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Coronavirus - Les mensonges du pouvoir sur la Martinique (audio)

jeudi 19 août 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 19 août 2021).

https://www.bitchute.com/video/VIbJ…

L’impérialisme français vole les stocks d’ivermectine en Martinique

Une infirmière le 17 août 2021

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Le « scénario machiavélique » en marche continu !!

https://www.facebook.com/1000693533…

Francki Relou Le 17 août 2021

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Le « scénario machiavélique » en marche continu !!

Ce qui se passe actuellement en Guadeloupe a été au minimum préparé le 21 mai dernier, voir en octobre 2019 !!

Comme pour la grippe qui a définitivement été rayée des écrans radars , l’épidémie de dengue a aussi été rayée des cartes officiellement le 21 mai 2021 au profit du Covid et ses variants .

Le site officiel du gouvernement l’a annoncé ….

La preuve en images et sur le lien ci-dessous :

https://www.guadeloupe.gouv.fr/Poli…

Sauvegarde en PDF : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/Coro…

Ils sont vraiment tordus mais ça ne passera pas !!

La vérité rejaillis un peu plus chaque jour .

Courage les amis


Le même témoignage de l’infirmière mais accompagné d’images

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Les pompiers disent non aux renforts qui arrivent de l’Hexagone
Car ils ne sont pas débordés par la "crise sanitaire"

Martinique Soir - Jeudi 12 août 2021

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2 Messages de forum

  • Coronavirus. Michel Onfray n’avait pas eu en 2020 le Covid-19 mais la dengue …

    « Le philosophe normand Michel Onfray dit avoir contracté la dengue en Martinique. Les symptômes de cette grippe tropicale lui ont d’abord laissé craindre une contamination au Covid-19.

    Il raconte : « Craignant un syndrome méningé, j’ai appelé le Samu qui a hospitalisé mon épouse. Aux urgences, on lui a donc fait un test qui a révélé… qu’elle n’était pas positive au Covid-19 ! J’en ai conclu que je ne l’étais pas non plus… »

    Les époux auraient en réalité contracté la dengue en Martinique, une grippe tropicale « assez violente ». Une maladie qui a occasionné six jours d’hospitalisation pour la compagne du philosophe. »

    ARCHIVES OUEST-FRANCE
    Ouest-France La rédaction Ouest-France d’Argentan.
    Publié le 06/04/2020 à 15h44

    Source : https://www.ouest-france.fr/sante/v…

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    • Le 28 mars à 20h03, je me décide à envoyer un texto au professeur Raoult pour lui raconter ce qui se passe …

      Me voilà chez moi. Par mon balcon j’avise un ville à la Chirico : pas âme qui vaille, mon frigidaire est vide, la lumière est celle d’une ville après la fin de monde, un genre de blancheur propre à l’idée que je me fais de l’apocalypse…

      Le lendemain matin, terrible mal de tête, courbatures comme si j’avais été roué de coups, début de fièvre -je la supporte habituellement assez mal… Elle va grimper en continu jusqu’à atteindre 40°, elle ne quittera pas cet étiage pendant une semaine, nuit et jour. Je crains pour Dorothée qui a prêté son appartement à son fils. Elle est confinée avec moi. Je ne voudrais pas l’exposer ; je lui confesse mes symptômes, elle m’avoue les mêmes… Nous appelons notre médecin qui, au vu de ce que nous lui racontons, conclut que tout cela ressemble bel et bien au covid -9… Avec prudence et force circonspection, il convient que c’est ça -"Vous l’avez chopé…" nous dit-il avec une vraie tristesse dans la voix.

      Nous vivons donc le covid de l’intérieur : il n’est plus à craindre, il est là. Plus besoin d’avoir peur qu’il nous tombe dessus, il est dedans nous. C’est désormais la roulette russe.

