En clair, que les candidats à la vaccination aient la possibilité de se voir injecter un vaccin à molécules d’ARN messager (Pfizer et Moderna en font partie) ou un vaccin à virus "désactivé".
NB : désactivé ou inactivé, on imagine que dans la tête d’un journaliste et sans précision, c’est la même chose. Pas de malice à priori.