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Face au N.O.M. impérialiste et banco-centraliste, Loukachenko Résistant ! Quelques nouveaux éléments apportés au débat...

dimanche 13 juin 2021, par Luniterre (Date de rédaction antérieure : 13 juin 2021).

SUITE A REPUBLICATION SUR AGORAVOX ET BELLACIAO :

Le N.O.M. et l’évolution des relations internationales

Une première précision utile apportée au débat concernant la redéfinition des relations internationales dans le cadre du processus mondial de banco-centralisation des économies industrielles les plus avancées.

Le N.O.M n’est pas seulement une phase de décadence d’un empire, ni même d’un système économique impérialiste en général, mais aussi la phase d’apparition d’un autre type de relations sociales et économiques, fondées sur le banco-centralisme, ce qui est donc, de fait, l’apparition d’une « nouvelle espèce », pour filer la métaphore, parfois employée, des « biotopes économiques interconnectés », assez juste, mais qui ne tient pas suffisamment compte du fait que de nouveaux types de rapports sociaux et économiques apparaissent, avec l’évolution des forces productives nouvelles.

Il n’y a donc pas vraiment de « projet » banco-centraliste au sens d’un « complot » d’une minorité de capitalistes « éclairés », même si cela y ressemble fort, au point même d’en prendre la forme, ce qui fait que les théories « complotistes » fondées sur une perception idéaliste intuitive du réel rejoignent parfois l’analyse matérialiste dialectique. Il ne faut pas oublier, du reste, qu’une grande partie du marxisme dérive de la pensée idéaliste hégélienne, même si elle s’en sépare radicalement, pour finir, et prendre son envol, loin d’être terminé.

La réalité économique du développement des forces productives est telle, en termes de progrès techniques et d’automatisation, et même, de robotisation, que l’heure historique du capitalisme est donc déjà dépassée, selon ces termes, qui sont ceux de Marx, du reste… Du moins, c’est le cas dans les pays industriels avancés, et surtout, dans les secteurs économiques les plus modernes, y compris en Chine, où le capitalisme, à partir de sa forme primitive nationale-maoïste a donc franchi en moins de trois quarts de siècle les étapes que les pays plus anciennement industrialisés ont connu en deux siècles.

En Chine, le passage au capitalisme monopoliste financier s’est principalement effectué au tournant des années 90, avec l’ouverture de ses places financières, à Shanghai et Shenzhen, mais il avait été déjà largement ébauché sous Mao, via les investissements US négociés à Hong Kong, dès 1972 (Actions « Red Chips »). De sorte que le rôle de la PBoC sur le contrôle des marchés financiers y a été constant et que face au développement de la dette, notamment sous la forme du « shadow banking », ce contrôle des marchés est déjà une forme avancée et précoce de banco-centralisme, en parallèle, en quelque sorte, du banco-centralisme précoce qui s’est établi au Japon, déjà bien avant la crise de 2007-2008.

De sorte que la nature des rapports entre États, que ce soit en termes d’alliances ou de rivalités, est déterminée, en dernière analyse, par le stade de développement de leurs forces productives.

Et s’il y a bien une alliance tactique, bien compréhensible, Il n’y a donc pas d’alliance stratégique réelle entre la Chine et la Russie, alliance qui se comprend dans le cadre des rivalités inter-impérialistes, essentiellement US-Chine, cadre désormais en voie d’être largement dépassé par celui des rivalités entre zones d’influences monétaires banco-centralistes.

Pour mémoire : FED (USA-zone dollar), BCE (UE-zone euro), PBoC (Chine-zone yuan), BoJ (Japon-zone yen) et la BoE (GB-« zone sterling », de fait en voie de reconstitution post-brexit !).

Dans ce cadre, l’interdépendance des économies est encore bien davantage prégnante que dans le cadre ancien des rivalités inter-impérialistes, et surtout et notamment, entre la Chine et les USA.

