Il s’agit d’un blocage administratif, sans l’intervention d’un juge, ce qui laisse le ministère de l’Intérieur seul juge des critères justifiant une telle mesure.
Le 16 mars 2015, un peu plus d’un mois après la promulgation du décret de la loi permettant le blocage de sites faisant l’apologie du terrorisme, le ministère de l’Intérieur français est passé aux actes avec une première vague de cinq plates-formes.
"Ils servent de rodage, il y aura d’autres vagues pour perfectionner le système", ajoute-t-on au ministère de l’intérieur !
Ils font semblant de s’attaquer dans un premier temps à des sites présentés comme "djihadistes", ou faisant soit-disant de la propagande pour le terrorisme, mais en réalité, tout le monde est visé. Et ces gens-là, tous ces Charlie qui prétendent dénoncer de prétendues dictatures dans le monde entier voient la paille dans l’oeil des autres mais pas la poutre qui est dans le leur.
Tous ces Charlie prétendent défendre la liberté d’expression, mais il s’agit en réalité d’une liberté d’expression réservée purement et simplement au pouvoir et au sionisme.
Qu’ils commencent donc par censurer tous ces sites internet qui font de la propagande auprès des Juifs français pour aller tuer du Palestinien en Palestine occupée ! et qu’ils interdisent tant qu’ils y sont toutes ces fêtes qui ont lieu en France et qui ont pour but de financer les guerres israéliennes destinées à spolier toujours plus les Palestiniens ! Et qu’ils censurent donc toutes ces propagandes sionistes à la télévision destinées à envoyer les Juifs de France en Israël pour aller voler un peu plus les terres des Palestiniens, au besoin en assassinant ceux-ci !
Car, au fond, QUI fait le plus de propagande en France pour le DJIHAD, c’est-à-dire pour la guerre, les islamistes, ou les sionistes ?
Et avec ça, QUI s’est débrouillé pour faire monter la sioniste Marine le Pen à 30% ?
Ce qui se passe en France est un vrai scandale !
À quand la levée en masse ?
Premiers blocages de sites djihadistes en France
http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN0MC1KZ20150316?sp=true
Lundi 16 mars 2015 20h11
PARIS (Reuters) - Un peu plus d’un mois après la promulgation du décret de la loi permettant le blocage de sites faisant l’apologie du terrorisme, le ministère de l’Intérieur français est passé aux actes avec une première vague de cinq plates-formes.
Après une période de rodage, cette mesure visant à contrer la propagande djihadiste est susceptible de viser plusieurs centaines de sites signalés par les services de renseignement, dit-on lundi au ministère.
Ce dispositif est complémentaire de celui déjà mis en place par des réseaux sociaux ou sites de partage du type Twitter, Facebook ou YouTube.
La page d’accueil du site islamic-news.info a ainsi affiché dimanche une main rouge, accompagnée d’un message du ministère de l’Intérieur, avant que l’hébergeur ne la retire complètement.
"Vous avez été redirigé vers ce site officiel, car votre ordinateur allait se connecter à une page dont le contenu provoque (…) des actes de terrorisme ou fait publiquement l’apologie d’actes de terrorisme", était-il indiqué.
Sont également visés des sites comme Alhayat Media Center, principal diffuseur des vidéos d’exécutions de l’Etat islamique (EI) ou Jihadmin.com, qui permet de télécharger des publications de l’EI.
Plusieurs sites annoncés comme bloqués restaient accessibles lundi en fin de journée, mais le ministère de l’Intérieur a assuré qu’ils le seraient à plus ou moins brève échéance.
Cette mesure découle de la loi sur le terrorisme votée en novembre 2014, qui permet à l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication (OCLCTIC) de dresser une liste des sites à bloquer.
Si l’éditeur et l’hébergeur d’un site ne répondent pas aux demandes de retrait de l’OCLCTIC, les fournisseurs d’accès à Internet (FAI) sont alors mobilisés pour bloquer l’accès.
Il s’agit d’un blocage administratif, sans l’intervention d’un juge, ce qui laisse le ministère de l’Intérieur seul juge des critères justifiant une telle mesure. Des recours sont possibles devant le tribunal administratif.
Afin d’éviter une mesure de blocage qui serait abusive, une personnalité qualifiée désignée au sein de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) est chargée de s’assurer du bien fondé des demandes de retrait et de blocage.
Pour raccourcir la procédure, le ministère de l’Intérieur a choisi de bloquer dans un premier temps l’accès à des plates-formes qui n’avaient pas d’hébergeurs ou d’éditeurs identifiés.
"Les cinq premiers sites sont tous animés par des groupes répertoriés par les services de renseignement et font tous l’apologie du terrorisme", explique-t-on au ministère
"Ils servent de rodage, il y aura d’autres vagues pour perfectionner le système", ajoute-t-on, précisant qu’il est hors de question d’appliquer cette mesure à des sites utiles aux services de renseignement.
(Gérard Bon, édité par Yves Clarisse)