À la télévision, le pouvoir nous apprend comment arriver à survivre quand on est pauvres. Il nous fait même l’éloge de la pauvreté par l’intermédiaire de ses perroquets, c’est-à-dire par l’intermédiaire de personnes qui ne sont pas, ou du moins ne semblent pas faire partie du pouvoir, mais dont l’idéologie est soutenue en sous-main par lui. Si le prolétariat trouve que c’est bien d’être pauvre, ou du moins s’il accepte d’être pauvre, la bourgeoisie pourra diminuer les salaires.