Le propre des politiques monétaires banco-centralistes est précisément d’être interdépendantes et nécessairement coordonnées, à l’échelle planétaire, question de survie de ces zones, malgré leurs rivalités.

C’est ce que montre très bien l’historique des relations et des rapports de forces monétaires entre le yuan et le dollar, constamment indexés l’un sur l’autre, par la force des choses économiques actuelles, et depuis plusieurs décennies déjà, dans une fourchette de compatibilité, et même, de comptabilité, pourrait-on dire, très étroite et qui permet à ces deux géants de survivre en dépit de leurs contradictions internes, même si celles de la Chine sont moins visibles au premier regard, et, de plus, dissimulées derrière le paravent idéologique qu’elle continue d’utiliser, depuis l’époque maoïste.

De sorte que l’intérêt des nations indépendantes et non encore soumises à cette dynamique banco-centraliste est bien de s’allier entre elles sur la base de leurs modes de développements économiques endogènes, de façon à conserver le contrôle de leur propre politique budgétaire nationale, nécessité comme base de la démocratie, qu’elle soit socialiste ou nationale-bourgeoise.

Ce nouveau déploiement des rivalités internationales, essentiellement entre zones d’influences monétaires banco-centralistes, mais fondamentalement interdépendantes et visant à réduire les restes de bourgeoisies nationales survivantes, comme en Russie, au Bélarus, en Syrie, etc… c’est ce que révèle particulièrement l’épisode aéronautique de Minsk, visant à établir un nouveau blocus sur ce pays, le Bélarus, en vue de faire sauter le verrou géostratégique qu’il constitue, aux avant-postes de la Russie, et en vue de la faire plier, d’une manière ou d’une autre, et d’autant plus qu’elle constitue actuellement, comme au temps de l’URSS, du reste, la « base arrière », en quelque sorte, de toutes les luttes d’indépendances nationales, à travers le monde.

Luniterre

L’ARTICLE INTÉGRAL ORIGINAL SUR VLR

[Avec de nombreux liens sur la situation actuelle au Bélarus.]

Loukachenko Résistant : de la « Guerre Froide » à la « Guerre Glaciale », nouveau type de « Guerre Hybride », le Nouvel Ordre Mondial en marche est-il inévitable ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8894

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LA SUITE DU DÉBAT ACTUEL SUR BELLACIAO

10 juin 2021 - 10h47 - Posté par Pedro

"Au Bélarus, le droit de grève est légal, sur vote à bulletin secret de 60% au moins des ouvriers d’une entreprise, et donc sur une base de revendication sociale." C’est quand même une restriction, en France on crierait au fascisme ! La Russie, le Belarus seraient socialistes ou auraient des survivances socialistes ? Ce n’est pas clair. "L’« incorporation discrète » de valeurs néo-nazies dans sa panoplie idéologique n’est donc pas fortuite, mais bien le reflet de son évolution cyber-fasciste et banco-centraliste, en convergence avec celles, déjà largement effectives, de la Chine et du Japon." La Chine, elle, ne serait donc plus (n’aurait jamais été ?) socialiste ? Elle serait même en voie de fascisation avancée !

10 juin 2021 - 12h30 - Posté par Lepotier

Pour Mao Zedong, la victoire de 1949 est celle de la mise en œuvre du projet stratégique de Démocratie Nouvelle, ouvrant certes la voie au socialisme, n’étant pas encore la dictature du prolétariat, mais une dictature démocratique conjointe des classes populaires et de la bourgeoisie nationale. De plus, c’est la stratégie générale du maoïsme dans les luttes de libération nationale, même si cela entraîne une ambigüité de langage largement utilisée dans la propagande maoïste, encore aujourd’hui, du reste.

