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Omicron Vs Delta : Darwin et la Nature au secours de la Résistance !

dimanche 5 décembre 2021, par Luniterre

QUAND LA PRESSE "MAINSTREAM" S’INTERROGE…

Coronavirus : le variant Omicron peut-il signer la fin de la pandémie ?

VU DANS LA PRESSE - Si le variant Omicron prenait le dessus sur le Delta et qu’il s’avérait moins dangereux que les autres, il pourrait s’agir d’une "bonne nouvelle" pour le monde entier.

Nicolas Barreiro - publié le 03/12/2021 à 19:05

Le nouveau variant Omicron serait-il le point faible du coronavirus ? Si cette nouvelle souche inquiète le monde entier depuis son apparition en Afrique du Sud au début du mois de novembre, pour le virologue Yves Van Laethem, il pourrait s’agir d’une "bonne nouvelle".

Interrogé par nos confrères belges du quotidien La DH, le scientifique appuie sa théorie sur les premières observations de l’Association des médecins sud-africains, selon lesquelles les personnes infectées par le nouveau variant ne souffrent d’aucune forme grave, comme le relate Le Figaro. Ainsi, "un variant moins virulent remplacerait l’autre et permettrait aux non-vaccinés de s’immuniser de manière bénigne", selon le virologue, qui ajoute qu’un "rhume de 37,7°C de fièvre est moins problématique".

La Covid-19, qui chamboule nos modes de vie depuis près de deux ans, pourrait ainsi devenir aussi insignifiante qu’un rhume, selon Yves Van Laethem. Si cette théorie est crédible, elle reste tout de même très incertaine au vu du manque de données sur le variant Omicron.

Antoine Flahaut, épidémiologiste : Un variant qui n’est pas beaucoup plus transmissible ne s’imposerait probablement pas

Selon les ministres de la santé du G7, il serait "hautement transmissible" mais sa dangerosité reste un mystère. "Après, s’il est beaucoup plus transmissible, même s’il est moins virulent, mathématiquement ça peut résulter en un plus grand nombre de décès", souligne le professeur Flahaut, invité sur RTL lundi 29 novembre.

De plus, pour que cette nouvelle mutation prenne le dessus sur le variant Delta, elle doit s’avérer bien plus infectieuse que ce dernier, ce qui n’est pas démontré. Le Conseil scientifique assure que le variant Delta circule déjà très fort et qu’il n’est donc pas du tout certain qu’Omicron parvienne à s’imposer. "Si on avait affaire à un variant qui n’est pas beaucoup plus transmissible, il ne s’imposerait probablement pas", estimait Antoine Flahaut.

Coronavirus : le variant Omicron peut-il signer la fin de la pandémie ? (rtl.fr)

https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/c…

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HAUTEMENT TRANSMISSIBLE OU NON ? QUE DIT L’ÉTUDE DE TERRAIN ?

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Risque accru de réinfection avec le variant Omicron, selon une étude sud-africaine

information fournie parAFP•03/12/2021 à 14:06

Le risque d’attraper une nouvelle fois le Covid-19 est accru avec le variant Omicron, selon une étude de scientifiques sud-africains, fournissant une première indication que ce variant est davantage capable de contourner l’immunité acquise par une infection que les variants précédents. Ces travaux se fondent sur l’analyse de 35.670 réinfections identifiées chez près de 2,8 millions d’individus ayant été testés positifs en Afrique du Sud.

Entre le 1er et le 27 novembre, le risque de réinfection constaté était trois fois supérieur par rapport aux vagues liées aux variants Beta et Delta.

"Le variant Omicron est associé à une capacité substantielle d’échapper à l’immunité d’une infection préalable", conclut l’étude, rendue disponible jeudi sur le site de pré-publication medRxiv, mais qui n’a pas été encore vérifiée par des pairs.

"Nous n’avons pas d’information sur le statut vaccinal des individus dans nos données, et donc nous ne pouvons pas en tirer de conclusion sur la capacité d’Omicron à échapper à l’immunité induite par les vaccins", a toutefois averti sur Twitter Juliet Pulliam, de l’université sud-africaine Stellenbosch, et auteure principale de l’étude.

La semaine dernière, l’Afrique du Sud a annoncé avoir détecté ce nouveau variant, créant un phénomène de panique mondiale.

Puisque celui-ci présente de nombreuses mutations, les scientifiques cherchent depuis à comprendre s’il est davantage contagieux ou capable de résister à l’immunité acquise grâce aux vaccins ou à une infection préalable.

Les résultats en laboratoire sont encore attendus, et cette étude livre donc de précieuses premières informations.

