🟩Front populaire :
🔻- Après l’incapacité de l’occupation à obtenir le moindre résultat sur le terrain et son échec cuisant face à la résistance, l’occupation commet des crimes de guerre à Beit Hanoun pour tenter de la vider de sa population.
🔻- L’occupation en déroute est incapable de rivaliser avec la résistance sur le terrain, car celle-ci conserve une grande capacité à contrôler et à gérer la bataille avec habileté et compétence, et continue de tirer des roquettes même depuis des zones que l’occupation a envahies par voie terrestre, et continue de drainer les officiers de l’occupation et de détruire ses véhicules et ses véhicules blindés.
🔻- L’occupation a forcé des milliers de personnes déplacées dans certains abris à quitter la ville de Beit Hanoun, dans le cadre d’une vaste campagne d’arrestations et d’abus à l’encontre de centaines de jeunes hommes.
🔻- Ce qui se passe est une nouvelle tentative de l’occupation de vider de force la ville de ses habitants sous la pression de bombardements violents et intensifs, après l’échec de ses tentatives répétées de déplacer notre peuple dans cette ville.
🔻- Nous tenons la communauté internationale pour responsable de la poursuite des crimes de guerre israéliens que sont les meurtres, les déplacements, la famine, le siège et la tentative de vider le gouvernorat du nord de sa population.
🔻- Les institutions internationales ont fourni à l’entité sioniste tous les moyens de protection et d’immunité contre les poursuites et la responsabilité. Il est inconcevable que "plus de six mois après la commission de ces massacres documentés, les institutions internationales discutent encore de la question de savoir si l’ennemi sioniste commet ou non des actes de génocide contre Gaza.
🔻- Cela prouve une fois de plus que la communauté internationale est directement impliquée dans la guerre d’extermination et couvre les crimes de guerre. Si ces crimes avaient été commis ailleurs, les armées internationales auraient été mobilisées et cette guerre aurait été stoppée par la force conformément à l’article 7 de la Charte des Nations unies.