Cet article illustre pour moi l’éternel travers des marxistes : tout vouloir résumer au seul problème économique, ceci tout en faisant la même erreur que les capitalistes en considérant que la nature et l’environnement ne sont que des variables externes.
La civilisation suprématiste occidentale a été globalisée de force lors des colonisations pour être ensuite industrialisée de force. Ce qui nous donne la situation d’aujourd’hui avec d’une part un réchauffement climatique indéniable et d’autres part plus de 60 % du vivant détruit et le rythme de cette extermination qui continue d’accélérer avec chaque (...)