Elle a été saluée comme de "haute qualité" par de nombreux scientifiques extérieurs.

"Cette analyse est effectivement inquiétante, l’immunité d’infections précédentes étant relativement facilement contournée", a jugé Michael Head, de l’université de Southampton. "Tout cela n’est-il qu’une fausse alerte ? Cela a de moins en moins l’air d’être le cas."

  • Symptômes moins graves -

"Nous pensons qu’une infection antérieure ne protège pas contre Omicron", avait plus tôt déclaré Anne von Gottberg, spécialiste des maladies infectieuses à l’Institut national sud-africain des maladies transmissibles (NICD).

Selon les premières observations, les personnes re-contaminées par ce variant présentaient toutefois souvent des symptômes moins graves, a précisé la scientifique.

Les vaccins, eux, devraient rester efficaces contre les formes graves de la maladie, a-t-elle par ailleurs estimé. Mais la majorité des experts restent pour le moment largement prudents sur le sujet.

Le variant, présent à ce jour dans au moins 22 pays selon l’OMS, [NDTML >>> 38 PAYS, DESORMAIS] a été détecté dans quatre pays africains : Ghana, Nigeria, Botswana et Afrique du Sud.

Le nombre de cas officiels de Covid-19 a augmenté de 54% sur le continent sur les sept derniers jours par rapport aux jours précédents, en raison de la hausse exponentielle des contaminations en Afrique du Sud.

Il y a deux semaines, ce pays signalait quelque 300 cas par jour. Mercredi, il a signalé 8.561 nouveaux cas, contre 4.373 la veille.

https://www.boursorama.com/actualit…

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HAUTEMENT TRANSMISSIBLE : UN "CLUSTER ÉCLAIR" EN NORVÈGE :

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Norvège : une fête d’entreprise à Oslo se mue en probable foyer du variant Omicron

information fournie parAFP•03/12/2021 à 17:11

Sur 120 convives, tous étaient vaccinés et, pourtant, plus de la moitié ont ensuite été testés positif au Covid-19… Une soirée festive à Oslo s’est transformée en foyer probable d’infection au variant Omicron, renforçant les craintes sur sa forte transmissibilité et sa résistance aux vaccins. Tout a commencé avec une fête d’entreprise le 26 novembre dans la capitale norvégienne : à l’invitation du producteur d’énergie solaire Scatec, quelque 120 personnes, dont une récemment revenue d’Afrique du Sud où le variant Omicron a d’abord été détecté, se retrouvent au restaurant Louise pour fêter Noël avant l’heure.

"Toutes avaient été vaccinées, aucune ne présentait de symptômes et elles avaient toutes réalisé un autotest" avant le repas, a indiqué vendredi à l’AFP une responsable des autorités sanitaires municipales, Tine Ravlo.

"Tout avait été fait en règle et aucune règle n’a été violée", a-t-elle souligné.

Pourtant, une semaine plus tard, l’ambiance n’est plus à la fête : 64 convives, soit une grosse moitié des quelque 120 participants, ont été testés positif au Covid. Vendredi soir, le variant Omicron avait été confirmé dans 13 cas et était jugé probable pour d’autres.

Encore provisoires, ces chiffres sont susceptibles d’augmenter à mesure que les analyses des tests progressent.

Parmi les convives contaminés, aucun n’a pour l’instant développé de forme grave de la maladie, la plupart présentant des symptômes légers sous forme de maux de tête, inflammation de la gorge et de toux, selon Mme Ravlo.

  • Plus grande éclosion hors Afrique du Sud -

"Notre hypothèse de travail est qu’au moins la moitié des 120 participants ont été infectés par le variant Omicron pendant la fête", a expliqué à l’AFP un haut responsable de l’Institut norvégien de santé publique, Preben Aavitsland.

Cela en ferait "la plus grande éclosion d’Omicron en dehors de l’Afrique du Sud", a-t-il dit.

Selon le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC), le nombre de cas connus de personnes contaminées avec ce variant dans les pays de l’Espace économique européen (Union européenne plus Norvège, Islande et Liechtenstein) était de 109 vendredi à la mi-journée.

"Il est encore trop tôt pour dire si cet événement est la preuve que le variant Omicron est plus infectieux que le variant Delta", a précisé M. Aavitsland. "Des épisodes de super-propagation se produisent également avec le variant Delta" actuellement dominant.

Trop tôt également, selon lui, "pour dire si le tableau clinique de la maladie est différent pour les infections Omicron que pour les infections Delta".

Après l’apparition qu’il a qualifié d’"inquiétante" de ce foyer présumé du variant Omicron, le gouvernement norvégien a annoncé jeudi une série de restrictions sanitaires à Oslo et dans sa région.