Cette ambigüité n’a pas non plus été levée par la GRCP, du reste, lors de laquelle, selon les occasions, c’est l’une ou l’autre étape qui est mise en avant. Quoi qu’il en soit, la « dictature du prolétariat », version maoïste, n’a été constitutionnellement établie qu’en 1975, alors qu’elle était déjà à nouveau caduque, sur le terrain, avec les accords Mao-Nixon, l’introduction des capitaux US via Hong Kong ( Actions « Red Chips »), et surtout, la reprise en main de l’État par le clan Deng Xiaoping.

Mais la fraction dite « de gauche » de Jiang Qing (« Bande des quatre ») n’était pas spécialement plus « à gauche », en fait, et même très en pointe dans les négociations avec Kissinger, via le célèbre pongiste international Zhuang Zedong.

Pour l’URSS de l’époque, au début des années 50, le statut de démocratie populaire de la Chine correspondait avec la définition maoïste de la Démocratie Nouvelle et elle n’était donc pas considérée comme un État socialiste, mais comme une nation alliée au camp anti-impérialiste.

De fait, la fraction bourgeoise nationale alliée du maoïsme s’est trouvée intégrée dans les institutions de cet État avec avantages, responsabilités et profits. Le cas de Rong Yiren, ministre sous Mao et vice-président sous Deng, est particulièrement exemplaire à ce sujet.

Le mythe de la « Chine rouge socialiste prolétarienne » est essentiellement un mythe forgé et entretenu par la gauche occidentale, notamment au tournant des années 60-70.

La Russie et le Bélarus sont des États de gouvernances nationales bourgeoises et ne cultivent aucunement l’hypocrisie de se dire « socialiste », contrairement à la Chine. Néanmoins, effectivement, au Bélarus, subsistent de nombreuses structures et avantages sociaux hérités du socialisme, ce qui fait sa particularité, évidemment d’autant plus haïe par l’Occident. De son côté, Poutine, après avoir fléchi quelque peu sous l’influence des pro-occidentaux, l’an dernier, semble revenir à une politique intérieure davantage orientée sur le progrès social, même si limitée par le cadre capitaliste national.

Le statut de puissance financière internationale et banco-centralisée de la Chine actuelle est l’aboutissement naturel de son intégration dans les flux de capitaux financiers mondiaux depuis les années 70, déjà. Le marché financier chinois est sous contrôle de la PBoC, tout comme les marchés européens sont sous le contrôle de la BCE, le marché US sous celui de la FED. Mais cette question du rapport entre les Banques Centrales et leurs zones monétaire est abordée dans l’article, et reprise dans l’Annexe.

Éventuellement, c’est un autre sujet, fondamental et assez complexe. A partir de la source, et pour aller plus loin, vous pouvez déjà suivre les liens.

Lepotier

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12 juin 2021 - 17h35 - Posté par JOclaude

Quoiqu’il en soit du Président Biélorusse, il me paraît évident que la Russie ne pouvait pas encore une fois se permettre l’OTAN un peu plus à ses frontières elle en a assez comme ça . La poudrière internationale est suffisamment menaçante avec un impérialisme toujours de tous les temps à la recherche de l’ennemi pour garder le plus juteux le commerce des armes ! L’OTAN, Etats-Unis en tête, occupe des territoire qui ne leurs appartiennent pas, par ex. : L’Ile de Taïwan qui appartient à la chine et occupée depuis sa Révolution, ce qui explique qu’elle est toujours sous tutelle Américaine ! Et confisqué à Cuba un territoire pour y maintenir une base militaire. Type de base dont on peu dire qu’elle inonde la planète ! Maintenant il faudra voir ce que pourra faire ce monde multipolaire pour faire face aux velléités d’agressions de l’impérialisme toujours debout ! A commencer par la défense des pays nouvellement souverains portés au pouvoir par leur Peuple et souvent renversés par des coups d’Etat militaires ou policiers . Cette Souveraineté des Etats fait partie de la Charte des Nations-Unies mais les yankees ne la respecte jamais puisqu’elle est du bon vouloir d’un monde Unipolaire impérialiste qui se termine ! La Russie, la Chine seraient en droit d’en finir avec ce "dictat" à écraser les peuples qui s’en libèrent . Ainsi, Cuba, le Venezuela et autres ont reçu des aides sur demande des Gouvernements en place sans lesquelles d’ailleurs leur résistance n’auraient pas pesé "lourds" Souhaitons bon vent à ces nouveaux gagneurs du Suffrage Universel , hier le Bolivie, demain le Pérou où vient de l’emporter un Président Progressiste !

