Le président français a dénoncé, ce week-end, « des crimes inexcusables pour la République » à l’occasion de l’hommage rendu aux victimes du massacre d’Algériens à Paris, le 17 octobre 1961. Le 20 septembre, il avait déjà demandé pardon aux « harkis »
La République française a bel et bien couvert des « crimes » lors de la violente décolonisation de l’Algérie, conquise par la force des armes entre 1827 et 1830.
La police française avait jeté dans la Seine des manifestants protestant contre l’instauration d’un couvre-feu pour les seuls Algériens. Onze mille cinq cents personnes avaient été arrêtées et 48 avaient trouvé la mort lors des affrontements avec les forces de l’ordre.
Note de do : Il y avait eu en fait 400 morts. Dont 50 jetés à la Seine depuis l’intérieur de l’enceinte de la préfecture de police. Et ce massacre de 400 Algériens n’a pas été "couvert" ; mais, bel et bien commandité, ordonné, par l’État français.