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Même les animaux absorbent de l’alcool depuis ... avant même l’existence de l’homme !

jeudi 14 novembre 2024, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 14 novembre 2024).

Alors arrêtez de nous faire chier avec l’alcool et les diverses drogues. Ça fait partie de la vraie vie !


Les animaux sauvages consomment plus d’alcool qu’on le croyait, et pour de bonnes raisons

https://www.geo.fr/animaux/les-anim…

1er novembre 2024

Chloé Gurdjian

La consommation d’alcool est fréquente dans la nature

Dans une nouvelle étude, des scientifiques se sont penchés sur la consommation d’alcool des animaux sauvages. Les résultats sont surprenants.

Lorsque l’on pense à l’alcool dans la nature, l’image classique de certains animaux ivres après avoir mangé des fruits fermentés vient rapidement en tête. Pourtant, jusqu’à récemment, on pensait que cette consommation d’alcool était rare et essentiellement accidentelle dans le monde animal. Une nouvelle étude publiée dans Trends in Ecology & Evolution remet cette idée en question.

Selon les chercheurs, l’éthanol, naturellement présent dans la plupart des écosystèmes, pourrait être consommé de manière régulière par de nombreux animaux frugivores et nectarivores, apportant potentiellement des bénéfices insoupçonnés pour ces espèces.

Un besoin calorique avant tout, mais aussi des avantages médicinaux

Contrairement aux humains, qui recherchent souvent l’intoxication plus que les calories, les animaux sauvages auraient un objectif différent. L’éthanol représente avant tout une source d’énergie, surtout pour les animaux ayant besoin d’un apport calorique important. Les substances odorantes produites durant la fermentation des fruits peuvent attirer les animaux vers ces sources de nourriture, mais les chercheurs doutent que ces derniers puissent détecter l’éthanol en lui-même.

"D’un point de vue écologique, il n’est pas avantageux d’être ivre lorsque vous grimpez dans les arbres ou entouré de prédateurs la nuit. C’est une recette pour ne pas transmettre vos gènes, a déclaré l’écologiste moléculaire et auteur principal Matthew Carrigan, du College of Central Florida. C’est le contraire des humains qui veulent s’enivrer mais ne veulent pas vraiment de calories. Du point de vue non humain, les animaux veulent des calories mais pas de l’ébriété.->https://www.geo.fr/animaux/quels-so…]"

Note de do : Qu’est-ce qu’il en savent que les animaux ne veulent pas être bourrés comme tout le monde ? Ils leur ont demandé ? cet intéressant article est néanmoins imprégné d’une idéologie puritaine malheureusement fort courante de nos jours.

Il est à noter que dans des temps jadis, mais pas si lointain, les travailleurs de force avaient besoin d’alcool pour les calories aussi.

Si vous voulez utiliser l’alcool pour ses calories et pas pour être saoul, il faut et il suffit, mais il faut, faire l’effort après l’avoir absorbé de faire son travail en se concentrant sur lui et non pas sur le fait d’être bourré. Cela se fait très bien avec un peu d’habitude

Je me souviens d’un ouvrier PTT qui travaillait à toute heure du jour ou de la nuit, même par -20 pour réparer les fils du téléphone des bourgeois qui s’étaient cassés à cause du gel. Même qu’il n’y avait pas besoin d’échelle tellement la congère montait haut.

Cet ouvrier PTT était complètement abasourdi quand, à la retraite, il a vu les jeunes accepter sans broncher qu’on leur supprime le vin chaud de 10 heures du matin. Des "cons" disait-il, prévoyant une très nette baisse de la lutte de classe. Je lui disais que non, mais il avait néanmoins raison !

Des observations montrent également que l’éthanol pourrait présenter des bénéfices médicinaux : chez les mouches des fruits, par exemple, les larves augmentent leur consommation d’éthanol en cas de parasitisme par des guêpes, et les femelles pondent volontiers leurs œufs dans des environnements riches en éthanol, offrant ainsi une protection à leur progéniture. Ces comportements suggèrent que l’éthanol pourrait être bien plus qu’une simple source de nourriture pour certaines espèces.

