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Dieu joue-t-il aux dés ? vidéo 18’03

mardi 22 septembre 2020, par do (Date de rédaction antérieure : 22 septembre 2020).

https://youtu.be/5R6k2mEacZo?list=P…

L’intrication quantique — Science étonnante #23

ScienceEtonnante - 22 janvier 2016

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Note de do : Einstein disait : « Dieu ne joue pas aux dés »

Les physiciens de la mécanique quantique admettent l’existence du hasard. Ce que réfutait Einstein. Mais, la plupart des physiciens disent aujourd’hui qu’il avait tort. Personnellement, je pense qu’il avait raison. Non, contrairement à lui, je ne crois pas en dieu. Je suis complètement athée ; et, même, anti-thée. Par contre, je ne crois absolument pas au hasard en quantique.

Je n’y crois pas parce qu’admettre le hasard en science est une régression. La science est née avec le principe essentiel : « Les mêmes causes produisent les mêmes effets. » Principe qu’elle avait à sa naissance en commun avec la sorcellerie ou l’alchimie d’où elle descend. Elle a viré toutes les débilités et a gardé le principe. Principe détesté par l’Église ; car, il ne laisse plus de place au bon vouloir de dieu. Autrement dit, vu depuis ici-bas, au hasard.

J’admets facilement des raisonnements dans le style "on ne sait pas mesurer précisément, donc on va faire comme si c’était au hasard ; et, on verra ce que ça donne. » Cela peut être productif tant qu’on ne sait pas encore voir les choses avec précision. Mais, il ne faut jamais oublier que ce n’est qu’une stratégie momentanée utilisée pour avancer parce qu’on n’a pas le choix. Il ne faut pas en faire un truc définitif en disant que le hasard existe effectivement en quantique. Sinon on reste bloqué là, alors qu’on pourrait aller bien plus loin.

Cette vidéo étudie si oui ou non le hasard existe en quantique. Elle parle de variables cachées. Explique qu’avec des variables cachées locales, on est scientifiquement obligé d’admettre le hasard en quantique. Mais, elle dit aussi que si on admet des variables cachées non locales, le déterminisme (absence de hasard) a peut-être raison.

Comme explication de l’intrication des particules, je propose l’existence de dimensions supplémentaires invisibles ou quasi invisibles à nos yeux. En tenant comptes de ces dimensions cachés, les deux particules intriquées n’en font qu’une. Elles sont comme qui dirait réunies par un bras qui n’existe que dans ces dimensions cachées. Elles sont donc un seul et même objet. Ce qui fait que forcément, ce qui arrive à l’une arrive aussi à l’autre instantanément, c’est-à-dire plus vite que la lumière.

Note sur les dimensions :

Les dimensions sont par exemple les coordonnées GPS. Ce sont la longueur, la largeur, la hauteur et le temps. On constate qu’on perçoit et se déplace sans trop de difficulté dans la largeur et la longueur. On perçoit aussi sans difficulté la hauteur ; mais, on s’y déplace très difficilement, contrairement aux oiseaux. Quand à la dimension, temps, on ne sait pas du tout s’y déplacer à volonté, et on la perçoit très mal.

On peut donc imaginer qu’il existe d’autres dimensions qui sont pour nous encore plus difficile d’accès. Et que certaines d’entre elles sont quand même perceptibles légèrement par le biais de l’intrication des particules.

Il faut remarquer aussi que la théorie de l’inflation dans le Big Bang implique elle aussi d’autres dimensions. Ce n’est donc pas la première fois qu’on évoque des dimensions supplémentaires.

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