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Coronavirus - Tous les animaux vaccinés avec de l’ARNm sont morts ! (vidéos)

jeudi 22 juillet 2021, par a_suivre (Date de rédaction antérieure : 12 février 2021).

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Docteur Lee Merrit : les vaccins ARNm sont potentiellement des armes biologiques. (vidéo-31’25’’)

Les personnes vaccinées actuellement paradent et montrent aux autres le chemin à suivre, mais l’effet est retardé, et cela, ils ne le savent pas car la réaction mortelle viendra dans 2 ans dit ce médecin et cela est un désastre surtout que plus aucun lien avec le vaccin ne sera retenu !

À 20’ dans la vidéo, le docteur Lee Merrit affirme : « Tous les animaux vaccinés avec de l’ARNm sont morts, pas directement après le vaccin, mais plus tard lorsqu’ils ont été confrontés au virus. Les tests menés sur les chats et furets n’ont jamais été concluants. »

Alors pourquoi cela marcherait-il sur l’Homme ?

Vidéo originale publiée le 14 janvier 2021 sur le lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=3mP…


Le docteur Lee Merrit, médecin de formation classique, a obtenu son diplôme de médecine à l’école de médecine et de dentisterie de l’Université de Rochester, elle a été chirurgienne orthopédique de la colonne vertébrale pendant 27 ans, elle a étudié les armes biologiques, elle a effectué son stage au centre médical naval national de Bethesda au Maryland en médecine interne, puis elle a été résidente en chirurgie orthopédique au centre médical naval de San Diego, elle a passé 10 ans comme chirurgien militaire un peu partout. Elle a reçu la bourse Lewis Goldstein en chirurgie de la colonne vertébrale, la seule femme au monde ayant reçu cela. Elle a été le porte-parole de "Des Médecins pour la préparation aux désastres" »

SARS-CoV2 et la montée de la technocratie médicale. Lee Merritt, M.D. 17 août 2020 (vidéo 59’16’’ - conférence en anglais, mais on peut activer les sous-titres)

https://www.youtube.com/watch?fbcli…

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SARS-CoV2 and the Rise of Medical Technocracy. Lee Merritt, M.D. - (vidéo 59’16’’ - YouTube)

« Les médias nous font danser… Ils nous mettent la pression d’aimer ou de nous choquer… Ils sont les maîtres du monde de nous informer dans le mensonge ou la vérité, du moment que le scoop a payé…  » DESCREA

ADE = Antibody-dependant enhancement = Facilitation de l’infection par des anticorps

Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Facil…

La facilitation de l’infection par des anticorps (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais) est un phénomène se produisant lors d’une infection virale, quand des anticorps non neutralisants de l’hôte facilitent l’entrée du virus dans les cellules hôtes, et parfois aussi sa réplication1. Ce phénomène permet à certains virus d’infecter des cellules ne possédant pas le récepteur permettant l’entrée du virus. Il confère à certains virus une infectiosité et une virulence accrues. Pour rappel, les anticorps ont normalement trois fonctions immunitaires principales : se lier à l’antigène (virus notamment), activer le système du complément et recruter des cellules immunocompétentes.

L’existence du phénomène de facilitation de l’infection par des anticorps (d’abord très controversée)2 a été récemment observée et démontrée, d’abord en médecine tropicale, avec des flavivirus sources de maladies vectorielles transmises par des moustiques (virus de la dengue, virus de la fièvre jaune et virus Zika3,4) puis avec le virus de l’immunodéficience humaine, et il est soupçonné chez d’autres virus. Une question en cours dans la pandémie de COVID-19 est de savoir si - et si oui, dans quelle mesure - certaines formes graves de la COVID-19 sont induites par une ou plusieurs infections antérieures par d’autres coronavirus5.

Dans le cas de maladies virales « facilitées » par un ADE, ce phénomène peut entraver le développement d’un vaccin, car ce dernier peut justement provoquer la production d’anticorps qui, via l’ADE, aggraveraient ensuite la maladie contre laquelle le vaccin a été conçu. L’hypothèse de la facilitation implique, par exemple dans le cas de la dengue, que l’industrie pharmaceutique produise un vaccin tétravalent6, beaucoup plus difficile à concevoir7. Ainsi les candidats vaccins contre le virus de la dengue et contre le virus de la péritonite infectieuse féline (un coronavirus qui infecte le chat) ont dû être abandonnés car ils provoquaient une telle réaction8.

Mécanismes

Les mécanismes de la facilitation de l’infection par des anticorps ne sont pas encore totalement élucidés, mais plusieurs hypothèses ont été émises, probablement complémentaires et s’appuyant sur plus d’un mécanisme.