D’un point de vue cognitif, il est possible que l’éthanol stimule la production d’endorphines et de dopamine chez les animaux, déclenchant une forme de relaxation. Cette sensation pourrait favoriser des interactions sociales bénéfiques, même si cette hypothèse reste encore à vérifier.

"Pour tester cela, nous devons vraiment savoir si l’éthanol déclenche une réponse physiologique chez les animaux dans la nature", a expliqué Anna Bowland, éthologue et co-autrice de l’étude.

Cliquer ici pour télécharger la vidéo et les musaraignes arboricoles, ont des gènes adaptés à la dégradation de l’éthanol, signe d’une adaptation progressive au fil de l’évolution.

D’après Kimberley Hockings, écologue comportementale et co-autrice de l’étude, il est important de "dépasser cette vision anthropocentrique selon laquelle l’éthanol est une substance propre aux humains" : la plupart des animaux qui consomment des fruits sucrés sont exposés à un certain niveau d’éthanol et possèdent des mécanismes physiologiques pour le métaboliser.

Une perspective fascinante pour les futures recherches

Les chercheurs comptent approfondir l’étude des implications comportementales et sociales de la consommation d’éthanol, en particulier chez les primates, et analyser les enzymes impliquées dans le métabolisme de l’alcool. À travers cette recherche, ils espèrent éclairer le rôle complexe de l’éthanol dans l’évolution des comportements et des physiologies animales, un sujet qui pourrait bien bouleverser notre compréhension des interactions entre la faune sauvage et leur environnement.

Ainsi, la consommation d’éthanol dans la nature pourrait non seulement être plus courante qu’on ne le pense, mais également porter des bénéfices évolutifs pour certaines espèces, rappelant à quel point les comportements que l’on croyait réservés à l’homme sont en fait inscrits dans le règne animal depuis des millions d’années.

25 Messages de forum

  • Sauf que les animaux conduisent rarement des véhicules motorisés…

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  • Selon le processus d’adaptation décrit dans la vidéo et développé dans l’article en lien, l’alcool qui s’est formé dans les fruits fermentés est pour l’essentiel digéré par ces petits animaux sans passer par leur sang, et donc ils ne sont pas réellement ivres, en proportion de l’alcool ingéré.

    C’est donc un faux débat à propos d’un processus d’adaptation qui permet à ces animaux d’avoir accès à et de conserver des ressources alimentaires qui leur manqueraient autrement.

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    • Non, ce n’est pas un faux débat. On sait bien que celui qui consomme régulièrement beaucoup d’alcool n’est jamais vraiment saoul. Son foie aussi s’adapte. Et chez les travailleurs de force, l’alcool se transforme en calories.

      Par exemple, quand j’étais en 6e, il y a 60 ans, j’avais appris à l’école que là où en France on buvait le plus de vin, c’était à Saint-Étienne. On en buvait en moyenne 11 litres par jour et par personne. Ce qui n’empêchait pas les gens de travailler. Au contraire, il leur fallait ça pour tenir.

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      • "le foie s’adapte" ??? Un processus d’adaptation, en biologie, c’est quand la sélection opère un tri dans la descendance, entre ceux qui naissent avec un foie naturellement capable de digérer l’alcool sans le laisser passer dans le sang et les autres, qui sont ivres, même si relativement "habitués" à "tenir" l’alcool sans se casser la figure, etc…

        C’est ce distinguo qui ressort de la vidéo et de l’article en lien, si tu le lis attentivement, sans préjugé idéologique et/ou culturel "pour" ou "contre" l’alcool.

        Même si ce n’est pas un article "scientifique" au premier degré, il y a néanmoins suffisamment d’éléments pour comprendre cela.

        Dans l’espèce humaine il n’y a donc jamais eu de phénomène d’adaptation à l’alcool tel que celui des hamsters et autres bestioles se nourrissant de fruits fermentés.

        Il ne faut pas confondre "accoutumance" et modifications de caractéristiques génétiques.

