Peu importe ce qu’ils pensent : j’écrirai pour que mes mots servent de barrières qui contrent leurs maux.
Peu importe ce qu’ils disent : j’écrirai jusqu’à ce que mes mots résonnent plus haut et plus fort que leurs voix.
Peu importe ce qu’ils disent : j’écrirai jusqu’à faire hurler ma plume au son d’un océan qui se déchaîne.
Peu importe ce qu’ils jugent : j’écrirai pour que la droiture de mes mots fasse d’eux, des transfuges rejoignant enfin le camps de l’humanité.
Peu importe les circonstances qui conditionnent ma vie dis-je : j’écrirai encore et encore, jusqu’à vider la dernière cartouche d’encre de mon cerveau limbique, et affirmer ainsi devant tous que, j’écrirai en jet de cris ! Jah Olela & Stéphane Owona