Merci Luniterre,
Mais quand tu dis : « Ici, dans le cas des années 2000-2008, le terme [crise de surproduction] est en fait inapproprié dans la mesure où l’on parle de biens qui ont effectivement été vendus, même si vendus à crédit, et donc en grande partie déjà payé par les acheteurs ! »
Il faut savoir déjà que l’apport personnel des acheteurs était infime, car les crédits étaient accordés très très facilement. Donc, la part déjà payée du logement était quasi-inexistante.
Si le crédit était accordé si facilement, c’était justement parce qu’il y avait déjà tout un stock de logements à vendre qui ne partaient (...)