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Les décisions concernant la libération conditionnelle des prisonniers basques ne sont pas objectives

samedi 22 juillet 2017, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 22 juillet 2017).

MUNDU HOBEA POSIBLE DA… EGIN DEZAGUN !

Faut-il rappeler qu’ETA a rendu les armes aux autorités françaises, après avoir déclaré un cessez-le-feu unilatéral et définitif il y a déjà plusieurs années ?

Pour nos "élites", la vengeance est un plat qui se mange froid et à toutes les sauces, y compris à travers leur prétendue Justice. Ce ne sont que des MINABLES = Pitoyables, misérables, médiocres, lamentables ( voir définition ici : http://www.linternaute.com/diction…. ) …et j’ajoute des criminels fils de Garches et enfants de Puteaux !

Xarlo

MUNDU HOBEA POSIBLE DA… EGIN DEZAGUN !
UN MONDE MEILLEUR EST POSSIBLE… FAISONS-LE !
UN MUNDO MEJOR ES POSIBLE… TENEMOS QUE HACERLO !


"Risque de récidive" chez Lorentxa Beyrie

http://mediabask.naiz.eus/fr/info_m…

Bénédicte Saint-André Le 29/01/2016 17:30 Mis à jour à : 20:1

Pour l’avocate Maritxu Paulus-Basurco, les décisions concernant la libération conditionnelle des prisonniers basques ne sont pas objectives. DR

Le 28 janvier 2016, la demande de libération conditionnelle de Lorentxa Beyrie était refusée. La chambre d’application des peines a estimé que son projet de réinsertion était suffisamment construit mais qu’il existait pour autant un risque de récidive.

En droit français, la décision de liberté conditionnelle est soumise à la libre appréciation des juges. Le 28 janvier, la chambre d’application des peines a refusé la libération de Lorentxa Beyrie, arguant l’absence de remise en cause de ses actes.

La repentance ne fait pas partie des conditions légales de mise en liberté conditionnelle mais elle peut être utilisée par les juges comme élément d’appréciation. Ici "en l’absence de remise en cause des faits qui lui sont reprochés, la chambre a estimé que Lorentxa Beyrie restait une militante d’ETA, et que l’organisation n’ayant pas rendu les armes, le risque de récidive était présent".

"Or, le contexte politique fait que ce risque n’existe pas", insiste Me Paulus- Basurco, son avocate. Mais les juges ne l’entendent pas ainsi et pour la deuxième fois sa demande est rejetée. D’autres détenus avant elle -on pense par exemple à Filipe Bidart- ont bénéficié d’une libération conditionnelle sans pour autant battre leur coulpe. Mais depuis un an, date qui correspond peu ou prou à un changement de président à la Cour, les décisions sont particulièrement sévères.

Et même si l’avocate annonce préparer une nouvelle procédure, il paraît aujourd’hui difficile d’envisager un changement de cap sans une évolution politique du processus.

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