Depuis minuit (23H00 GMT), le port du masque est obligatoire à Oslo et alentour dans les transports en commun, taxis, centres commerciaux et boutiques où la distanciation est impossible.

  • Digues vaccinales en danger -

Le télétravail est aussi devenu la règle là où c’est possible, le nombre de personnes dans les événements privés en intérieur est plafonné à 100, et les clients des bars et restaurants doivent s’enregistrer, l’alcool devant leur être servi assis.

Repas de Noël généralement très arrosés et chers aux Norvégiens, les "julebord" - comme celui organisé par Scatec - ne sont pas interdits mais plusieurs institutions et entreprises ont annulé les leurs.

"Ce que l’on voit, c’est qu’Omicron se propage très rapidement et très largement, malgré la vaccination. C’est une information consternante dans le cours de cette pandémie", explique l’épidémiologiste français Antoine Flahault.

Description du mécanisme par lequel le SARS-CoV-2 utilise la protéine de pointe pour infecter les cellules ( AFP / ) Description du mécanisme par lequel le SARS-CoV-2 utilise la protéine de pointe pour infecter les cellules ( AFP / )

Même dans une Europe où les gens sont assez largement vaccinés - 88% de la population adulte l’est en Norvège -, "cela peut laisser craindre que les digues vaccinales contre la progression du nouveau variant, risquent de ne pas tenir", dit-il.

Du point de vue génétique, le variant Omicron possède un nombre de mutations inédit, dont une trentaine dans la protéine spike, la clé d’entrée du virus dans l’organisme. Certaines peuvent être associées à une plus grande transmissibilité et à une baisse d’efficacité des vaccins.

Selon l’ECDC, le variant Omicron risque de devenir majoritaire en Europe d’ici "les tout prochains mois".

Les festivités comme celles organisées par Scatec génèrent "des risques importants, connus depuis le début de la pandémie", souligne M. Flahault. "Elles devraient malheureusement être interdites en pleine période de vague épidémique".

https://www.boursorama.com/actualit…

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CE FLAHAUT, COMME ON L’A DÉJÀ VU, FAIT PARTIE DE CEUX QUI VEULENT ENTRETENIR LE CLIMAT DE PEUR ET SONT DONC DES KOLLABOS DU COVIDISME ÉRIGÉ EN RELIGION D’ÉTAT, POUR LE COMPTE DU SYSTÈME BANCO-CENTRALISTE, MAIS SON CAS N’EST PAS UNE GÉNÉRALITÉ ET D’AUTRES VOIX COMMENCENT A S’ÉLEVER POUR UN RETOUR A LA RAISON :

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Variant Omicron : et si l’apparition de ce "super variant" était une bonne nouvelle ?

La nouvelle souche pourrait être moins dangereuse à force d’avoir muté. Mais les scientifiques estiment qu’il est encore trop tôt pour favoriser une telle hypothèse.

Audrey Parmentier - Publié le 04/12/2021 à 12:59, mis à jour à 20:19

La phrase semble si étonnante qu’elle a été reprise dans de nombreux médias : Le variant Omicron "pourrait être une bonne nouvelle", a affirmé le virologue Yves Van Laethem dans le quotidien belge La DH. Alors que la nouvelle souche détectée en Afrique du Sud inquiète le monde entier qui se barricade, le spécialiste affirme qu’elle pourrait être "un très beau cadeau de Saint-Nicolas, dans le sens où un variant moins virulent remplacerait l’autre et permettrait aux non-vaccinés de s’immuniser. Si les malades ont un rhume et 37,7 de fièvre, cela est moins problématique." Autrement dit, il estime que la mutation d’un virus peut entraîner une baisse de sa létalité et rendre ainsi la maladie bénigne. Si le variant Omicron entraîne des formes moins graves de la maladie tout en se transmettant plus rapidement, il pourrait donc renverser le variant Delta - source majoritaire actuellement. Pour l’heure, aucun décès lié à ce nouveau mutant n’a été détecté dans le monde, a rappelé ce samedi l’OMS.

D’autres spécialistes abondent en ce sens : " Ce nouveau variant est peut-être la lumière au bout du tunnel. C’est un variant très contagieux, mais peut-être pas aussi agressif qu’on ne le craint", avançait aussi le 30 novembre, Zvika Granot, professeur d’immunologie à l’université hébraïque de Jérusalem. Ces propos font écho à ceux de la présidente de l’Association des médecins sud-africains, Angelique Coetzee qui a déclaré la semaine dernière avoir reçu des patients aux tests Covid positifs avec des symptômes inhabituels. "Ce qui les a amenés dans mon cabinet" de Pretoria, "c’est une fatigue extrême", raconte-t-elle. "Je ne dis pas que qu’il n’y aura pas de maladies graves" mais "pour l’instant, même les patients que nous avons vus qui n’étaient pas vaccinés ont des symptômes légers", a-t-elle précisé. Dans la foulée, le Dr Coetzee rappelle qu’on sait bien peu de choses sur la dangerosité de ce variant que l’OMS a cependant qualifié de "préoccupant".

