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Marche arrière : la chloroquine ne sera utilisée que dans les cas graves

samedi 28 mars 2020, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 28 mars 2020).

https://lemediapourtous.fr/marche-a…

Il y a des coups de hache qui se perdent

Note de do : cet article est beaucoup plus précis :

https://www.linternaute.com/actuali…

Extrait :

Peut-on acheter ou se faire prescrire de la chloroquine ?

En France, le gouvernement, via le ministre de la Santé Olivier Véran, s’est dit favorable à des tests cliniques plus étendus et actuellement en cours à l’échelle européenne, dans au moins 7 pays, depuis le 22 mars. En attendant, un décret avait été publié jeudi 26 mars au Journal officiel afin d’encadrer la prescription de cette molécule considérée comme miraculeuse par certains médecins. Seuls les médecins hospitaliers, à titre dérogatoire, pourront en prescrire à leurs malades les plus gravement atteints. Sur le décret, il était inscrit que "l’hydroxychloroquine et l’association lopinavir/ritonavir peuvent être prescrits, dispensés et administrés sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le Covid-19, dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile". Finalement, vendredi 27 mars, le gouvernement a fait marche arrière en modifiant le décret et en n’autorisant la chloroquine que pour les cas les plus graves. "Ces prescriptions interviennent, après décision collégiale, dans le respect des recommandations du Haut conseil de la santé publique et, en particulier, de l’indication pour les patients atteints de pneumonie oxygéno-requérante ou d’une défaillance d’organe", peut-on désormais lire.

De leur côté, les médecins de ville ont interdiction d’y avoir recours pour leurs patients atteints du coronavirus. Les Français qui utilisent habituellement la molécule prescrite notamment en cas de paludisme pourront continuer à en bénéficier. Le Haut conseil de santé publique avait rendu un avis le lundi 23 mars, indiquant que la chloroquine pourrait certes être administrée aux malades souffrant de "formes graves" de coronavirus, mais uniquement dans un protocole médical strict et sur "décision collégiale des médecins". Elle ne pourra pas être commercialisée et utilisée à plus grande échelle, pour des formes "moins sévères". Samedi 28 mars, le Conseil d’Etat devra répondre à la question suivante : faut-il faire des stocks de chloroquine pour éviter la pénurie ?

Il y a donc des gens atteint du covid-19 qui diront qu’ils ont le palu ou un lupus, ou…

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