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Coronavirus - Essais Pfizer le rapport explosif de Christine Cotton (vidéos, PDF)

vendredi 11 février 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 11 février 2022).

Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton

https://www.francesoir.fr/videos-le…

1er février 2022

Des résultats qui ne peuvent pas être considérés comme "fiables" et "intègres" au regard des bonnes pratiques cliniques, explique-t-elle. Nous avons de nouveau reçu la biostatisticienne Christine Cotton, pour qu’elle nous fasse part de son rapport d’expertise méthodologique réalisé à la demande d’une avocate qui plaide à la Cour d’appel du Québec. Son travail a consisté à réaliser une évaluation des pratiques méthodologique mises en œuvre dans les essais Pfizer pour le développement de son vaccin ARN messager contre la Covid-19, au regard des bonnes pratiques cliniques.

Pour ce faire, elle a examiné tous les documents du laboratoire Pfizer enregistrés auprès des autorités américaines et européennes, ce qui comprend les protocoles, les rapports cliniques et les différents plans de gestion de risque. Un travail qui consiste essentiellement à repérer et déterminer les biais, c’est-à-dire des éléments susceptibles de faire dévier les résultats de leur vraie valeur.

Au fur et à mesure de son analyse, la biostatisticienne a repéré de très nombreux biais et en conclut qu’on ne pouvait pas faire confiance aux résultats de 95% d’efficacité annoncés par le géant pharmaceutique pour son critère principal, à savoir, première apparition de Covid-19 symptomatique à partir de 7 jours après la dose 2.

Cette efficacité est faussée par le fait que le participant ait la responsabilité de signaler ses symptômes au site l’ayant recruté, afin de déterminer s’il est cas COVID-19 symptomatique. En effet, tout report incomplet ou mauvaise appréciation par le participant qui n’a pas la compétence de juger son état de santé, l’utilisation autorisée d’antipyrétiques qui suppriment les symptômes, fièvre et douleur, une absence de réponse du site, mènent à une sous-estimation du nombre de COVID-19 symptomatiques, puisque seuls les participants signalant des symptômes doivent réaliser un test PCR dans le cadre de cet essai.

Autrement, pas de symptôme signifie, pas de test PCR, et pas de test PCR, pas de Covid-19.

De plus, il aurait été beaucoup plus approprié de réaliser des tests PCR, non seulement pour les participants déclarant des symptômes, mais pour l’ensemble de la population incluse dans l’essai clinique, ce qui aurait permis de détecter également les COVID-19 asymptomatiques, qui peuvent également être vecteurs de la maladie.

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Par conséquent, on comprend bien que toute la communication visant à promouvoir la vaccination avec l’argument qu’elle freine la transmission, n’était donc étayée par aucun résultat dans l’essai clinique.

Un autre problème qu’elle identifie est l’évaluation de la tolérance, puisque l’on a uniquement deux mois médians de suivi après la seconde dose, c’est-à-dire 50 % des participants à moins de deux mois et 50 % à plus de deux mois : une durée d’observation trop courte pour recueillir la tolérance à moyen et long terme.

Enfin, elle dénonce des manquements sur l’immunogénicité du vaccin, car le rapport du 10 décembre 2020 indiquait déjà une diminution de l’immunité à moins de deux mois après la seconde dose, et aucun dosage postérieur n’a été réalisé, puisque non prévu par le protocole avant 6 mois après la seconde dose.

À ces inconnues déjà très nombreuses viennent s’ajouter des informations capitales manquantes, puisque de l’aveu même du laboratoire, il n’existe aucune donnée sur l’utilisation pendant la grossesse et l’allaitement, sur les patients immunodéprimés ou présentant des comorbidités. Aucune information non plus sur les interactions avec d’autres vaccins et sur la sécurité à long terme.

Autre fait choquant : en octobre 2021, le CDC reconnaît enfin le risque de myocardites/péricardites liées au vaccin chez les 12-39 ans, alors qu’on vaccine en population générale déjà depuis plusieurs mois et qu’ils ont, par leur méthode de calcul des signaux, sous-estimé ce risque.

Dernier point cité concernant les Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) si chères à l’industrie pharmaceutique, elle fait référence à l’affaire Ventavia (PfizerGate), et dénonce de graves manquements aux BPC dans la gestion des centres, et se demande si ce genre de problème a existé dans d’autres centres. L’audit de la FDA sur neuf centres seulement ne permet pas de lever le doute quant à la qualité des données, puisque, de leur propre aveu, « la partie sur l’intégrité des données et la vérification des inspections du BIMO (Bioresearch Monitoring) était limitée parce que l’étude était en cours et que les données requises pour la vérification et la comparaison n’étaient pas encore disponibles pour l’IND (Investigational New Drug). »

Compte tenu de tous les biais remontés et des informations toujours manquantes, Christine Cotton demande la suspension en urgence de toute vaccination par Comirnaty, non seulement pour les populations sur lesquelles nous n’avons pas d’information à ce jour, mais aussi pour l’ensemble de la population, en attendant les explications du laboratoire Pfizer sur le choix de son plan d’essai, de ses méthodes d’évaluation, sur l’algorithme de calcul des critères d’efficacité, l’absence de test PCR sur la population général, etc.

C’est donc un travail remarquable de précision, dont Christine Cotton espère qu’il permettra de revenir à des argumentaires qui soient démontrés et fiables.