13 juin 2021 - 14h33 - Posté par Lepotier

Bonjour, camarade !

Ce qu’il importe d’analyser, d’un point de vue prolétarien et matérialiste dialectique, ce n’est pas d’abord la personnalité de tel ou tel président, fraichement élu ou non, ni même, en général, de tel ou tel intervenant de la vie politique, mais la nature de classe de son intervention politique, la nature de classe de l’Etat qu’il dirige, et son évolution en termes de développement des forces productives.

Comme cela est formulé dans l’Annexe : la nature des rapports entre États, que ce soit en termes d’alliances ou de rivalités, est déterminée, en dernière analyse, par le stade de développement de leurs forces productives.

Le fait que l’impérialisme US reste, dans la sphère des contradictions inter-impérialistes, la puissance mondialement dominante, c’est une évidence hélas toujours bien réelle.

Le fait est même encore et toujours, depuis la seconde guerre mondiale, que les autres puissances impérialistes occidentales lui sont carrément inféodées, c’est-à-dire littéralement soumises comme vassales et seulement autorisées à exploiter leur propre zone d’influence qu’avec la supervision de l’Etat US et en contrepartie de contribuer à sa domination sur le reste du monde.

Telle est encore, en grande partie, mais en partie seulement, la situation héritée de la 2e guerre mondiale, telle que génialement analysée par le Rapport Jdanov.

Héritage encore valide en partie seulement, car, en trois quarts de siècle, le monde a donc évidemment considérablement évolué, tant en termes de développement des forces productives qu’en termes de rapports de forces géoéconomiques, géopolitiques et géostratégiques.

En termes de rapports de forces géoéconomiques, l’événement majeur est la montée en puissance du capitalisme chinois, depuis le stade encore bureaucratique national, au tournant des années 60-70, au stade du capitalisme monopoliste financier, dans les années 80-2000, et à présent, au stade banco-centraliste avancé, assez comparable à celui du japon, même si par des voies et dans des conditions différentes.

En termes de rapports de forces géoéconomiques, également, les rapports de forces inter-impérialistes sont d’abord les rapports de forces entre puissances financières, et, dans ce domaine, c’est bien la Chine qui est, depuis quelques années déjà, le challenger N°1 des USA.

En termes de rapports de forces militaires, même si elle étend son emprise en Asie du Sud-Est, et notamment, en Mer de Chine (*), la Chine n’a pas l’implantation internationale équivalente aux USA et il est donc compréhensible que les nations voulant échapper à l’emprise US cherchent une alliance tactique du côté chinois. Évidemment, cela va aussi avec des accords de coopération économique, mais qui n’en sont pas moins des rapports de dépendance relative, étant donné le déséquilibre de puissance économique et financière, dans ce type d’accords.

C’est typiquement le cas des relations entre la Russie et la Chine, même si la Russie est plus importante, territorialement, et même plus riche en termes de ressources naturelles. Ce n’est pas le cas, et c’est même tout à fait l’inverse, par contre, en termes de développement des forces productives, et notamment, suite à la catastrophique période comprador eltsinienne. En termes de rapport de forces économiques, en termes de capitalisation financière, celle de la Russie est de l’ordre de 2,5% de celle de la Chine, qui est donc désormais, de plus, grande exportatrice, non seulement de marchandises, mais précisément, de capitaux financiers, alors que la Russie reste nettement importatrice, en termes de capitaux, même si à une échelle réduite. Par contre, elle est, par nécessité, une grande importatrice de produits industriels.

