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Décapant !!! Le capitalisme et-il déjà derrière nous ? Et si oui, qu’est-ce qui a pris sa place ???

dimanche 19 septembre 2021, par Luniterre

Travailler pour une entreprise capitaliste à la fin du 20e siècle ou travailler pour une filiale d’un groupe banco-centralisé au 21e siècle, cela ne fait concrètement pas une différence notable, en apparence.

En termes de rapports sociaux, rien ne semble avoir changé… Et pourtant, l’épisode du confinement et ses suites encore actuelles auraient du nous mettre la puce à l’oreille…

Instinctivement, et même si sous la forme du « complotisme », des millions de gens ont commencé à comprendre qu’il se passait quelque chose d’inhabituel, de l’ordre d’un bouleversement profond en termes d’autorité sociale et politique.

Mais ceux qui étaient déjà engagés dans des ornières idéologiques de longue date, convaincus de « suivre la voie révolutionnaire », ne pouvaient que continuer dans leurs ornières, enfoncés dans leur aveuglement, avec le seul souci de trouver une apparence de cohérence entre la nouvelle réalité et leurs vieux discours.

Le camarade René Sansa n’est pas de ceux là, lui qui a fait quelques efforts méritoires pour chercher à comprendre l’impasse de la « gauche » actuelle, même pseudo-« marxiste-léniniste ».

Un problème, entre autres, c’est qu’au lieu de lire ou de relire les classiques du ML en ayant l’esprit ouvert à la nouvelle réalité du monde, la plupart de ces pseudos-« ML » ne sont capables, tout au plus, que de répéter leurs analyses déjà inopérantes, de la fin du 20e siècle, et les quelques citations qu’ils vont y repêcher…

Devoir renoncer à désigner comme principal l’adversaire que l’on a voulu combattre toute sa vie, et même si on y a échoué, et pour cause, c’est néanmoins une sorte de déchirement d’avec ce qui a façonné la vie du combattant…

Malheureusement, même le camarade René Sansa semble avoir du mal à échapper à ce syndrome, et à propos de ma récente tentative de brève définition du banco-centralisme, il écrit, en la republiant :

« Ndlr : Je ne suis pas sûr que l’on puisse dire que cela rend caduque le capitalisme. Il s’agit plutôt d’une évolution-révolution interne qui en modifie le fonctionnement… Sur le reste je suis 100% OK. »

http://reconstructioncommuniste.eklablog.fr/banco-centralisme-une-tres-breve-definition-a210169332

Ce qui nécessite donc un petit rappel, y compris de nos précédents échanges sur le sujet :

Le principe du capitalisme, selon Marx, et selon moi aussi, c’est d’investir une somme d’argent dans le cycle productif en vue de l’élargissement de cette somme par la plus-value sur le travail humain.

Si la plus value extraite ne permet pas d’élargissement réel, en raison des besoins de réinvestissement en capital fixe, il n’y a plus, concrètement, de base d’élargissement possible du capital total.

D’où l’élargissement de la dette, en compensation…

Donc, ça a la forme du capitalisme, l’apparence du capitalisme, et pour le prolétaire, le goût amer du capitalisme, mais ce n’est plus du capitalisme…

C’est le « Canada dry » du capitalisme, que j’ai appelé banco-centralisme, et qui dérive, sous cette fausse apparence de capitalisme, vers le monopole total de toutes valeurs d’usage, contrôlé directement, in fine, par les Banques Centrales, et qui ne peut plus être, par définition, du capitalisme, dans la mesure où il finance à la fois, par la simple création monétaire, la production et la consommation.

Et même si Marx escomptait plutôt l’aboutissement d’une Révolution Prolétarienne avant ce stade de développement des forces productives, il n’en considérait pas moins que le capitalisme atteindrait de toutes façons sa limite avec le développement du capital fixe :

« Dans la même mesure où le temps de travail - le simple quantum de travail - est posé par le capital comme seul élément déterminant la valeur, dans la même mesure disparaît le travail direct et sa quantité comme principe déterminant de la production - la création de valeurs d’usage - et il est réduit à la fois quantitativement à une proportion moindre et qualitativement comme moment certes indispensable, mais subalterne contre le travail scientifique général, l’application technologique des sciences naturelles d’une part, tout comme contre la force productive générale résultant de la division sociale dans la production totale - qui apparaît comme le don naturel du travail social (bien que produit historique). Le capital travaille donc ainsi à sa propre dissolution comme forme dominante de la production. »

Passage cité par René Sansa lui-même dans son excellent article sur les Grundrisse, et pour lequel j’avais donc retraduit ce passage, dans son contexte complet :

http://reconstructioncommuniste.eklablog.fr/les-grundisse-de-karl-marx-sur-l-automatisation-et-la-robotisation-par-a194262154

