Une revue scientifique rejette la demande de retrait d’une étude suggérant une efficacité négative du vaccin anti-COVID
https://www.theepochtimes.com/healt…
Publié le 16 septembre 2023 _Modfié le 19 septembre 2023
Zachary Stieber
Traduction Google
Extrait :
Une revue scientifique rejette une demande de retrait d’une étude selon laquelle les personnes ayant reçu un rappel de COVID-19 étaient plus susceptibles d’être infectées que les personnes non vaccinées.
En analysant les chiffres du système carcéral californien, un groupe de recherche a découvert que ceux qui avaient reçu l’un des rappels bivalents avaient un taux d’infection plus élevé que les personnes qui n’avaient jamais reçu de dose de vaccin contre le COVID-19.
Leur étude a été publiée par la revue Cureus après examen par les pairs.
…
Ci-dessous, voici l’étude en question :
Taux d’infection au COVID-19 chez les détenus vaccinés et non vaccinés : une étude de cohorte rétrospective
https://www.cureus.com/articles/179…
Luke Ko • Gary Malet • Lisa L. Chang • Huu Nguyen • Robert Mayes
Published : September 04, 2023
DOI : 10.7759/cureus.44684
Version PDF : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/2023…
Traduction Google du résumé
Extrait du résumé : le groupe vacciné bivalent avait un taux d’infection légèrement mais statistiquement significativement plus élevé que le groupe non vacciné dans la catégorie à l’échelle de l’État et la catégorie d’âge ≥ 50 ans. Cependant, dans la catégorie d’âge plus âgée (≥65 ans), il n’y avait pas de différence significative dans les taux d’infection entre les deux groupes.
RÉSUMÉ
Arrière-plan
En 2023, les infections au COVID-19 parmi les personnes vaccinées et les réinfections chez les personnes précédemment infectées sont devenues courantes. De plus, les infections sont dues à des sous-variantes Omicron du virus qui se comportent différemment de celles du début de la pandémie. Comprendre comment la vaccination et l’immunité naturelle influencent les taux d’infection au COVID-19 est crucial, en particulier dans les milieux collectifs à haute densité tels que les prisons, pour éclairer les stratégies de santé publique.
Méthodes
Nous avons analysé les données de surveillance du COVID-19 de janvier à juillet 2023 dans 33 prisons de l’État de Californie, principalement une population masculine de 96 201 individus. Nous avons calculé le taux d’incidence des nouvelles infections au COVID-19 parmi les groupes vaccinés contre le COVID-19 et totalement non vaccinés (ceux n’ayant reçu ni le vaccin bivalent ni le vaccin monovalent).
Résultats
Nos résultats indiquent que les taux d’infection dans les groupes vaccinés bivalents et totalement non vaccinés sont respectivement de 3,24 % (intervalle de confiance (IC) à 95 % : 3,06 à 3,42 %) et de 2,72 % (IC : 2,50 à 2,94 %), avec un taux d’infection absolu. différence de risque de seulement 0,52 %. Lorsque les données ont été filtrées pour les personnes âgées de 50 ans et plus, les taux d’infection étaient respectivement de 4,07 % (IC : 3,77-4,37 %) et 3,1 % (IC : 2,46-3,74 %), révélant une différence de risque absolu de seulement 0,97 %. Parmi les personnes âgées de 65 ans et plus, les taux d’infection étaient respectivement de 6,45 % (IC : 5,74-7,16 %) et 4,5 % (IC : 2,57-6,43 %), avec une différence de risque absolu de 1,95 %.
Conclusion
Nous notons de faibles taux d’infection dans les groupes vaccinés et non vaccinés, avec une petite différence absolue entre les deux selon les groupes d’âge. Une combinaison de vaccins monovalents et bivalents et d’infections naturelles a probablement contribué à l’immunité et à un niveau de taux d’infection inférieur par rapport au pic de la pandémie. Il est possible qu’un certain degré d’« immunité collective » ait été atteint. Pourtant, en utilisant p <0,05 comme seuil de signification statistique, le groupe vacciné bivalent avait un taux d’infection légèrement mais statistiquement significativement plus élevé que le groupe non vacciné dans la catégorie à l’échelle de l’État et la catégorie d’âge ≥ 50 ans. Cependant, dans la catégorie d’âge plus âgée (≥65 ans), il n’y avait pas de différence significative dans les taux d’infection entre les deux groupes. Cela suggère que même si le vaccin bivalent peut offrir une protection contre les conséquences graves, il ne réduit peut-être pas entièrement le risque d’infection de manière significative. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre les raisons de ces résultats et prendre en compte d’autres facteurs, tels que les problèmes de santé sous-jacents. Cette étude souligne l’importance de développer des vaccins ciblant les infections résiduelles au COVID-19, en particulier en ce qui concerne les variantes évolutives du COVID-19.