De sorte que mettre la Chine et la Russie sur le même plan, même dans le cadre des alliances réciproquement proclamées, cela n’a absolument aucun sens, en termes d’analyse marxiste.

Malheureusement, le niveau de formation militante actuel du mouvement ML, que ce soit en France ou ailleurs, du reste, est tellement bas que, s’appuyant simplement sur la revendication formelle de la Chine au ML, la plupart des militants entérinent et promeuvent cette alliance Sino-Russe comme une sorte de front uni anti-impérialiste, alors qu’il ne s’agit que d’une alliance tactique à laquelle la Russie est contrainte du fait de la situation internationale, de la même manière que la Russie soviétique a négocié différents accords avec l’Allemagne, depuis Brest-Litovsk, dont des accords de coopération économique avec la République de Weimar (Rapallo - 1922), et même l’accord de non agression de 1939, qui comprenait un volet économique.

Le déséquilibre est évidemment et d’autant plus grand pour des petits pays comme Cuba, la RPDC, et donc, le Bélarus, également, même si les contraintes qui les poussent à de tels accords sont bien les mêmes, du point de vue de la situation internationale.

En termes d’évolution des rapports sociaux sous l’effet de la banco-centralisation des économies industrielles dominantes, dont, en tout premier lieu, celles de la Chine et du Japon, la disparité est encore plus évidente et la tendance au contrôle cyber-fasciste des populations bien plus avancé dans des pays tels que la Chine et le Japon que même dans les autres pays sous influence banco-centraliste, dont la France. Néanmoins, avec des mesures comme celle du PaSS sanitaire, le processus de cyber-fascisation y avance également à grands pas.

Vu sous ce rapport, il y a également une confusion possible entre les processus classiques de fascisation, comme celui actuellement en cours en Ukraine, qui reste une conséquence des contradictions inter-impérialistes et les processus de cyber-fascisation dus à l’évolution banco-centraliste des économies industrielles les plus avancées technologiquement.

Évidemment, les deux vont concrètement dans le même sens, en convergence synergique mortelle, vers l’extension de la domination banco-centraliste mondialisée.

Pour ce qui nous concerne, en tant que militants révolutionnaires prolétariens, nous devons donc être capables d’analyser et de discerner les forces de résistance réelle, aussi bien face à l’impérialisme que face à l’extension de la domination banco-centraliste mondialisée, et cela, tout à fait indépendamment des étiquettes idéologiques dont les différents intervenants se prévalent, formellement.

Mais le mieux serait donc encore de reconstituer, sur la base d’une analyse lucide, notre propre force politique de résistance prolétarienne… !!!

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(* https://storage.canalblog.com/68/47/1716556/129335367_o.png )

Cliquer sur l’image pour l’agrandir

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POUR ALLER PLUS LOIN CONCERNANT LE BANCO-CENTRALISME :

L’ONU DÉCLARE OFFICIELLEMENT LA « GUERRE ÉCONOMIQUE » …CONTRE LES PEUPLES, EN RÉALITÉ, ET POUR LE COMPTE DES BANCO-CENTRALISTES !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8833

Mort cérébrale du capitalisme, mort cérébrale de la gauche !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8724

“Le Crime du Garagiste” – Le Casse Banco-centraliste !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8195

« Great Reset » : le banco-centralisme est-il un « complot pervers » ou simplement la conséquence incontournable d’une évolution systémique ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7752

« Merveilleux » Monde d’Après : face à l’émergence du banco-centralisme, quelle forme de Résistance ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article6329

Covid-19 et crise économique : un lien de cause à effet, …ou pas ???!

https://storage.canalblog.com/05/30/1716556/129066600.pdf

« Vous avez aimé la première vague et le confinement… ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7055

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