à Fréjus.

    Le programme des deux jours de l’université d’été de Fréjus a eu des allures de formation accélérée pour les jeunes pousses du FN devant lesquels les maires du parti ont tiré un premier bilan de leur action.

    En puissance invitante, David Racheline, 26 ans, le maire FN de la ville, a vanté une gestion "de bon sens", arc-boutée sur la sécurité et le désendettement.

    (Gérard Bon, avec Nick Vinocur à Fréjus)

  • Ils mettront Le Pen que tu contestes o que tu soutiennes tout autre gouvernement.
    Et un gouvernement le Pen ne sera pas beaucoup plus terrible qu’un gouvernement Valls – cesse de te turlupiner et de te faire peur avec cela,

    Tout gouvernement des riches sera terrible dans l’avenir

    J’ADORE TA CONCLUSION = UNE SEULE SOLUTION LA RÉVOLUTION EXACT

    Robert

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