Plateformes de culture et de génomique : au cœur des secrets du coronavirus
Professeurs Bernard Lascola et Anthony Levasseur
IHU Méditerranée Infection - 7 juin 2020
Anthony Levasseur, à 7’27 : « En terme d’origine de ce virus, nous n’avons pas observé de cicatrices résiduelles qui seraient dus à des manipulations de biologie moléculaire. Tout ce que l’on a observé, ce sont des phénomènes qui se produisent naturellement, telles que des recombinaisons et des adaptations en fonction de l’hôte. »
Note de do du 28 décembre 2022 :
Depuis on a appris qu’il y avait des moyens de trafiquer des virus sans que ça se voit. À l’IHU, ils ne devaient pas encore être au courant.
Note de do du 9 juin 2024 :
Il est possible de créer artificiellement un virus sans qu’il soit possible de détecter qu’il a été créé par artificiellement.
Ralph Baric, 14 septembre 2020 :
Il n’est pas vrai que l’on verrait des manipulations de virus en laboratoire, comme cela s’est répété tous ces mois face aux origines mystérieuses du SRAS-Cov-2. Depuis au moins dix ans, dans les deux laboratoires les plus avancés au monde, en Caroline du Nord et à Wuhan, où a éclaté la pandémie, les chercheurs utilisent des techniques très sophistiquées dites transparentes, grâce auxquelles il est possible de combiner du matériel génétique de différents types de virus sans laisser de cicatrices dans les articulations entre une pièce et une autre, comme cela s’est produit dans le passé.
Article complet : http://mai68.org/spip3/spip.php?article430