Aux États-Unis, le commandement des opérations spéciales souhaite utiliser les deepfakes comme arme de manipulation, de désinformation et d’influence. L’organisation voudrait aussi obtenir les moyens pour vérifier le bon fonctionnement d’une opération de manipulation des masses.
Les USA ont déjà poussé Twitter à accepter la présence d’un réseau de comptes bidon pour pousser de fausses informations sur le trafic d’organes d’afghans par le gouvernement iranien. Les profils de ces « trolls », étaient générés par des algorithmes de deep learning. Il leur conférait suffisamment de réalisme pour devenir crédibles. Ces opérations secrètes d’influence ne sont donc pas nouvelles et sont d’ailleurs présentées publiquement par la CIA depuis plusieurs années déjà.