        Avec l’alcool il n’y a eu qu’affaiblissement génétique de la descendance, et aucune "hérédité des caractères acquis", tels que l’accoutumance à l’alcool, 11 litres par jour où pas…

        A 12 litres, voire plus, on trouve le cas de la Ricamarie, mais il semble que c’était autant sinon plus un lieu de commerce "détaxé" que de consommation locale :

        https://www.leprogres.fr/loire-42-e…

        Voir aussi :

        https://www.forez-info.com/encyclop…

        …en fin de rubrique.

        …et ici au début :

        https://fr.quora.com/Je-bois-1-bout…

        Aujourd’hui il reste Gérard Depardieu :

        https://www.larvf.com/,vin-gerard-d…

        Le point scientifique sur son cas ici :

        https://www.sciencesetavenir.fr/san…

        Accoutumance n’est pas adaptation…

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        • Tout d’abord, que je sache, Gérard Depardieu n’est pas un travailleur de force.

          Ensuite l’adaptation dont je parle n’est évidemment pas génétique, sinon on en verrait les effets à la génération suivante.

          Non, le foie s’adapte de la même façon que les muscles et les tendons s’adaptent quand on fait plus d’effort tous les jours. Cela s’appelle l’entrainement ; et ne dépend pas spécialement de la génétique. Ou alors peut-être de l’épigénétique ?

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          • Il suffit de faire "effets de l’alcool sur la descendance" sur le web pour voir remonter nombre d’études sur l’hérédité de l’alcoolisme, y compris du point de vue de la génétique. Et il y a les conséquences bien connues de l’alcoolisme pendant la grossesse… Je ne sais pas si l’on peut parler d’épigénétique pour autant…

            Éventuellement une "évolution" épigénétique régressive et mortifère : pourquoi pas, au point où on en est ???

            En tout cas je ne vois aucun intérêt d’en faire une sorte de propagande…

            Entre puritanisme et déchéance-décadence, il y a peut-être encore place pour un rationalisme épicurien…

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            • C’est sûr que si tu cherches les effets de l’alcool sur internet. Vu le puritanisme qui règne en maître avec le sionisme, tu sais d’avance ce que tu vas trouver !

              Il ne faut pas confondre :

              1°) Boire énormément d’alcool parce qu’on fait de gros efforts physiques qui permettent de le transformer en calories.

              2°) Boire énormément d’alcool sans faire d’effort physique. Ce qui amène à ce que tu appelles la déchéance-décadence.

              3°) Boire de l’alcool parce qu’on aime le produit pour son goût et/ou pour ses effets psychiques

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              • "1°) Boire énormément d’alcool parce qu’on fait de gros efforts physiques qui permettent de le transformer en calories."

                Si cette pratique devait aboutir à des résultats probants et avec donc en bonus des effets "épigénétiques" positifs sur la descendance, il reste néanmoins tout à fait improbable qu’il ne subsiste aucune trace de recherche médicale et/ou scientifique sur le sujet…

                La seule façon de valider vos affirmations reste de produire et republier ce que vous avez de valable sur le sujet, sinon, il est toujours commode de lancer n’imorte quelle "théorie" médicale ou autre, sans la moindre preuve, sans la moindre logique ni cohérence…

                Juste pour se rassurer soi-même…

                Répondre à ce message

                • C’était tout simplement une pratique classique dans les milieux ouvriers et paysans il y a encore 60 ans. Et elle était décrite comme telle à l’école et partout. Début des années 1970 un ami me disait encore : « Une bière ça vaut un bifteck ! ». Il exagérait peut-être, mais le sens y était.

                  Évidemment, depuis que les machines remplacent l’homme pour faire un quelconque effort, cette pratique s’est perdue. Elle a même été bannie, par le puritanisme. C’est devenu un tabou.

                  Je ne sais pas si cela peut transformer la génétique ou l’épigénétique. Par contre il est bien clair que cela peut se transmettre culturellement : « Il faut de l’énergie pour tenir le coup ».

