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DAECH - Les mercenaires islamistes de l’Occident en Syrie sont drogués aux amphétamines (captagon, fénétylline)

jeudi 29 octobre 2015, par do (Date de rédaction antérieure : 29 octobre 2015).

Note de do : Qu’il s’agisse directement de DAECH ou de son sponsor officiel, l’Arabie Saoudite, tous deux font le trafic d’une amphétamine appelée "captagon" et dont la molécule s’appelle le chlorhydrate de fénétylline.

Les mercenaires islamistes au service de l’impérialisme américano-franco-sioniste, qu’il s’agisse de ceux de DAECH, d’al-Qaïda, d’Al-Nosra, de l’ASL, etc., sont tous complètement drogués au captagon, avec des surdoses inimaginables leur permettant de commettre toutes les horreurs dont vous avez entendu parler.

Quand Kadhafi, dès le début de la guerre civile fomentée en Libye par l’Occident, avait dénoncé qu’il s’agissait d’al-Qaïda et qu’ils étaient tous complètement drogués, "on" s’était moqué de lui dans nos médias propagandistes occidentaux. Tout ce qu’il avait dit était pourtant la plus stricte vérité. Il était effectivement attaqué par al-Qaïda, et les membres de cette organisation secrètement dirigée par la CIA étaient effectivement complètement abrutis par la drogue.

Le grand malheur est qu’à l’origine, le chlorhydrate de Fénétylline, ou captagon, était un médicament qu’on pouvait acheter en pharmacie en France à condition d’avoir un certificat médical spécial car il était au "tableau B", au même titre que la morphine ou le palfium. Le captagon pris à dose médicale était un médicament très efficace pour supprimer par exemple le symptôme d’extrême fatigue qui caractérise une hépatite. Avec une hépatite, on a du mal à lire au lit ne serait-ce qu’une seule page de bande dessinée style Astérix ou Tintin, donc pourtant facile à lire. Avec un comprimé de captagon, c’était magique, on se sentait revivre, on pouvait lire la BD entière. Bien sûr, il ne fallait pas en abuser, comme de tout médicament. Il fallait suivre les prescriptions du docteur afin de n’avoir pas de problème. Le grand malheur, dis-je, c’est qu’à cause des sportifs, et surtout de leurs comités antidoping, ce médicament a été interdit en France, et on ne peut plus en trouver en pharmacie, même avec un certificat médical "tableau B". Pourtant, ce médicament est extrêmement utile en cas d’hépatite. Alors, voilà, nous apprenons que les mercenaires islamistes qui combattent en Syrie au service de l’Occident prennent autant de captagon qu’ils veulent, et nous, en France, on n’y a pas droit même quand on est malade et qu’on en a besoin ! C’est dégueulasse !


L’Arabie-saoudite : le royaume du Captagon..

http://www.almanar.com.lb/french/ad…

28-10-2015 - 19:10 Dernière mise à jour 28-10-2015 - 19:31

G.Hobballah

Malheureusement depuis le Printemps arabe, certaines drogues se sont largement répandues à travers le monde arabe, notamment en Syrie où elles sont fabriquées et sont appelées sous divers noms : le tueur des examens, le missile, la veilleuse.. Parmi ces drogues, le Captagon qui fait la Une des médias arabes et occidentaux ces derniers jours..

En effet, des caisses contenant des pilules de Captagon et de Fénéthylline – et sur lesquelles on pouvait lire l’inscription suivante " Son Altesse Royale le Prince Abdel Mohsen Bin Walid Al-Saoud"- ont été confisquées par les services de sécurité libanaise à l’aéroport international de Beyrouth..

Quantité saisie : deux tonnes !

Il s’agit d’un coup de filet impressionnant pour les services de sécurité qui ont ainsi empêché 12 millions de pilules de Captagon , d’une valeur d’environ 280 millions de dollars, à être embarqué à bord d’un jet privé, destination l’Arabie-saoudite ..

Selon le quotidien français Libération, ce type de drogue appelé "Captagon" ou "Fénéthylline", apporte à son consommateur calme et stabilité ! Il est généralement prescrit pour les personnes qui souffrent d’hyperactivité, d’anxiété pathologique de dépression chronique, de stress post-traumatique ou de troubles mentaux. Sauf qu’aujourd’hui, il est vendu en grandes quantités aux groupes terroristes tels que Daech, qui l’administrent à ses hommes pour pouvoir exécuter des attentats-suicides afin de supprimer toute agitation ou sentiment de peur voire pour des opérations de grande envergure.

