Les retraités qui ont cotisé sur des semaines de quarante heures voir beaucoup plus et qui ont eux été capables d’assurer la retraite de leurs ainés, inciter les retraités à prolonger leur activité, qu’il nous dise, alors qu’une personne âgée de 50 ans ne retrouvera probablement plus jamais de travail, résultat il vos mieux payer des chômeurs et inciter nos ainés à ne pas prendre leurs retraites, ou est la logique je vous laisse juge.
Voila se que le gouvernement prépare pour les retraités en cette année 2015 et vous allez voir que la liste est longue.
Gel des retraites complémentaires, l’accroît sur la pression fiscale, la suppression de la demi-part des veuves, la taxation de la majoration de la pension de 10 % accordée aux personnes ayant eu au moins trois enfants ont augmenté les impôts pour de nombreux retraités. 500 000 retraités paieront plus de CSG en 2015, Les retraités qui n’étaient pas redevables de l’impôt sur le revenu, grâce aux niches fiscales, paieront désormais 6,6 % de CSG.
Étrange pourquoi ne parle t-on jamais des six milliards d’euros qui ont été purement volés de la caisse des retraités du privé pour être donné à l’Ircantec, le régime des fonctionnaires contractuels et des élus locaux. suite aux changement du statut de La Poste.
L’amendement a été voté par les sénateurs sans aucun bruit avec la complicité du gouvernement et des syndicats beaucoup plus représentés dans le public que dans le privé, résultat les pauvres du secteur privé devront payer pour les riches.
Gattaz a récemment proposé de reculer progressivement l’âge légal de départ à la retraite à 65 ans. Un dispositif qui toucherait les générations nées à partir de 1956, lui qui avait lancé et dit un million d’embauches si le gouvernement baissait leurs charges. Les charges ont baissé, le chômage a augmenté, seuls les actionnaires y ont gagnés,"Les mots interdits, les tabous, ça suffit !" avait laissé entendre dans la presse monsieur Gattaz. On croit rêver ! il nous avait promis pouvoir créer deux millions d’emplois ; mais, ou est le premier ? et les mots interdits, les tabous, qui le gênent tant sur la toile, ne révèlent que son image.
Gattaz a demandé que le gouvernement abaisse leurs charges, les charges ont baissé, le chômage a augmenté, seuls les actionnaires y ont gagné !
Heureusement, pour la démocratie, les urnes ont toujours le dernier mot.