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                • COQUILLE : évidemment il faut lire :

                  "La seule façon de valider vos affirmations reste de produire et republier ce que vous avez de valable sur le sujet, sinon, il est toujours commode de lancer n’importe quelle "théorie" médicale ou autre, sans la moindre preuve, sans la moindre logique ni cohérence…"

                  Répondre à ce message

  • RE@ https://mai68.org/spip3/spip.php?ar…

    "cela peut se transmettre culturellement : « Il faut de l’énergie pour tenir le coup ».

    De "l’énergie" ou du "courage" ? Ou une "dose" suffisante d’inconscience pour accepter et "supporter" sa condition de prolétaire ?

    Je me souviens d’un "ancien" qui utilisait l’expression "un coup de monte en ligne" pour parler de boisson alcoolisée donnant du "courage" : évidemment il faisait allusion aux souvenirs de ses années de guerre.

    Il me semble, et aussi par mon vécu personnel dans l’industrie, qu’une légère euphorie suite à un repas suffisamment arrosé à cet effet permet de "reprendre le travail" sans trop penser à ses conditions matérielles éprouvantes et dégradantes.

    Le principe est ici "on oublie tout et on fonce sur le taf", ou "dans le tas", en cas de guerre. A ce sujet si l’on fait : "1914 1918 ALCOOL POUR MONTER AU COMBAT", voici un exemple de ce que l’on "remonte" sur le sujet :

    https://www.slate.fr/story/243791/v…

    Avec cette remarquable citation de Pétain :

    « Le vin a été pour les combattants le stimulant bienfaisant des forces morales comme des forces physiques. Ainsi a-t-il largement concouru, à sa manière, à la victoire. »

    Et dans cet article, bien documenté, on retrouve précisément ce thème du "monte en ligne" :

    "le pinard des poilus permet d’anesthésier les mutineries et de dompter la peur du soldat juste avant l’assaut. L’état-major le distribue d’ailleurs abondamment à ceux qui montent en première ligne, quitte à déployer une armée titubante. « L’attaque est prévue en fin de matinée. Il y aura une préparation d’artillerie avant, on commence à distribuer de l’alcool aux hommes dans les tranchées de première ligne, les hommes sont ivres, ils n’attendent pas, montent à l’assaut… c’est un carnage ! » , écrit ainsi le soldat Anselme Martin dans une lettre."

    Personnellement, c’est bien l’une des raisons pour lesquelles je suis assez longtemps devenu "marginal" par rapport à ma vie de prolétaire, et sans doute pour laquelle je ne suis donc pas devenu alcoolique…

    Même si je considère qu’un vin ou un alcool de bonne qualité peut avoir des vertus "sanitaires" à condition de n’en point abuser.

    Sur le rôle de l’alcool en 14-18, voir aussi :

    https://shs.hal.science/halshs-0195…

    "L’ivresse dans l’armée française pendant la Grande
    Guerre. Un mal pour un bien ?"
    - Stéphane Le Bras

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    • Oui oui, bien sûr ; c’est vrai aussi. Mais, ce que ne disent pas tes extraits de texte, et qui est tout aussi essentiel, c’est qu’il y avait du bromure dans le vin des armées. Je me souviens d’un vieux boulanger, déjà à la retraite il y a une trentaine d’années, qui, quand il était bourré, chantait une chanson de militaires :

      « Monsieur Gamelin, vous avez tord, de mettre du bromure dans notre vin. »

      Le bromure de potassium est un puissant sédatif. Pourquoi donner un sédatif ? Son but est de diminuer ou de faire disparaître la perception d’une situation vécue comme insupportable.

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      • En France, le bromure dans le vin était utilisé dans les années 80 pour faire débander les troufions pendant les deux mois de classe. Cela donnait au vin un goût métallique.

        Aussi, n’imagine pas Camarades que tu vas échapper à leur contrôle, en t’abstenant de boire du vin.

        Dans l’eau, les jus de fruits en bouteille,… c’est kif-kif. Les Nazis avaient déjà pour coutume de mettre du fluor dans les réserves d’eau des camps de concentration afin de stériliser les prisonniers et de les abrutir pour s’assurer de leur docilité… http://mai68.org/spip3/spip.php?art…

        Cela a toujours été une fixation chez nos Maîtres de nous contrôler.

        Bromure, Fluor même arnaque !

