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Coronavirus - Les complotistes avaient (encore) raison - audio 12’35

lundi 1er février 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 1er février 2021).

https://youtu.be/kSsdnJCxqsA

La Capsule #25 - Les complotistes avaient (encore) raison

La Croix du Sud - 31 décembre 2021

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Où ll est question de l’étude de Ioannidis

Coronavirus - Le plus grand épidémiologiste prouve que le confinement augmente les contaminations

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7919

Covid-19 : une étude accuse le confinement d’avoir aggravé la contagion

https://www.valeursactuelles.com/so…

Vendredi 29 janvier 2021 à 20:22

Cette étude, publiée le 5 janvier 2021, signée par un grand épidémiologiste à Stanford, établit que le confinement n’est pas d’une plus grande utilité que les gestes barrières.

Le confinement aurait-il aggravé la situation sanitaire ? Alors que le conseil de défense sanitaire se réunit ce vendredi pour décider de restrictions sanitaires potentiellement plus strictes, le journal Les Echos a rendu compte d’une étude publiée par le « European journal of clinical investigation », une revue scientifique, qui critique sévèrement l’impact du confinement.

Signée du professeur et épidémiologiste John Ionannidis, l’étude souligne que le confinement et la fermeture des lieux culturels, bars et restaurants n’a été d’aucune utilité. Il n’aurait pas eu d’impacts sur le nombre de cas de contaminations et c’est même tout l’inverse. L’effet escompté par le confinement n’est pas là, selon cette étude, comme le révèlent les chiffres analysés par l’équipe de John Ioannidis.

Le confinement a favorisé les contaminations à l’intérieur des foyers

Pour arriver à ces conclusions, l’équipe de John Ioannidis a mis en place un protocole. Parmi les 10 pays analysés par l’équipe : la France. Les scientifiques ont mis le nombre de contaminations dans l’hexagone - à partir du moment où le confinement a été déclaré- et les entreprises fermées, en face de celles de pays où le confinement n’a pas été prononcé. Comme cela a été le cas en Suède ou en Corée du Sud. Le résultat est sans appel. L’effet des mesures restrictives n’a presque pas apporté d’avantages en termes de contaminations.

En revanche, ce qui est certain, c’est que le confinement coûte très cher à l’économie française. Selon Capital qui se fait l’écho de l’AFP, un confinement d’un mois amputerait le produit intérieur brut d’environ un point. Ce serait 20 milliards que la France perdrait en l’espace de quatre semaines de restrictions strictes, avec la fermeture des entreprises.

Cliquer ici pour l’article, LES PDF et les commentaires

Assessing Mandatory Stay‐at‐Home and Business Closure Effects on the Spread of COVID‐19

https://onlinelibrary.wiley.com/doi…

First published : 05 January 2021

Eran Bendavid ; Christopher Oh ; Jay Bhattacharya ;
John P.A. Ioannidis

https://doi.org/10.1111/eci.13484

This article has been accepted for publication and undergone full peer review but has not been through the copyediting, typesetting, pagination and proofreading process, which may lead to differences between this version and the Version of Record. Please cite this article as doi:10.1111/eci.13484

Version PDF : https://onlinelibrary.wiley.com/doi…

Sauvegarde : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/Coro…

Abstract

Background and Aims

The most restrictive non‐pharmaceutical interventions (NPIs) for controlling the spread of COVID‐19 are mandatory stay‐at‐home and business closures. Given the consequences of these policies, it is important to assess their effects. We evaluate the effects on epidemic case growth of more restrictive NPIs (mrNPIs), above and beyond those of less restrictive NPIs (lrNPIs).

Methods

We first estimate COVID‐19 case growth in relation to any NPI implementation in subnational regions of 10 countries : England, France, Germany, Iran, Italy, Netherlands, Spain, South Korea, Sweden, and the US. Using first‐difference models with fixed effects, we isolate the effects of mrNPIs by subtracting the combined effects of lrNPIs and epidemic dynamics from all NPIs. We use case growth in Sweden and South Korea, two countries that did not implement mandatory stay‐at‐home and business closures, as comparison countries for the other 8 countries (16 total comparisons).

Results

Implementing any NPIs was associated with significant reductions in case growth in 9 out of 10 study countries, including South Korea and Sweden that implemented only lrNPIs (Spain had a non‐significant effect). After subtracting the epidemic and lrNPI effects, we find no clear, significant beneficial effect of mrNPIs on case growth in any country. In France, e.g., the effect of mrNPIs was +7% (95CI ‐5%‐19%) when compared with Sweden, and +13% (‐12%‐38%) when compared with South Korea (positive means pro‐contagion). The 95% confidence intervals excluded 30% declines in all 16 comparisons and 15% declines in 11/16 comparisons.

Conclusions

While small benefits cannot be excluded, we do not find significant benefits on case growth of more restrictive NPIs. Similar reductions in case growth may be achievable with less restrictive interventions.

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