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Le Qatar accusé de terrorisme parce qu’il passe dans le camp de la résistance à l’impérialisme américano-sioniste

lundi 5 juin 2017, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 5 juin 2017).

La photo ci-dessus a été prise début janvier 2015, lors d’un match de foot entre le PSG (Paris Saint-Germain) et l’équipe de foot de Bastia (Corse).

Bonjour à toutes et à tous,

Trois pays (Arabie, Emirats, Bahreïn), ainsi que l’Egypte, ont tour à tour annoncé lundi 5 juin 2017 à l’aube la rupture de leurs relations diplomatiques avec le Qatar, qu’ils accusent de "soutien au terrorisme", y compris Al-Qaïda, le groupe Etat islamique (EI) et la confrérie des Frères musulmans. Cette crise diplomatique majeure au Moyen-Orient arrive quinze jours après un appel de Donald Trump à l’unité des pays arabes face au terrorisme.

Note de do : Il y a 3 problèmes : Qatar et Frères musulmans. Qatar, PSG et Mondial-2022 de football. Avantages fiscaux du Qatar en France.

Que le Qatar finance, ou du moins finançait, des groupes terroristes comme al-Qaïda ou DAECH, ce n’était un secret pour personne ainsi qu’en témoigne la banderolle en photo ci-dessus. Et cela ne posait de problème à personne en Occident. C’est-à-dire que l’impérialisme américano-sioniste était très content de la collaboration du Qatar dans la guerre destinée à détruire la Syrie en commanditant des groupes terroristes comme al-Qaïda (Front al-Nosrah) ou même DAECH.

Mais voilà, il se trouve que le Qatar a trahi le camp de l’impérialisme américano-sioniste pour passer dans le camp de la résistance qui comprend la Russie, l’Iran, la Syrie, l’Irak, et le Hezbollah. Aussi, que le Qatar finance ou ait financé divers groupes terroristes sert maintenant d’excuse pour le mettre au ban des nations.

Il faut bien se souvenir que l’Arabie Saoudite finance elle aussi des groupes terroristes, tout à fait semblables à ceux du Qatar, mais qui se disent "salafistes" et pas "frères musulmans" bien qu’ils en descendent, et qui combattent eux aussi en Syrie contre le régime antisioniste représenté par Bachar el-Assad. Mais là, ça ne pose aucun problème aux Occidentaux, puisque l’Arabie Saoudite est restée dans le camp de l’impérialisme américano-sioniste.

Le problème 1 est très intéressant : Si le Qatar est vraiment passé dans le camp de la résistance, il lui faut non seulement arrêter de soutenir DAECH ou al-Qaïda. Il lui faut aussi arrêter de soutenir les frères musulmans, dont descendent tous ces groupes terroristes. Car les frères musulmans, au travers du Hamas palestinien, ont directement combattu en Syrie le régime antisioniste de Bachar el-Assad. Ou bien alors, il faut que le Qatar ordonne aux frères musulmans de changer de camp eux aussi et de combattre désormais dans le camp de Bachar ; ce qui semble impossible puisque les Frères musulmans appartiennent en réalité à la CIA ! du moins leurs chefs, même si leurs militants de base ne sont pas au courant. Que se passera-t-il à ce niveau ? la réponse à cette question est très intéressante puisque le Hamas, affilié aux frères musulmans, a renouvelé récemment ses chefs.

Le problème 2 est très rigolo : Que se passera-t-il au niveau du foot ? La France laissera-t-elle le Qatar rester le propriétaire du PSG ? Le mondial 2022 de Foot aura-t-il quand même lieu au Qatar ? La suite risque d’être amusante.

Le Problème 3 va bien faire chier les riches : Puisque le Qatar est semble-t-il désormais un ennemi de l’impérialisme occidental, que deviendront les énormes avantages fiscaux du Qatar en France, et qui transformaient ce pays (la France) en un paradis fiscal parfait ?

Bien à vous,
do
5 juin 2017
http://mai68.org

Note du 6 juin 2017 : La France est bien emmerdée, du coup, et essaye de temporiser, et de réconcilier les ennemis, ce qui me semble impossible (à moins qu’elle réussisse à refaire basculer le Qatar dans le "bon" camp ?). C’est ça, de bouffer à tous les râteliers !


L’Arabie et ses alliés rompent avec le Qatar, accusé de "soutenir le terrorisme"

https://assawra.blogspot.fr/2017/06/larabie-et-ses-allies-rompent-avec-le.html

Lundi 5 juin 2017

Une vue générale de Doha le 24 novembre 2015 (afp)

Séisme diplomatique au Moyen-Orient : Ryad, Le Caire, Abou Dhabi et Manama ont rompu lundi avec le Qatar, accusé de soutenir le "terrorisme", quinze jours après un voyage de Donald Trump qui avait exhorté les pays musulmans à se mobiliser contre l’extrémisme.