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  • Salut les complotistes de comptoirs !

    (Le zinc est un truc thérapeutique efficace, mais ça dépend dans quel sens on le prend…!)

    Jusqu’à preuve du contraire, et donc si vous êtes capables de la fournir (*), cette histoire de bromure n’est qu’une "légende urbaine" parmi tant d’autres…

    Assez perdu de temps avec ce genre de c…

    Bien à vous, donc, et à votre santé, pour le prochain verre !


    (* il existe pléthore d’études historiques documentées sur le rôle de l’alcool dans l’armée, et on ne voit pas pourquoi il n’en serait pas de même au sujet du "bromure" qui n’a pas pu être répandu sans laisser aucune trace historique, dans les archives de l’intendance ou autre, suffisamment probante.)

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    • VOCABULAIRE DE L’ENNEMI, VOCABULAIRE ENNEMI !

      http://mai68.org/spip/spip.php?article1735

      "complotiste", fait partie du vocabulaire du pouvoir

      Le vin, c’était pas secret. Le bromure si !

      Répondre à ce message

      • Ici l’expression est "complotistes de comptoirs" : une dérision d’autant plus appropriée, pour ceux qui la reprennent au "sérieux"…!

        Dans ce fil, le dérisoire continue de s’empiler sur le dérisoire…

        C’est votre acharnement masochiste à donner raison aux dérisions de l’ennemi que vous êtes supposés combattre qui devient de plus en plus pitoyable.

        Mais c’est votre choix…

        Au lieu de chercher des sources pour argumenter et soutenir éventuellement ce qui n’est autrement qu’un empilement de rumeurs et de "légendes urbaines".

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        • Luniterre tu utilises sans arrêt le mot "complotiste" comme le pouvoir et à la façon du pouvoir. À croire que tu as peur de ne pas être bien considéré par lui.

          Je te l’ai déjà dit : Internet n’est pas tout, surtout que maintenant il est contrôlé par le pouvoir.

          La rumeur, c’est la vox populi. Les anciens soldats savent ce qu’ils disent. Et j’ai confiance en leur parole qui vaut toutes les "sources" et tous les internet.

          On va voir jusqu’où tu vas empiler tes arrogantes réponses…

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          • Le matérialisme dialectique, c’est l’analyse des faits et des réalités, qui restent vérifiables par des données, des sources, et non pas par des rumeurs.

            C’est le pouvoir et le système qui manipulent les rumeurs, et donc, in fine ceux qu’il nomme effectivement "complotistes", mais qui ne sont finalement, "à l’insu de leur plein gré", façon Richard Virenque, que le magma des gogos qui sapent "inconsciemment" toute tentative de Résistance vraiment conséquente.

            Mes réponses ne sont pas arrogantes, elles sont un simple constat de l’impasse actuelle. Le net n’est pas tout, et il n’est même pas grand chose, en termes de Résistance réelle, mais pour l’instant il est ce qui renvoie l’image de ce qui se pose comme telle pour les personnes souvent isolées qui cherchent à comprendre, précisément au delà des médias mainstream et des rumeurs qu’ils favorisent eux-mêmes avec leur pseudo "fact-checking", soit l’art de consacrer le mensonge, le plus souvent.

            Remplacer la lutte des classes par la "lutte des rumeurs" c’est se placer sur le terrain choisi par l’adversaire et donc partir battus d’avance. C’est déjà évidemment une des raisons profondes du rapport de force actuel, désastreux, sauf peut être du point de vue de ceux qui se complaisent dans l’ivresse des mots, sinon d’autres…

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            • Bonjour Luniterre,

              Comme Google est de plus en plus bridé et pauvre en information, je viens de tester pour la première fois ChatGPT (une version gratuite donc bridée : https://chatgptgratuit.org/chatgpt-… ). Mon but n’est pas de propager des rumeurs, mais de démonter les manipulations. On ne me fera jamais croire que l’armée veut notre bien.

              J’ai donc posé à ChatGPT la question du bromure dans les repas des troufions.

              Ces réponses me prouvent que ce n’est pas pour rien que l’armée Française a comme surnom “la grande muette”.

