Cher DO
C’est une antinomie que ton titre ridicule. La classe ouvrière française - le soubassement de l’édifice social capitaliste - ne connait pas de décadence quand la superstructure qu’elle supporte par son labeur quotidien se dégrade - décline et est en décadence. C’est autant de poids qui tombe de ses épaules.
Ce que tu décris ce n’est pas la décadence de la classe - mais la décadence de la go-gauche - de la domination des petits-bourgs hégémoniques s’étant emparé pendant des décades du contrôle sur les organisations et de la direction du mouvement ouvrier au nom de la bourgeoisie ennemie (...)