      Il me vient à l’image une sortie de tranchées pendant la Première Guerre mondiale : certains se prennent la balle en plein tête, c’est fini pour eux, la guerre est terminée mais la vie aussi ; d’autres passent au travers des impacts de balles et d’obus qui sifflent, ils n’en prennent aucun, tous passent miraculeusement à côté ; un troisième se prend un éclat dans l’épaule, c’est juste assez pour sortir du jeu et retrouver l’hôpital, mais pas trop pour ne pas se retrouver allongé dans un cercueil, à deux doigts c’était l’artère. Qu’est-ce qui justifie le trou dans le front ? Tous les impacts à coté ? La balle au bon endroit qui libère ? Le hasard et rien d’autre… Dieu n’existe pas, il aurait sinon un sacré culot.

      Je songe donc à ce virus et à ce qu’il va faire de Dorothée, de moi. Je songe à mes morts et je n’imaginais pas que je devrais envisager les retrouver conduit par ce genre de virus issu d’une soupe chinoise de pangolin ou d’un bouillon de chauve-souris. Je transpire nuit et jour à 40 degrés. Mon cœur bat à tout rompre. Je sens les emballements de diastoles et de systoles que je connais bien. Je retrouve les pétillements, les crépitements, les griffures sur la peau de mon cerveau abîmé par les AVC. Je renoue avec les forages qui m’avaient troué le cerveau à cette occasion. Un jour, deux jours, trois jours, quatre jours, cinq jours, six jours à ce rythme entre 38 et 40 de température… Le cœur qui bat la chamade, la pression artérielle qui cogne contre les tubulures. Je ne m’étonnerai pas que tout ça lâche d’un coup.

      Dorothée ne va pas bien. Elle accuse des symptômes méningés. Elle est hospitalisée six jours. Je suis seul, en tête à tête avec ce cerveau brûlant et brûlé, guettant la surchauffe qui m’emportera peut-être tout entier comme une hache tanche d’un coup le nœud gordien. Chaque matin, dans mon lit trempé comme une soupe, je me réveille en me disant que ça n’aura pas été cette nuit.

      Et puis, le 28 mars à 20h03, je me décide à envoyer un texto au professeur Raoult pour lui raconter ce qui se passe en quelques lignes -diarrhée, migraines, température, courbatures, antécédents d’infarctus et d’AVC, tension élevée, j’ajoute que Dorothée est dans le même état, mais hospitalisée … Il me rappelle dans le quart d’heure et me demande si je souffre d’anosmie et d’agueusie : anosmie et agueusie, non, je n’ai pas perdu le goût mais il s’est modifié –tout est devenu terriblement amer.

      L’échange a duré moins de quatre minutes. Il conclut : "ça n’est pas le covid". Puis une phrase qui se perd après cette information qui me sidère et qui donne une posologie de je ne sais quel médicament pour je ne sais quel cas. J’étais, nous étions positifs au covid : nous ne l’étions plus. Mais quoi alors ? Il n’y avait plus rien ni personne au bout du fil. Sauf cette fulgurance dont seul est capable celui qui sait parce qu’il voit.

      L’hôpital fit savoir quelques heures plus tard à Dorothée qu’elle n’avait pas le covid, donc probablement moi non plus. C’était une dengue autrement dite une maladie tropicale. Celui qui avait lu Nietzsche quand il avait une quinzaine d’années n’avait pas effectué tout ce compagnonnage avec Le Gai Savoir en vain –il en avait appris la sapience véritable. Il est un chef.

      On comprend que pareilles visions déroutent les benêts qui ne les comprennent pas -Alain Duhamel et Daniel Cohn-Bendit, Marc Lambron et Michel Cymes, le journaliste du Monde et quelques autres faisans qui sentent la haine comme de vieillies charognes puent la mort quoi qu’elles fassent… Le professeur Raoult dispose de la ligne directe avec la Vie. Un effet de sa longue fréquentation du Gai Savoir de Nietzsche. Que pourraient bien en savoir les petits hommes qui grouillent dans Zarathoustra ?

      Michel Onfray

      Source : https://michelonfray.com/interventi…

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