Le Qatar, qui se targue de jouer un rôle régional et d’avoir été choisi pour organiser le Mondial-2022 de football, a également été exclu de la coalition militaire arabe qui combat des rebelles pro-iraniens au Yémen.

Doha n’a pas immédiatement réagi à ces mesures. De Sydney, le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson a pressé les pays du Golfe de rester unis. Il s’agit de la crise la plus grave depuis la création en 1981 du Conseil de coopération du Golfe (CCG : Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Oman, Qatar).

Trois de ces pays (Arabie, Emirats, Bahreïn), ainsi que l’Egypte, ont tour à tour annoncé lundi à l’aube la rupture de leurs relations diplomatiques avec le Qatar, qu’ils accusent de "soutien au terrorisme", y compris Al-Qaïda, le groupe Etat islamique (EI) et la confrérie des Frères musulmans.

L’agence officielle saoudienne SPA a annoncé que Ryad rompait ses relations diplomatiques et fermait ses frontières terrestres, aériennes et maritimes avec le Qatar pour "protéger sa sécurité nationale des dangers du terrorisme et de l’extrémisme".

"L’Arabie saoudite a pris cette mesure décisive en raison des sérieux abus des autorités de Doha tout au long des dernières années (…) pour inciter à la désobéissance et nuire à sa souveraineté", a déclaré un responsable saoudien.

"Le Qatar accueille divers groupes terroristes pour déstabiliser la région, comme la confrérie des Frères musulmans, Daech (acronyme en arabe de l’EI) et Al-Qaïda", a-t-il accusé.

Selon lui, Doha soutient aussi "les activités de groupes terroristes soutenus par l’Iran dans la province de Qatif (est)", où se concentre la minorité chiite du royaume saoudien, ainsi qu’à Bahreïn, secoué depuis plusieurs années par des troubles animés par la majorité chiite de ce pays.

La coalition militaire arabe, intervenant depuis plus de deux ans au Yémen sous commandement saoudien, a aussi décidé d’exclure le Qatar de cette alliance.

Dans un communiqué, la coalition indique que le Qatar soutient "le terrorisme", citant notamment Al-Qaïda et l’EI, bien implantés au Yémen, mais aussi les rebelles pro-iraniens Houthis.

Au Caire, l’Egypte a également annoncé la rupture de ses liens avec le Qatar. Le Caire a "décidé de mettre fin à ses relations diplomatiques avec l’Etat du Qatar qui insiste à adopter un comportement hostile vis-à-vis de l’Egypte", a indiqué le ministère des Affaires étrangères égyptien.

Le communiqué annonce aussi la fermeture des frontières "aériennes et maritimes" avec le Qatar.

Bahreïn et les Emirats arabes unis ont aussi rompu tout rapport avec Doha. Les diplomates du Qatar ont 48 heures pour quitter leurs postes dans le Golfe.

Ces développements sont intervenus alors que les autorités qataries ont affirmé la semaine dernière avoir été victime de "hackers" ayant publié sur le site internet de l’agence de presse officielle QNA de faux propos attribués à l’émir cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani.

Ces propos controversés rompaient avec le consensus régional sur plusieurs sujets sensibles, notamment l’Iran, vu comme un allié stratégique alors qu’il vient d’être accusé par l’Arabie saoudite d’être "le fer de lance du terrorisme".

Ils contenaient aussi des commentaires négatifs sur les relations entre l’administration de Donald Trump et le Qatar, pourtant un proche allié des Etats-Unis.

La visite du président Trump à Ryad, son premier déplacement à l’étranger, avait été couronnée par la signature d’un accord sur "une vision stratégique" pour renforcer les relations économiques et de défense entre le royaume saoudien et les Etats-Unis.

Dans un discours le 21 mai à Ryad devant des dirigeants du monde musulman, M. Trump avait appelé à "chasser" les extrémistes et "les terroristes", en référence aux groupes jihadistes, auteurs d’attaques dans plusieurs pays. Il avait aussi demandé à la communauté internationale "d’isoler" l’Iran.

Le Qatar s’est plaint d’être victime d’une campagne hostile, notamment aux Etats-Unis, concernant son soutien présumé aux groupes islamistes. La dernière crise ouverte dans le Golfe remonte à 2014 lorsque trois pays du CCG (Arabie, Bahreïn et Emirats) avaient rappelé leur ambassadeur à Doha pour protester contre le soutien présumé du Qatar aux Frères musulmans.