La citation de Marx dans son contexte, et y compris, dans sa langue d’origine :

MARX GRUNDRISSE EXTRAIT TRADUCTION + ORIGINAL

http://ekladata.com/gXCuyBLp94NCeI87AE_5ExZxjEI/MARX-GRUNDRISSE-EXTRAIT-TRADUCTION-ORIGINAL.pdf

Luniterre

EXTRAIT DES GRUNDRISSE

SOURCES :

EXTRAIT PAGES 594-597

https://marxwirklichstudieren.files.wordpress.com/2012/11/mew_band42.pdf

EXTRAIT IDEM PAGES 611-615

http://dhcm.inkrit.org/wp-content/data/mew42.pdf

[ Traduction TML ]

« L’augmentation du pouvoir de productivité du travail et la plus grande négation du travail nécessaire, c’est la tendance nécessaire du capital, comme nous l’avons vu. La réalisation de cette tendance est la transformation du moyen de travail en machinerie. Le travail objectivé dans la machinerie entre en opposition matériellement contre le travail vivant comme puissance dominante et comme subsomption active entre eux, non seulement par l’appropriation du même, mais dans le processus de production réel lui-même ; non seulement par l’appropriation elle-même, mais dans le processus de production réel lui-même ; le rapport du capital en tant qu’activité de valorisation qu’il s’est approprié est dans le capital fixe, qui existe en tant que machinerie, en même temps que fixé en tant que rapport entre valeur d’usage du capital et valeur d’usage de la capacité de travail ; la valeur objectivée dans les machines apparaît également comme une condition préalable, alors que le pouvoir d’exploitation de la capacité de travail individuelle disparaît en infiniment petit ; à travers la production en masses énormes, qui est établie avec la machinerie, tout rapport au besoin immédiat du producteur et donc à la valeur d’usage immédiate disparaît du produit ; disparaît également du produit toute relation avec le besoin direct du producteur et donc avec la valeur d’usage direct ; dans la forme sous laquelle le produit est fabriqué et dans les proportions dans lesquelles il est produit, il est déjà établi qu’il n’est produit que comme porteur de valeur et sa valeur d’usage uniquement comme préalable à cela.

Le travail objectivé apparaît dans la machine elle-même directement non seulement sous la forme du produit ou du produit utilisé comme moyen de travail, mais de la force productive elle-même. Le développement du moyen de travail en machinerie n’est pas accidentel pour le capital, mais est la transformation historique des moyens de travail traditionnellement dépassés telle que de manière adéquate au capital transformé. L’accumulation de connaissances et de compétences, les forces productives générales du cerveau social, sont ainsi absorbés en capital vis à vis du travail et apparaissent donc comme une propriété du capital, et caractéristique du capital fixe, dans la mesure où il entre dans le processus de production comme un moyen réel de production. La machinerie apparaît donc comme la forme la plus adéquate du capital fixe et le capital fixe, dans la mesure où le capital est considéré dans sa relation à lui-même, comme la forme la plus absolument adéquate du capital. D’autre part, dans la mesure où le capital fixe est fixé dans son existence comme une valeur d’usage déterminée, il ne correspond pas à la notion de capital, qui comme valeur est indifférent à toute forme particulière de valeur d’usage et peut assumer ou abandonner chacune d’entre elles comme une incarnation indifférente. Selon cet aspect, selon la relation du capital au monde extérieur, le capital circulant apparaît comme la forme adéquate du capital face au capital fixe.

Dans la mesure où la machinerie se développe également avec l’accumulation des sciences sociales, et la force productive par dessus tout, ce n’est pas dans le travailleur, mais dans le capital, que le travail social général se constitue. La force productive de la société est mesurée par le capital fixe, existe en lui sous une forme concrète, et inversement la force productive du capital se développe avec ce progrès général, que le capital s’approprie gratuitement. Il ne s’agit pas ici d’entrer dans le développement de la machinerie en détail, mais seulement en direction du coté général ; dans la mesure où dans le capital fixe le moyen de travail, en ce qui concerne son côté matériel, perd sa forme directe et confronte matériellement le travailleur comme capital. Le savoir apparaît dans la machine comme étranger, en dehors de lui, et le travail vivant subsumé sous l’objectivation de son action indépendante. Le travailleur apparaît comme superflu, tant que son action n’est pas conditionnée par les besoins [du capital].