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org


Essais cliniques Pfizer : "le gouvernement n’a pas respecté le principe de précaution" - tableau de bord de Christine Cotton

https://www.francesoir.fr/videos-le…

7 février 2022

Xavier Azalbert, pour FranceSoir

La biostatisticienne Christine Cotton a présenté une expertise complète de l’essai clinique Pfizer dans un debriefing précèdent. Son travail, qui a consisté à évaluer les pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer pour le développement de son vaccin ARN messager contre la Covid-19, montre que les résultats annoncés par le géant pharmaceutique, ne peuvent être considérés comme "fiables" et "intègres" au regard des bonnes pratiques cliniques. Sa conclusion est sans appel : compte tenu de tous les biais et des informations toujours manquantes, elle demande la suspension en urgence de toute vaccination par Comirnaty, non seulement pour les populations sur lesquelles il n’y a aucune information à ce jour, mais également pour l’ensemble de la population, en attendant les explications du laboratoire Pfizer sur le choix de son plan d’essai, de ses méthodes d’évaluation ou encore sur l’algorithme d’efficacité.

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Plus de 315 000 personnes ont vu la vidéo, 14 000 auditeurs l’ont "likée", représentant un taux d’engagement important, tandis que 1 700 ont pris le temps de laisser un commentaire.

Après avoir revu les commentaires, Christine Cotton revient avec une présentation synthétique sous forme de tableau de bord.

La balance bénéfice/risque consiste à comparer, à mettre en balance les bénéfices escomptés par un traitement ou un vaccin avec les risques connus, les risques statistiques fournis par les données déjà disponibles et les risques projetés.

La balance bénéfice/risque s’établit d’un côté par les bénéfices attendus en matière d’efficacité et d’immunogénicité, et les risques associés par les effets indésirables d’autre part.

Sur le tableau de bord de la biostatisticienne, les voyants étaient à l’orange ou au rouge, ce qui aurait dû entrainer une demande d’informations complémentaires au fabricant.

La Haute Autorité de Santé avait bien indiqué certains de ces risques. Des avertissements qui auraient dû alerter le gouvernement, qui lui-même n’aurait pas dû ouvrir une vaccination dans la précipitation.

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Par ailleurs, elle montre que le récit que l’on a vendu aux Français ne reposait sur aucune réalité. En effet, toute la communication qui visait à promouvoir la vaccination avec l’argument qu’elle freine la transmission, n’était étayée par aucun résultat dans l’essai clinique. Il n’y avait pas non plus d’efficacité démontrée sur les formes graves. En écrivant le 23 décembre 2020 que le vaccin "était sans impact sur la transmission" et que "la vaccination des individus les plus jeunes de 18-49 ans ne conduit qu’à très faiblement réduire le nombre de décès pour un vaccin de ce type", la Haute Autorité de Santé (HAS) apportait des conclusions très éloignées du discours des autorités qui ont choisi de prendre des risques en passant outre.

Sur l’immunogénicité, qui est la mesure de l’action d’un vaccin et son action dans le temps, la réalité ne correspond pas non plus au récit du gouvernement puisque la durée de protection était inconnue. De plus, Christine Cotton fait remarquer que dès décembre 2020 la HAS savait qu’il y avait une étude sur un booster. Par conséquent, tout le message de communication sur le vaccin, le « prenez deux doses et vous retrouverez votre liberté », reposait sur des mensonges et devrait par conséquent être condamné.

Sur la tolérance, la limitation du suivi à deux mois rend difficile l’évaluation des effets secondaires. La biostatisticienne fait remarquer qu’une fois encore les autorités réglementaires auraient pu et dû alerter les politiques des risques de leur choix en matière vaccinale.

En conclusion, la promesse n’est pas remplie sur les critères des bénéfices et des risques. L’incitation à la vaccination dans un intérêt collectif ne pouvait donc être utilisée comme argument puisqu’il était impossible de conclure que le vaccin diminuait la transmission. Idem pour la réduction des formes graves.

En conséquence, le message des publicités du gouvernement/ministère de la Santé sur l’efficacité, la protection contre les formes graves était mensonger. Sur la tolérance, le message aurait dû être qualifié afin d’éviter une prise de risque excessive. Le principe de précaution dans l’utilisation de tout médicament, n’a ainsi pas été respecté. On peut conclure que l’on a fait prendre un risque aux Français pour un bénéfice qui n’a pas été clairement défini. Le premier ministre Jean Castex et le ministre de la Santé Olivier Véran auront donc pris des risques excessifs mettant ainsi en danger la vie d’autrui.

Liens vers les documents :

Recommandation sur la Stratégie de vaccination contre la Covid-19 (Document de la HAS du 23 décembre 2020)

https://www.francesoir.fr/sites/fra…

Sauvegarde : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/has_…

Diapositives de la présentation :

http://www.francesoir.fr/sites/fran…

Sauvegarde : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/exp_…


Christine Cotton chez Nexus

https://youtu.be/iJ90Cm8fcks

Le rapport scientifique explosif concernant les essais Pfizer
itw de C. Cotton, biostatisticienne

Magazine Nexus - 2 février 2022

Cliquer ici pur télécharger la vidéo

Christine Cotton, biostatisticienne, nous livre au micro de Nexus les résultats de ses recherches et de son rapport de 110 pages sur le vaccin anti-Covid de Pfizer et les conclusions sont claires : les résultats officiels ne peuvent être considérés comme fiables et intègres au regard des bonnes pratiques cliniques. S’appuyant sur les documents officiels du laboratoire pharmaceutique, comprenant les protocoles et les rapports cliniques, elle nous explique dans cet entretien pourquoi les données officielles sont biaisées et comment les effets secondaires sont sous-estimés.

👉Lien vers notre article avec le rapport de Christine Cotton téléchargeable :

https://www.nexus.fr/video/entretie…

https://www.nexus.fr/wp-content/upl…

Sauvegarde : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/Vacc…

Lien vers les données de MesVaccins citées dans l’interview :

https://www.mesvaccins.net/web/vacc…

Sauvegarde en PDF : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/COVI…

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