Crise dans le Golfe : les mesures prises contre le Qatar

https://assawra.blogspot.fr/2017/06…

Lundi 5 juin 2017

L’Emir du Qatar Cheikh Tamim bin Hamad al-Thani lors d’une réunion du conseil de coopération du Golfe le 6 décembre 2016 à Manama (afp)

L’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis et Bahreïn ont rompu lundi avec le Qatar, accusé de "soutien au terrorisme", et pris un train de mesures visant à l’isoler :

  • Rupture immédiate des relations diplomatiques avec le Qatar, Bahreïn et les Emirats ordonnant à leurs diplomates de quitter Doha dans les 48 heures. En 2014, les trois pays avaient rappelé leurs ambassadeurs à Doha pour protester contre le soutien du Qatar aux Frères musulmans.
  • Fermeture des espaces aériens des trois pays aux vols de la compagnie aérienne du Qatar, suspension des liaisons aériennes et maritimes avec ce pays dans les 24 heures. Les compagnies Etihad, Emirates et flydubai des Emirats arabes unis ont suspendu les vols sur Doha à partir de mardi matin. Qatar Airways a pour sa part suspendu ses liaisons avec l’Arabie saoudite, dont la compagnie nationale Saudia a pris une mesure similaire.
  • Fermeture de la frontière terrestre de l’Arabie saoudite avec le Qatar, ce qui bloque les importations de biens par voie terrestre du Qatar à travers l’Arabie saoudite.
  • Interdiction pour les ressortissants des trois pays de se rendre au Qatar.
  • Il a été demandé aux ressortissants du Qatar, visiteurs ou résidents permanents dans les trois pays, de partir dans un délai de 14 jours. Cette mesure contredit un accord sur la libre circulation au sein du Conseil de coopération du Golfe (CCG : Arabie saoudite, Bahreïn, Emirats arabes unis, Koweït, Oman, Qatar).
  • Seuls les pèlerins du Qatar peuvent se rendre sur les lieux saints musulmans en Arabie saoudite.

***

L’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, l’Assemblée générale des Nations unies à New York le 5 juin 2017 (afp)

L’Arabie saoudite et ses alliés ont rompu lundi leurs relations avec le Qatar, provoquant une crise diplomatique majeure au Moyen-Orient quinze jours après un appel de Donald Trump à l’unité des pays arabes face au terrorisme.

Le Qatar a réagi avec colère à cette décision annoncée à l’aube en accusant ses voisins du Golfe de vouloir le mettre "sous tutelle" et de l’étouffer économiquement.

La Bourse de Doha a chuté de 8% à l’ouverture des transactions avant de clôturer en baisse de 7,58%.

Des habitants de la capitale qatarie se sont rués sur les produits alimentaires, vidant des rayons entiers de supermarchés, a rapporté le site en ligne Doha News.

La rupture des relations avec le Qatar intervient 15 jours après une visite à Ryad du président des Etats-Unis qui avait exhorté les pays musulmans à se mobiliser contre l’extrémisme.

Elle a provoqué une réaction mesurée de Washington qui a invité les pays du Golfe à rester "unis".

Cette crise diplomatique est la plus grave depuis la création en 1981 du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui regroupe l’Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Koweït, Oman et le Qatar.

Ce dernier y a toujours occupé une place à part, poursuivant sa propre politique régionale et affirmant son influence par le sport, grâce notamment à l’organisation du Mondial-2022 de football.

Ryad, Abou Dhabi et Manama ont justifié la rupture avec Doha par son "soutien au terrorisme", y compris Al-Qaïda, le groupe Etat islamique (EI) et les Frères musulmans, confrérie classée "terroriste" par l’Egypte et des pays du Golfe.

Selon l’Arabie, Doha soutient aussi "les activités de groupes terroristes soutenus par l’Iran dans la province de Qatif (est)", où se concentre la minorité chiite du royaume saoudien, ainsi qu’à Bahreïn, secoué depuis plusieurs années par des troubles animés par la majorité chiite de ce pays. Ryad et Téhéran ont rompu leurs relations diplomatiques en janvier 2016 à la suite de l’exécution d’un chef chiite en Arabie.

Le Qatar a également été exclu de la coalition militaire arabe qui combat des rebelles pro-iraniens au Yémen. Une décision saluée par le gouvernement du président yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi qui a aussi rompu avec Doha en l’accusant de soutenir —malgré sa participation à la coalition arabe— ses adversaires, les rebelles Houthis.

Le Qatar a qualifié d’"injustifiée" et "sans fondement" la décision de certains pays du Golfe, prise "en coordination avec l’Egypte". Elle a un "objectif clair : placer l’Etat (du Qatar) sous tutelle, ce qui marque une violation de sa souveraineté" et est "totalement inacceptable", a affirmé le ministère des Affaires étrangères à Doha.

Le Qatar, dirigé par le jeune émir cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, "n’interfère pas dans les affaires d’autrui" et "lutte contre le terrorisme et l’extrémisme", a-t-il assuré.