Le plein développement du capital n’a donc lieu – ou le capital n’a encore fixé le mode de production qui lui correspond – que lorsque le moyen de travail est non seulement formellement déterminé comme capital fixe, mais est supprimé dans sa forme directe et que le capital fixe apparaît comme machinerie dans le processus de production en face du travail ; l’ensemble du processus de production, cependant, n’est pas subsumé par le savoir-faire direct du travailleur, mais comme une application technologique de la science. D’où la tendance du capital à donner à la production un caractère scientifique et à réduire le travail direct à un simple moment de ce processus. Comme pour la transformation de la valeur en capital, l’approche du développement du capital montre que, d’une part, il suppose un certain développement historique donné des forces productives – et parmi ces forces productives aussi la science – et que d’autre part il les fait avancer et les renforce.

La mesure quantitative, dans laquelle, et l’efficacité (intensité), dans laquelle le capital en tant que capital fixe est développé, indiquent donc le degré auquel le capital en tant que capital, en tant que pouvoir sur le travail vivant, est développé et s’est soumis le processus de production en premier lieu. D’autre part, il exprime l’accumulation des forces productives objectivées et du travail objectivé. Mais si le capital dans les machines et les autres formes matérielles d’existence du capital fixe, comme les chemins de fer, etc. (sur lequel nous reviendrons plus tard) se donne seulement sa forme adéquate comme valeur d’usage dans le processus de production, cela ne signifie pas du tout que cette valeur d’usage – la machinerie en soi – soit du capital ou que son existence en tant que machine soit identique à son existence en tant que capital ; aussi peu que l’or a cessé d’avoir sa valeur d’usage comme or dès qu’il n’était plus argent. La machinerie ne perd pas sa valeur d’usage une fois qu’elle cesse d’être du capital. Du fait que la machinerie est la forme la plus appropriée de la valeur d’usage du capital fixe, il ne s’ensuit pas du tout que la subsomption sous le rapport social du capital soit le rapport social de production le plus approprié et le meilleur pour l’utilisation de la machine.

Dans la même mesure où le temps de travail – le simple quantum de travail – est posé par le capital comme seul élément déterminant la valeur, dans la même mesure disparaît le travail direct et sa quantité comme principe déterminant de la production – la création de valeurs d’usage – et il est réduit à la fois quantitativement à une proportion moindre et qualitativement comme moment certes indispensable, mais subalterne contre le travail scientifique général, l’application technologique des sciences naturelles d’une part, tout comme contre la force productive générale résultant de la division sociale dans la production totale – qui apparaît comme le don naturel du travail social (bien que produit historique). Le capital travaille donc ainsi à sa propre dissolution comme forme dominante de la production.

Si, d’une part, la transformation du processus de production d’un simple processus de travail en un processus scientifique qui soumet les forces de la nature à son service et leur permet ainsi d’agir au service des besoins humains apparaît comme une caractéristique du capital fixe par rapport au travail vivant ; si le travail individuel en tant que tel cesse d’apparaître comme productif, mais ne l’est que dans le travail commun subordonnant les forces de la nature, et que cette élévation du travail direct en travail social apparaît comme une réduction à l’impuissance du travail individuel face à la communauté concentrée représentée dans le capital, ainsi donc, d’autre part, le maintien du travail dans une branche de production par la coexistence du travail dans une autre apparaît comme une caractéristique du capital circulant. Dans la petite circulation, le capital avance au travailleur le salaire, qu’il échange contre des produits nécessaires à sa consommation. L’argent reçu par lui n’a ce pouvoir que si le travail est fait simultanément ; et ce n’est que si le capital s’approprie son travail qu’il peut lui donner son droit en argent sur le travail d’autrui [NDTML : son salaire].

Cet échange de son propre travail avec celui des autres n’apparaît pas ici donné et conditionné par la coexistence simultanée du travail des autres, mais par l’avance que le capital fait. Il apparaît comme une caractéristique de la partie du capital circulant qui est cédée au travailleur, et du capital circulant en général, que le travailleur peut réaliser le métabolisme nécessaire à sa consommation pendant la production. Il n’apparait pas comme le métabolisme de la force de travail simultanée, mais comme le métabolisme du capital ; c’est en conséquence que le capital circulant existe. Ainsi, toutes les forces de travail sont transposées en forces du capital ; dans le capital fixe, la force productive du travail (qui est définie hors de lui et existe comme indépendamment (substantiellement) de celui-ci) ; et dans le capital circulant, d’une part, du fait que le travailleur lui-même ait assumé les conditions de la répétition de son travail, d’autre part que l’échange de son travail par le travail coexistant d’un autre est posé, il apparaît donc que le capital lui fait les avances et, d’autre part, nécessite la simultanéité des branches du travail. (Ces deux dernières modalités font donc réellement partie de l’accumulation.) Le capital agit comme intermédiaire entre les différents travailleurs sous la forme du capital circulant. »

[Traduction TML ]

POUR MÉMOIRE >>>

Banco-centralisme : une très brève définition !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9664

