Dans la vidéo complète de 40 minutes, Thomas Porcher me semble être d’une grande hypocrisie :
- il affirme à 10’50’’ que critiquer l’UE et sortir de l’Euro est antisystème.
- il affirme à 13’ que la plupart des fonderies qui ferment en France vont être délocalisées dans l’UE.
- il affirme à 29’55’’ que McRon et Co obéissent docilement à la Commission Européenne.
- et enfin, il ose nous faire croire que Jean-Luc Mélenchon peut changer la vie des gens avec un super programme économique qui, à aucun moment, ne prévoit de quitter l’UE.
Camarade Thomas Porcher si rien ne change depuis 30 ans que tu votes à droite ou à gauche, c’est dû principalement à notre appartenance à l’UE.
Les amis que tu cites comme Matthieu Orphelin (Europe Écologie Les Verts) ou Jean-Luc Mélenchon sont justement pour l’UE.
Il ne faut donc pas que tu t’étonnes qu’ils suivent tous docilement la politique capitaliste de la Commission européenne.
En effet, « la Commission Européenne exige que la France poursuive une politique d’austérité renforcée. La version du rapport de l’année 2015 insistait sur le fait qu’ « il est impossible de dégager à court terme d’importantes économies sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale. […] Des économies de 11 milliards d’euros sur les dépenses de santé sont prévues pour 2015-2017, mais des efforts supplémentaires seront nécessaires pour limiter les hausses de dépenses dans ce domaine. » En bref, les coupes sombres dans la santé, l’assurance-chômage et les retraites vont donc continuer et s’accentuer ! »
Source : LES GOPÉ 2017 - 2018
Nous voyons aujourd’hui, avec la crise du COVID-19, le résultat concret de ces coupes sombres dans la santé qui sont recommandées par l’UE depuis 14 ans.
Mais en même temps, cela n’empêche pas l’UE de faire marcher la planche à billets pour acheter à des multinationales - et nous imposer par la propagande - des tests PCR bidonnés et des vaccins expérimentaux inutiles afin de créer de nouveaux monopoles.
Exemple de ces nouveaux monopoles :
« Pfizer est contrôlé par Vanguard, BlackRock et State Street les trois géants américains de la gestion d’actifs.
Si les propriétaires effectifs de Pfizer font n’importe quoi, embauchent un mauvais patron ou font de mauvais choix stratégiques, normalement, la concurrence s’engouffrera dans la brèche.
Par exemple, Johnson & Johnson… Ah non, les trois actionnaires qui contrôlent J & J sont aussi Vanguard, BlackRock et State Street. Merck peut-être ? Non plus. Les trois actionnaires sont… Je vous laisse deviner.
Bien évidemment, cela ne se limite pas au secteur pharmaceutique et les géants de la gestion d’actifs sont également en position de contrôle de tous les grands groupes cotés américains (ou presque) et d’une bonne partie des groupes occidentaux.
Mainmise académique et politique
Ainsi BlackRock est-il l’actionnaire de référence de RelX, la maison-mère de la fameuse revue scientifique The Lancet.
BlackRock est également très introduit à Bruxelles et à Francfort : ils conseillent la Commission et la BCE sur la surveillance du système bancaire et sur les investissements verts.
L’année dernière, Marianne a publié un article sur BlackRock dans lequel on peut lire [3] :
« Pour l’ancien ministre des Finances Michel Sapin, qui a côtoyé le fondateur de BlackRock lors des réunions du « conseil de compétitivité » de l’Europe, Larry Fink fait partie de ceux qui « formatent l’opinion de ce petit monde assez manichéen » des décideurs économiques. « C’est une personnalité impressionnante », glisse-t-il aussi, non sans dissimuler une certaine admiration. Surtout, « son discours sur l’attractivité économique d’un pays pèse », rappelle aussi ce proche de l’ancien chef de l’État François Hollande. »
En remontant d’un échelon, nous nous rendons compte de la grande concentration et de la collusion des pouvoirs.
Aujourd’hui, les profits indécents de Pfizer contribuent à renforcer ce système dysfonctionnel de monopole qui permet de privatiser les gains et mutualiser les pertes. Et lorsque les profits des uns sont les risques des autres, cela ne finit jamais bien.
L’Europe et le gouvernement Macron ont fait le choix de laisser tomber les soins et le bien public de nos hôpitaux et se concentrer uniquement sur la réponse vaccinale.
Mais l’avons-nous fait parce que c’était la meilleure solution (à un moment donné) ou bien parce que c’était la plus lucrative ?
Un hôpital est un bien commun mais sur le plan comptable, c’est un centre de coûts. Un vaccin en revanche, c’est un brevet privé et un centre de profits. »
Source : https://reinfocovid.fr/science/75-d…
Cette abstention historique me donne de l’espoir car cela démontre que le Peuple commence à juger les actes plutôt que les gens et les actes sont des “Faits”. On ne peut servir deux maîtres.
A_suivre
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