Outre la rupture des relations et le rappel des diplomates, les trois pays du Golfe ont pris des mesures de rétorsion sans précédent : fermeture des espaces aériens, des accès terrestres et maritimes, interdiction de voyager au Qatar et d’entrée pour les ressortissants du Qatar.

La suspension des vols avec le Qatar a été annoncée par les grandes compagnies aériennes Emirates (Dubaï) et Etihad (Abou Dhabi).

L’Egypte a pour sa part décidé de fermer ses frontières "aériennes et maritimes" avec le Qatar qui, selon son ministère des Affaires étrangères, "insiste à adopter un comportement hostile vis-à-vis" du Caire.

Cette crise intervient alors que les autorités qataries ont affirmé la semaine dernière avoir été victimes de "hackers" ayant publié sur le site internet de l’agence de presse officielle QNA de faux propos attribués à l’émir Tamim. Ces propos controversés rompaient avec le consensus régional sur plusieurs sujets sensibles, notamment l’Iran, vu comme un allié stratégique alors qu’il vient d’être accusé par l’Arabie saoudite d’être "le fer de lance du terrorisme".

Ils contenaient aussi des commentaires négatifs sur les relations entre l’administration Trump et le Qatar, pourtant un proche allié des Etats-Unis. La visite du président Trump à Ryad, son premier déplacement à l’étranger, avait été couronnée par la signature d’un accord sur "une vision stratégique" pour renforcer les relations économiques et de défense entre le royaume saoudien et les Etats-Unis.

Dans un discours le 21 mai 2017 à Ryad devant des dirigeants du monde musulman, M. Trump avait appelé à "chasser" les extrémistes et "les terroristes", en référence aux groupes jihadistes, auteurs d’attaques dans plusieurs pays. Il avait aussi demandé à la communauté internationale "d’isoler" l’Iran.

Le Qatar s’est plaint d’être victime d’une campagne hostile concernant un soutien présumé aux groupes islamistes.

La dernière crise ouverte dans le Golfe remonte à 2014 lorsque trois pays du CCG (Arabie, Bahreïn et Emirats) avaient rappelé leur ambassadeur à Doha pour protester contre le soutien présumé du Qatar aux Frères musulmans.

Contrairement à l’Arabie, aux Emirats et à Bahreïn, les deux autres pays du Golfe —le Koweït et le sultanat d’Oman— ont observé lundi un silence total sur la crise avec le Qatar.

26 mai 2017 : Le Qatar va-t-il changer de camp et passer du côté de l’axe de la résistance antisioniste ?

Said Hilal Alcharifi, 26 mai 2017 : La guerre diplomatique et médiatique, entre d’une part le Qatar et d’autre part le royaume des coupeurs de têtes, bat son plein depuis trois jours et fait des dégâts énormes. L’émir du Qatar est sur le point de retourner sa veste et de se jeter dans les bras de l’Iran, proprement dit, de l’axe de la résistance qui comprend la Russie, l’Iran, la Syrie, l’Irak, et le Hezbollah.

Aljazzeera cet empire de désinformation a complètement changé de rhétorique. Les expressions utilisées tout au long des six années de guerre en Syrie du genre "le régime sanguinaire de Damas ou les milices d’Assad" ont soudainement disparu dans les journaux télévisés et on entend désormais les présentateurs dire "le gouvernement la république arabe syrienne et l’armée syrienne" et ceux qui se battent contre l’armée syrienne ne sont plus des révolutionnaires ou des rebelles mais des groupes armés.

Article complet : http://mai68.org/spip2/spip.php?article353

15 décembre 2011 : La France est un paradis fiscal parfait grâce au Qatar

À travers le Qatar, la France peut en fait servir de paradis fiscal pour tout le monde, même pour les ennemis de l’impérialisme américano-sioniste.

Pour un ami de cet impérialisme ou pour quelqu’un qui s’en fout, il suffit de fabriquer une société bidon au Qatar, et d’investir en France au travers de cette société. Et la France sera pour lui un paradis fiscal ; même s’il est Français.

Et, s’il est un ennemi de l’impérialisme américano-sioniste, comme il risque d’avoir des difficultés pour établir une société écran directement au Qatar, il lui suffira de prendre un intermédiaire de plus en fabriquant tout d’abord une société bidon aux îles marquises ou aux Caïmans (il y a quelques années, ça coûtait 5000 Euros. Pas cher pour les riches !) ; puis, cette société bidon établie aux Caïmans pourra fonder sans difficulté une société écran au Qatar qui pourra enfin investir en France et faire plein de fric sans payer d’impôts, ou camoufler en France son fric gagné ailleurs.

La France est un paradis fiscal parfait. Il suffit de connaître le truc :

http://mai68.org/spip/spip.php?article3576

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