L’hypothèse générale est que certaines cellules du système immunitaire (monocytes/macrophages) ne disposent pas sur leur surface des récepteurs habituels que le virus utilise pour entrer dans ces cellules, mais qu’elles ont des « récepteurs Fc » qui se lient à une extrémité des anticorps. Un virus capable de se lier à l’autre extrémité de l’anticorps pourrait ainsi utiliser cet anticorps comme une « clé » pour pénétrer et infecter la cellule immunitaire. Le virus de la dengue utilise, au moins dans certains cas, ce mécanisme pour infecter les macrophages humains de personnes précédemment infectées avec une souche différente du virus. Un virus, normalement bénin, et restant bénin chez ceux qui sont infectés pour la première fois, peut alors chez ces personnes causer une infection virale grave et potentiellement mortelle9.

Celles-ci impliquent notamment la formation de complexes « anticorps-virus, » ou de complexes « composant du système du complément-virus »10.

Il est supposé que, dans la majorité des cas, les anticorps impliqués dans ce phénomène sont des anticorps neutralisants d’un autre virus, ou d’un autre sérotype du virus, comme dans le cas de la dengue11.

Les anticorps produits par des lymphocytes B mémoires réactivés (ou transmis par voie materno-fœtale)12,13, seraient non seulement parfois incapables de neutraliser un sérotype viral différent de celui d’une infection ultérieure, mais en outre ces anticorps « à réactivité croisée » se lieraient au contraire à la particule virale pour former avec elle un complexe facilitant l’infection de toute cellule portant le récepteur Fc, telles que les monocytes/macrophages14. La réplication virale, alors plus rapide et plus intense, pourrait alors aggraver la maladie (virémie et sévérité clinique accrues) 15,16,17,18,19. En outre, le virus qui infecte des monocytes et macrophages pourrait induire une présentation d’antigènes viraux et l’activation de lymphocytes T mémoires à réactivité croisée20 (générés lors d’une primo-infection), qui prolifèrent alors à l’occasion d’une seconde infection 21,22 et sécrètent massivement des cytokines pro-inflammatoires (IFNγ et TNFα par exemple23,24, pouvant entraîner de graves dommages vasculaires (dont hémorragies et choc cytokinique).

Virus concernés

De nombreux virus sont potentiellement concernés par la facilitation de l’infection par des anticorps, mais souvent, c’est uniquement in vitro que les preuves d’une facilitation de l’infection par des anticorps ont été trouvées.

Virus de la dengue

Le virus de la dengue peut entraîner des formes sévères de dengue hémorragique ; et il a été noté que l’histoire immunologique du patient influe aussi sur le déroulement clinique de l’infection : des études épidémiologiques ont mis en avant une incidence accrue d’un syndrome de choc de dengue (ou DSS pour « dengue shock syndrome ») en cas d’infection secondaire par un sérotype viral différent de celui ayant provoqué la primo-infection25,26,27. C’est dans ce contexte qu’a été avancé en 1970 l’hypothèse de la facilitation de l’infection par les anticorps28,29 ; c’était alors la première mention de ce phénomène.

Les quatre sérotypes existants de la dengue sont à l’origine de ce phénomène.

  • Une première infection par un sérotype donné du virus de la dengue génère des anticorps neutralisants (monotypes), entraînant une protection vis-à-vis du sérotype de virus de la dengue concerné, et d’autres anticorps hétérotypes, potentiellement actifs pour les quatre sérotypes. Cette première infection cause une dengue « bénigne ».
  • Une seconde infection, par un autre sérotype du virus de la dengue, utilisera les anticorps hétérotypes générés précédemment pour infecter plus facilement le sujet. Une dengue hémorragique, beaucoup plus grave, peut alors survenir30.

La facilitation de l’infection par les anticorps est suspectée dans les complications liées au vaccin contre la dengue (Dengvaxia, développé par Sanofi Pasteur)31.

Virus de l’immunodéficience humaine

La facilitation de l’infection par des anticorps est suspectée lors de l’infection par le VIH32. Dans ce contexte, des tests in vitro ont montré l’existence du phénomène. Cependant, cela n’a pas encore été démontré in vivo, et l’impact de la facilitation de l’infection du VIH par des anticorps reste peu connu. La seule existence de ce phénomène reste cependant préoccupante, notamment par rapport aux essais vaccinaux dirigés contre le VIH33.

Autres virus ?

La facilitation de l’infection par des anticorps a été décrite ou suspectée pour d’autres virus, mais généralement uniquement in vitro.34.

Ce phénomène peut ainsi être observé in vitro lors d’infections à entérovirus. Il pourrait jouer un rôle dans la pathogénèse du diabète de type 135,36.

