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Paris - Arc de triomphe - 1er décembre 2018 (vidéo 56’’)

lundi 3 décembre 2018, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 2 décembre 2018).

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3 Messages de forum

  • Paris - Arc de triomphe - 1er décembre 2018 (vidéo 56’’) 2 décembre 2018 06:05

    commentaire sur facebook :

    C’est malheureux d’en arriver là, mais lorsqu’on pousse le peuple à bout, voilà le résultat…

    Ce CRS s’est bien fait frictionné les oreilles, mais bon, les GJ ont été beaux joueurs en le laissant repartir rapidement… cela aurait pu être plus grave…

    Par contre, bonjour la solidarité entre CRS, tous les autres ont fui..

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  • Paris - Arc de triomphe - 1er décembre 2018 (vidéo 56’’) 3 décembre 2018 18:21

    Ce jeune CRS paumé dans les lacrymos et le bordel ambiant a eu une chance incroyable : un Gilet Jaune l’a "exfiltré" d’un ensemble de personnes déterminées à en découdre avec lui, chacun lui assénant un coup de pied ou autre chose. Sans lui et au sol, avec l’effet de groupe et la détermination, il était cuit. Il revient vraiment de loin.
    Les forces de l’ordre l’ont bien compris, senti et ont dû avoir parfois très peur pour leur propre vie. Ce qui n’est JAMAIS le cas des politiques. Les cadres, les syndicats de police, vont faire pression sur eux ; sans les forces de l’ordre, l’exécutif n’est plus rien face à la colère du peuple. Et l’armée ne sait pas faire du maintien de l’ordre.
    Si un accord sérieux n’est pas trouvé avant samedi prochain, il n’est pas dit que ce jeune CRS y retournera et les arrêts-maladie, les droits de retrait vont fleurir parmi les forces de l’ordre.
    Et alors là…
    Cette semaine est "capitale".

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    • Paris - Arc de triomphe - 1er décembre 2018 (vidéo 56’’) 3 décembre 2018 18:34

      Je ne pense pas que les gilets jaunes auraient été jusqu’à le tuer. Ils l’auraient peut-être fait prisonnier ; cela aurait été rigolo… et après ils auraient pu l’échanger contre nos prisonniers à nous.

      Note : dans sa combinaison en kevlar, il ne sentait pas les coups ; d’ailleurs, après, il court come un cabri. Il a eu plus de peur que de mal.

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