Entre espoir et inquiétude, le variant Omicron se trouve au coeur des discussions scientifiques. Parmi les questions qui affluent : le Sars-CoV-2 pourrait-il se transformer en maladie bénigne avec cette nouvelle souche ? Interrogé par L’Express, Hervé Fleury virologue et professeur émérite au CNRS et à l’université de Bordeaux, répond que plusieurs options sont sur la table : "Il faut être patient et attendre quelques semaines avant de pouvoir répondre." Afin d’obtenir un tableau plus précis du variant Omicron, l’évolution des malades actuels dans les prochains jours va permettre d’évaluer la gravité de la situation. À noter qu’en Afrique du Sud - pays le plus touché par le nouveau variant - un pic d’infections parmi les enfants a été signalé par les autorités de santé ce vendredi. Avec 16 000 nouveaux cas par jour - dus au variant Omicron - les données sud-africaines sur la pathogénicité sont très attendues. "Le drame, c’est que tout le monde dresse des hypothèses, mais personne ne dispose encore de données solides", s’agace Hervé Fleury.

Omicron "handicapé" à force d’avoir muté

Si des conclusions ne peuvent pas être tirées tout de suite, le virologue admet que l’hypothèse selon laquelle le variant Omicron pourrait être une bonne nouvelle fait partie des possibilités à envisager. Tandis que le variant Delta, hautement transmissible, comporte neuf mutations sur la protéine Spike, qui joue un rôle important dans l’infection, le variant Omicron compte 32 mutations sur cette protéine et une cinquantaine en tout. Selon Hervé Fleury, la nouvelle souche pourrait se retrouver "handicapée" à force d’avoir autant mutée. S’il a gagné en transmissibilité - car il n’avait pas d’autres choix pour se maintenir - il pourrait avoir perdu en virulence à force de s’être transformé. "Le variant Omicron a tellement de mutations qu’il pourrait être moins pathogène. Si cela est confirmé, il pourrait devenir une souche très intéressante pour l’espèce humaine", souligne le professeur émérite qui prend soin d’utiliser à chaque fois le conditionnel.

En attendant les résultats, le variant Delta continue de tuer en France et reste l’ennemi numéro un. Jusqu’à ce qu’Omicron le remplace, peut-être. "Il pourrait devenir un type de coronavirus bénin que l’on connaît déjà l’hiver dans nos contrées et qui touche les enfants", reprend le professeur Fleury avant d’ajouter que ceci reste évidemment à prouver. Outre-Atlantique, le discours est le même. "Ce que nous devons faire, c’est simplement continuer à suivre la situation, en obtenant autant d’informations et de données que possible", a martelé Antony Fauci, conseiller de la Maison-Blanche sur la crise sanitaire, ce vendredi. En France, les scientifiques sont divisés sur les hypothèses concernant Omicron. Sur Twitter, le biologiste médical Claude-Alexandre Gustave rappelle que "les variants se sont d’ailleurs toujours montrés plus contagieux… sans être moins virulents."

Variant Omicron : et si l’apparition de ce "super variant" était une bonne nouvelle ? - L’Express (lexpress.fr)

https://www.lexpress.fr/actualite/s…

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POUR CONCLURE, ON EN REVIENT DONC A CE CONSTAT QUE OMICRON, TEL QUE VU SUR LE TERRAIN, COCHE POUR L’INSTANT TOUTES LES CASES POUR ÊTRE LA FORME "ULTIME" ET POSSIBLEMENT DERNIÈRE DE CE VIRUS, CELLE QUI EN FERA UNE MALADIE BÉNIGNE, OU BIEN QUI LE FERA MÊME ÉVENTUELLEMENT DISPARAÎTRE, AU GRAND DAM DES BANCO-CENTRALISTES, QUI DEVRONT SE TROUVER UN AUTRE PRÉTEXTE POUR CONTINUER LEUR MARCHE FORCÉE VERS LE NOUVEL ORDRE MONDIAL, QUI NÉCESSITE CE CLIMAT DE PEUR ACTUELLEMENT DÉLIBÉRÉMENT ENTRETENU.

Luniterre

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