Montélimar, le 28 juillet 2021
Réduit à 4 pages après la déclaration de guerre aux français d’Emmanuel Macron le 16 mars 2020 – sans qu’on sache vraiment pourquoi ? – l’hebdomadaire « patriote mais contestataire » comme il se définit lui-même – ne cesse de soutenir l’Etat d’urgence macaronesque, les confinements, couvre-feux grotesques et, aujourd’hui, le chantage exercé sur les français : l’obligation vaccinale sous peine de licenciement.
Bien sûr, « Le Canard enchaîné » lequel ne vit que de son lecteur « (...)