La facilitation de l’infection du SRAS par des anticorps a été également suspectée dans les années 201037, de même en 2020 pour le SARS-CoV-2 (responsable de la COVID-19 et donc de la pandémie de COVID-19), mais, selon Anuj Sharma (Uniformed Services University of the Health Sciences, Bethesda), en mars 2020, il était encore trop tôt pour en être certain34. Sharma note que divers coronavirus ont une réactivité croisée, avec donc des réponses d’anticorps réactifs croisées38. Hormis pour les sérotypes du virus de la dengue, qui a démontré l’existence d’une facilitation de l’infection par des anticorps dans le modèle animal (voir plus haut), pour d’autres virus la preuve des niveaux d’anticorps sous-neutralisants a essentiellement été faite in vitro sur des cultures cellulaires. Or dans le domaine de l’étude des virus, notamment chez les coronavirus, les démonstrations in vitro (pour la recherche d’efficacité de médicaments par exemple), fréquemment, n’ont pas été confirmées in vivo. In vitro, un manque de réponse immunitaire innée/adaptative des cellules cultivées peut induire une réduction des niveaux d’anticorps neutralisants, qui avec l’absence de réponse immunitaire innée d’autres cellules peut entraîner une « facilitation de l’infection par des anticorps » artificielle qui n’aurait éventuellement pas lieu in vivo. Le diabète et les maladies cardiovasculaires se sont montré prédicatrices d’un risque de forme grave de la COVID-19, or ces deux maladies sont connues comme causes de dysfonctionnement de la réponse immunitaire39,40. Telle que rapporté par Channappanavar et al., la dérégulation immunitaire peut faciliter une pneumonie atypique létale par le SRAS-CoV41.

Limites

L’hypothèse de la facilitation par les anticorps est cependant parfois contredite ou questionnée (même pour la dengue) :

des études épidémiologiques ne confirment pas son universalité selon S Devignot et al. en 2010 42, citant Devrais & al. (2009)43 ;

en zone d’endémie de dengue, les anticorps maternels semblent plutôt protéger l’enfant que faciliter l’infection44 ;

des chocs DSS se manifestent parfois lors de primo-infection45,46 ;

des infections secondaires non compliquées de syndrome de choc existent47.

Bibliographie

Deutsch S (1975) Études sur la spécificité des anticorps produits par des cellules isolées, en réponse à des stimulations secondaires hétérologues (Doctoral dissertation).

(en) Juthathip Mongkolsapaya, Wanwisa Dejnirattisai, Xiao-ning Xu et Sirijitt Vasanawathana, « Original antigenic sin and apoptosis in the pathogenesis of dengue hemorrhagic fever », Nature Medicine, vol. 9, no 7,‎ juillet 2003, p. 921–927 (ISSN 1078-8956 et 1546-170X, DOI 10.1038/nm887, lire en ligne [archive], consulté le 13 juin 2020)

Notes et références

Cliquer sur le lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Facil…

5 Messages de forum

  • Salut A_Suivre,

    J’ai changé le nom de la vidéo en Corona_Lee-merrit_14jan2021.mp4

    J’ai fait ça pour avoir un nom beaucoup plus court et que la date soit incluse dedans.

    Les noms trop longs me posent des problèmes pour faire des sauvegardes.

    Amicalement,
    do
    http://mai68.org

    Répondre à ce message

  • Oui , ça commence à m’intéresser … Je vois que You Tube a déjà censuré la vidéo , c’est normal l’ensemble des réseaux sociaux sont des complices de la présente entreprise criminelle …
    La pandémie de Covid 19 alias SARS COV 2 et la vaccination qui s’ensuit avec des expérimentations ARN sont bien constitutives d’une action de guerre bactériologique à but génocidaire .
    Les animaux ayant servi de cobayes sont tous morts dans les 2 ans , je pense donc que les humains ayant subi l’expérimentation génique au moins une fois ne feront pas beaucoup mieux .
    Je me souviens que les "responsables" de la dictature bourgeoise , au début de l" ’épidémie" , lorsqu’ils voulaient répandre le virus en Europe et ailleurs parlaient , à l’instar de Mme MERKEL , d’une immunité naturelle à 70 % de personnes atteintes . Aujourd’hui , on veut vacciner jusqu’à 90 % des personnes , il semble donc que tout le monde se met en ordre de bataille pour réaliser l’objectif de 500 millions de survivants avant la fin de la décennie comme les eugénistes l’ont fait graver dans le marbre dans un monument aux USA, je crois l’Arizona , et que des prophètes de malheur tels Bill Gates ou Klaus Schwab ont repris à leur compte . Cela conforte aussi l’hypothèse autoréalisatrice de l’agence de renseignements DEAGEL qui tablait sur une "dépopulation" de 50 à 80 % dès 2025 .
    Maintenant il ne reste plus qu’à nous mettre , nous même ,en ordre de bataille avant que l’Histoire humaine ne finisse dans la barbarie …

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