« Lorsque Marx écrit les Grundrisse, en 1857, la révolution industrielle n’en est encore qu’à ses débuts, au stade de la machine à vapeur. Le télégraphe électrique en est à ses tout débuts et c’est encore la seule application pratique de l’électricité. Pas de motorisation électrique ou à essence, pas de radio, pas de téléphone, l’éclairage en est seulement au gaz, etc…

Néanmoins Marx anticipe déjà, avec ces débuts de l’industrie, la prééminence que doit prendre le capital fixe (la machinerie), sur le capital variable (la masse salariale), au cours du développement industriel, jusqu’à une proportion qui rend caduque le capitalisme : le cycle du « variable » devenant insuffisant, en valeur et en plus-value produite, pour alimenter le renouvellement et l’élargissement du « fixe » indispensable au fonctionnement de l’appareil productif et à la survie du système. A défaut de révolution prolétarienne, c’est donc nécessairement le cycle de l’endettement qui prend le relai de la « plus-value » manquante, et qui s’accroît continuellement. Et la dette, publique et privée, cesse même d’être remboursable autrement que par d’autres dettes.

En même temps que la dette mondiale, la masse monétaire s’accroît donc pratiquement sans arrêt, continuellement alimentée par les Banques Centrales, qui deviennent ainsi, même à travers les marchés financiers, la seule véritable garantie, en dernier ressort, de la valeur du capital fixe, c’est-à-dire les « propriétaires », de facto, de l’appareil productif mondial, établissant, à terme, un contrôle et un monopole absolu de toutes valeurs d’usage.

La caste-classe banco-centraliste se cristallise, déjà depuis 2008, (« Effet Cantillon ») autour des réseaux de relations engendrés par les conseils de gouverneurs des cinq principales Banques Centrales (FED, BCE, PBoC, BoE, BoJ). Avec les progrès continus de la robotisation, la main d’œuvre cessant d’être « rentable » et devenant même, à terme, en grande partie inutile, ce sont des stratégies de contrôle total des populations, et même de « dépopulation » qui sont progressivement mises en place, dont les expériences de « confinements » et de « vaccination à l’ARN-messager », assortie de « pass-sanitaire », inaugurées avec la prétendue « crise du covid-19 », en 2020-21, ne sont encore que les prémisses. »

Luniterre - 15/09/2021

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9664

A PROPOS DE LA RÉALITÉ ACTUELLE DE LA "PANDÉMIE" :

Du « blob » comme antithèse du « blabla » autour du covid 19… !

http://interfrsituation.eklablog.com/du-blob-comme-antithese-du-blabla-autour-du-covid-19-a209605536

POUR ALLER PLUS LOIN SUR LE FOND ECONOMIQUE :

L’ONU DÉCLARE OFFICIELLEMENT LA « GUERRE ÉCONOMIQUE » …CONTRE LES PEUPLES, EN RÉALITÉ, ET POUR LE COMPTE DES BANCO-CENTRALISTES !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8833

Mort cérébrale du capitalisme, mort cérébrale de la gauche !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8724

“Le Crime du Garagiste” – Le Casse Banco-centraliste !

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8195

« Great Reset » : le banco-centralisme est-il un « complot pervers » ou simplement la conséquence incontournable d’une évolution systémique ?

http://interfrsituation.eklablog.com/great-reset-le-banco-centralisme-est-il-un-complot-pervers-ou-simpleme-a209547684

NOUVEAU !!! >>>

« Aux âmes damnées (…du banco-centralisme), la valeur n’attend point le nombre des années (…pour disparaître !)…

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9503

« Merveilleux » Monde d’Après : face à l’émergence du banco-centralisme, quelle forme de Résistance ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article6329

Paradoxe et suspense économique en 2021 : le Capital atteindra-t-il, ou non, le Nirvana par la Dette Mondiale ?

http://interfrsituation.eklablog.com/paradoxe-et-suspense-economique-en-2021-le-capital-atteindra-t-il-ou-n-a209197288

SUR LE CONTEXTE :

A propos du N.O.M. comme forme évoluée « moderne » du totalitarisme, …et de son « Innommable » succursale en France !

http://interfrsituation.eklablog.com/a-propos-du-n-o-m-comme-forme-evoluee-moderne-du-totalitarisme-et-de-s-a209538864

« PREMONITOIRE » ??? Mars 2015, la BCE met en œuvre son premier « Quantitative Easing »… Sur RTL François Lenglet « crache le morceau » sur la réalité du banco-centralisme… !

http://interfrsituation.eklablog.com/premonitoire-mars-2015-la-bce-met-en-oeuvre-son-premier-quantitative-e-a209230140

Autre pays, autres mœurs, débusquée en Inde, une responsable de l’OMS, « Criminelle de guerre sanitaire » ? Comment désigner les génocidaires mondialistes ?

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9237

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