La sélection naturelle, c’est la survie du plus apte par sa capacité à utiliser les ressources du milieu naturel. Entre espèces animales et végétales, il se trouve donc encore néanmoins des zones de complémentarité, voire de symbiose.
La transition des machines vers le statut d’espèce nouvelle n’est pas tant une affaire de niveau intellectuel et de sensibilité, philosophique ou non, qu’une affaire d’autonomie et de capacité d’autoreproduction.
Des capacités qui existent déjà, potentiellement. A force de développer des systèmes technologiques de plus en plus automatisés, robotisés et dotés de capacités (...)