VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > « Le Canard enchaîné » ou la voix de leur maître

« Le Canard enchaîné » ou la voix de leur maître

jeudi 29 juillet 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 29 juillet 2021).

Montélimar, le 28 juillet 2021

Réduit à 4 pages après la déclaration de guerre aux français d’Emmanuel Macron le 16 mars 2020 – sans qu’on sache vraiment pourquoi ? – l’hebdomadaire « patriote mais contestataire » comme il se définit lui-même – ne cesse de soutenir l’Etat d’urgence macaronesque, les confinements, couvre-feux grotesques et, aujourd’hui, le chantage exercé sur les français : l’obligation vaccinale sous peine de licenciement.

Bien sûr, « Le Canard enchaîné » lequel ne vit que de son lecteur « ne licencie pas » le client qui achète le journal mais le dénigre…

Abondamment.

Pour Erik Emptaz, rédacteur en chef à bout de souffle littéraire, la foule – estimée à 161 000 personnes, chiffre donné par le ministère de l’Intérieur pour les manifs du 24 juillet et « vérifié » par « Le Canard » – est composée « d’antivax », « de militants mélenchonistes, lepénistes » et « conspirationnistes » (lire l’éditorial « Impairs et pass » du mercredi 28 juillet 2021).

Le dénominateur commun « entre ces différentes minorités » occupant illégitimement voire illégalement le pavé de quelque 165 villes serait l’antisémitisme.

La preuve : certains arborent l’étoile jaune – symbole exclusif, breveté et déposé, d’une communauté furieusement opprimée.

Pour défendre le pass de la honte imposé aux français, Erik Emptaz, n’hésite pas à comparer le pass sanitaire à un « un produit dopant » encourageant les français à se faire vacciner.

« Sauf si le Conseil constitutionnel venait à donner un avis contraire, le dopage, strictement interdit en sport, serait autorisé, et même encouragé, en politique sanitaire » écrit-il avec une louche d’humour noir.

L’abolition en une nuit de nos droits et libertés, les 22 et 23 juillet 2021, par 120 députés est pour le rédacteur en chef du « Canard enchaîné » une transgression comparable à une infraction de toubib ou de pharmacien lors d’un Tour de France qu’il faudrait gagner !

Les français qui ont perdu leurs enfants, femmes, époux, grands-parents durant la campagne forcée de piquouze apprécieront.

Ainsi que ceux et celles qui vont perdre leur emploi à cause de l’obligation du pass sanitaire (Je pense notamment aux infirmières du CH de Montélimar qui m’ont soigné du Covid en avril et juin 2020).

Pour justifier la désinvolture métaphorique, Erik Emptaz argumente que les français ont accepté confinements, couvre-feux et attestations de sortie rédigées par eux-mêmes ; l’obligation vaccinale et le pass sanitaire n’étant en fait que les conséquences logiques imposées par la pandémie.

Aucune réflexion chez Erik Emptaz sur le bien fondé de cette dictature sanitaire et sur les chiffres réels de malades touchés par la maladie dite Covid-19 ni sur le contenu des soi-disant vaccins.

Le fait que beaucoup d’infirmières, de soignants, de pompiers refusent cette soupe peu ragoûtante qui a empoisonné des milliers de personnes définitivement ne l’inquiète nullement.

La confiance envers le gouvernement Castex et le locataire cocaïnomane de l’Elysée est étonnante dans un hebdomadaire satyrique dont l’objet habituel est la critique des gouvernants…

Nous avons affaire ici à des journalistes embarqués avec oeillères qui portent le gilet pare–balle et le macaron officiel, pas différent des journalistes de BFMTV ou de France info.

Leurs sourires sont certes crispés au für et à mesure des Bérézina que traverse leur maître mais telle la Garde impériale, ils trouvent toujours la force de serrer les rangs autour de leur drapeau et cracher au visage du déserteur.

Les droits massacrées par l’assemblée nationale et le sénat sont juste « une mise entre parenthèse des libertés » le temps de l’épidémie pour Erik Emptaz.

L’allégeance aux crapules qui nous gouvernent se vérifie par ailleurs dans le suivi des informations internationales.

Pas un article de Claude Angeli cette semaine sur l’arrestation de deux ex-officiers de l’armée française à Madagascar, Philippe Marc François, chef de corps entre 2010 et 2012 du régiment de marche du Tchad, et de Paul Maillot Rafaoharana, ancien capitaine de gendarmerie, lesquels ont essayé de tuer - peut-être avec l’aval de la DGSE - le président Andry Rajaoelina…

On a connu « Le Canard enchaîné » plus en phase avec le public et l’actualité.

HIMALOVE

1 Message

Répondre à cet article

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0