Toujours selon Libération , l’une des conséquences néfastes de cette drogue est que non seulement, elle supprime l’anxiété chez les malades mais prises en grandes quantité et sans raison pathologique, cette drogue peut en fait annihiler la personne au point de la transformer en un zombie qui ne ressent plus rien.. C’est ce qui s’est passé avec des jeunes Libyens qui ont mutilé leurs corps au point de couper leurs membres sans aucun sentiment de douleur..ou encore ils ont commis d’indécents outrages sans en être conscient..

Or, il convient de souligner que le commerce du Captagon, représente un marché lucratif pour certains États défaillants tels que l’Arabie-saoudite, sachant que le prix de la pilule varie entre 5 à 20 de dollars..

Le Captagon : l’élixir de courage de daech et alNosra

Selon la BBC, le Captagon, appellé : « la pilule de la guerre syrienne » provoque la destruction des cellules nerveuses dans le cerveau et entraîne la maladie de Parkinson. La BBC précise que le commerce de cette drogue assure à Daech et aux autres groupes armés mais aussi aux barons de la guerre, une source d’autofinancement d’environ 300 millions de dollars par an. Ce qui leur permet ainsi de subvenir à leurs besoins en hommes armés, en armes, en munitions etc.

Dans une enquête menée par le Nouvel Observateur, sous le titre" Captagon.. La drogue magique des jihadistes ", le quotidien français a noté que les combattants de Daech consomment du Captagon et que ce dernier constitue une source de revenus pour l’organisation, soulignant qu’ ils ne sont pas les seuls à recourir à ce genre de drogue, ainsi le front Al-Nosra et l’Armée syrienne libre ont également leur part de ce qu’ils appellent l’ « élixir du courage » !

Or, selon les chiffres de l’Organisation internationale des douanes, la quantité de pillules saisi dans le Golfe a augmenté. Ainsi en 2013, plus de 11 tonnes ont été confisquées alors qu’en 2012, soit un an seulement en arrière, quatre tonnes ont été confisquées !

Selon l’expert en stratégies militaires Max Manuaring, cette quatrième génération de guerre est une « guerre de soumission et de domination menée par l’ennemi afin de faire plier ta volonté, et donc, on laisse tomber les stratégies traditionnelles ou l’utilisation d’armées régulières, et on recours à la guerre psychologique, à la rumeur, on utilise les moyens de tromperie et de matraquage de l’opinion publique, on cherche à semer le chaos pour instaurer l’instabilité sécuritaire.. Bref tous les moyens sont bons y compris le Captagon - sponsor officiel du terrorisme au Moyen-Orient » !

Le trafic de drogue saoudien passait par le Yémen

Le trafic de drogues saoudien était assuré –avant la révolution du Yémen - à travers le territoire yéménite via le port de Mokha, situé dans la province de Taiz et surplombant la côte de la mer Rouge. Les drogues étaient déchargées dans le port, sous la bienveillance de certaines personnalités yéménites bien connus, avant d’être transporté vers les villes de Kattaf et Damage, à Saada où elles étaient empaquetées. Au Yémen, les noms des deux hommes sont impliqués dans le trafic de drogue saoudien : un membre du Parlement yéménite Osman Magali, et Mohammed Waly, un dealer de drogues bien connu, rapportent des sources yéménites.

Après la révolution du 21 Septembre 2014, les forces de sécurité yéménites et les comités révolutionnaires ont réussi à contrôler les opérations de trafic de drogues. Une politique qui a eu une grande incidence sur la politique de l’Arabie Saoudite avec le Yémen, selon les sources !

D’ailleurs, le ministère saoudien de l’Intérieur a reconnu le 1er Septembre 2015, que le trafic de drogue en provenance du Yémen vers l’Arabie saoudite a chuté de 80% faisant valoir ces "résultats positifs" comme étant le résultat de la guerre contre le Yémen.

Le Captagon : la drogue de l’Arabie par excellence

Selon des rapports récents émanant des Nations Unies, le nombre de toxicomanes en Arabie Saoudite est de 150 milles drogués, alors que dans les pays du Golfe, 70% des consommateurs de drogues ont des âges allant de 12 à 20 ans.

Pis encore, selon des études récentes citées par la chaine satellitaire iranienne al Alam, 10% des élèves des écoles primaires (11 ans et en dessous) consomme des drogues, un chiffre qui augmente dans les écoles complémentaires (15 ans et plus) pour atteindre un niveau record de 33% dans les écoles secondaires (18 ans).

A vrai dire, toujours selon le rapport de l’ONU, l’Arabie saoudite est l’un des pays qui a consommé le plus le Captagon en 2013.. voire un tiers de la quantité de cette drogue saisi dans le monde provient de l’Arabie-Saoudite, sachant que le Captagon figure sur le haut de la liste des drogues consommées en Arabie, au point que le Captagon a gagné le surnom « de drogue saoudienne par excellence ».

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