              Et tu seras aussi heureux d’apprendre que « les armées modernes cherchent à avoir une approche plus humaine et se concentrent sur le bien-être psychologique et physique de leurs soldats. » C’est sûrement pour ces raisons que l’armée Française a fini par supprimer les cartouches de cigarettes du paquetage du bidasse.

              Si l’armée avait coutume de donner des paquets de petits-gris, ou des Gauloises, c’était uniquement pour l’effet antidépresseur et stimulant du tabac, c’était peut-être pour calmer le troufion, réguler sa libido, éviter une mutinerie…

              ---

              AI :C’est vrai que le sujet de la régulation de la libido au sein des forces armées est souvent délicat et parfois tabou. Dans certaines armées, il a été rapporté que des substances ont été utilisées pour tenter de réduire la libido des soldats, notamment dans des contextes où la discipline et la concentration étaient jugées essentielles.

              AI :Les termes « anti-Bock » et « Hängolin » sont souvent utilisés dans le contexte militaire des pays germanophones pour désigner des substances qui auraient pour effet de réduire la libido ou d’atténuer les pulsions sexuelles des soldats. Ces substances sont parfois associées à des préoccupations concernant la discipline et la concentration des troupes, en particulier dans des situations de stress élevé ou de déploiement prolongé.

              1. Anti-Bock : Ce terme est souvent utilisé pour désigner des médicaments ou des substances qui pourraient avoir un effet anaphrodisiaque. L’idée derrière leur utilisation serait de minimiser les distractions liées à la sexualité, permettant ainsi aux soldats de se concentrer sur leurs missions.

              2. Hängolin : Ce terme est moins courant, mais il est également associé à des substances ayant des effets similaires. Il peut faire référence à des médicaments ou à des traitements qui visent à réduire l’excitation sexuelle.

              AI :Il existe peu de recherches publiées et de témoignages directs sur l’utilisation d’anaphrodisiaques dans les armées, car c’est un sujet souvent sensible et parfois tabou. Cependant, voici quelques pistes et études qui pourraient t’intéresser :

              1. Études historiques : Certaines recherches historiques ont examiné l’utilisation de substances pour contrôler la libido dans des contextes militaires. Par exemple, des études sur les pratiques militaires pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale ont mentionné l’utilisation de médicaments pour gérer le comportement des soldats, bien que les détails spécifiques sur les anaphrodisiaques soient rares.

              2. Médicaments psychotropes : Dans certains cas, des médicaments psychotropes, comme les antidépresseurs ou les antipsychotiques, ont été utilisés dans des contextes militaires pour traiter des problèmes de santé mentale. Ces médicaments peuvent avoir des effets secondaires qui incluent une réduction de la libido. Des études sur l’impact de ces médicaments sur les soldats peuvent fournir des informations indirectes sur la gestion de la libido.

              3. Témoignages de vétérans : Certains vétérans ont partagé leurs expériences concernant l’utilisation de médicaments dans l’armée, y compris des effets sur leur libido. Ces témoignages peuvent être trouvés dans des forums en ligne, des livres ou des documentaires sur la vie militaire.

              4. Recherches contemporaines : Des études récentes se concentrent sur le bien-être des soldats et l’impact des médicaments sur leur santé mentale et physique. Bien que ces études ne traitent pas directement des anaphrodisiaques, elles examinent comment les médicaments peuvent influencer le comportement et la santé des soldats.

              5. Rapports d’organisations militaires : Certaines organisations militaires ont publié des rapports sur la santé des soldats, qui peuvent aborder les questions de santé mentale et de gestion du stress, mais ces documents ne mentionnent pas toujours spécifiquement l’utilisation d’anaphrodisiaques.

              Si tu es intéressé par des études spécifiques, je te recommande de consulter des bases de données académiques comme PubMed ou Google Scholar, où tu pourrais trouver des articles sur la santé mentale des militaires et l’utilisation de médicaments.

              Merci à ChatGPT et bien à toi Camarade
              A_suivre

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              • "Si tu es intéressé par des études spécifiques, je te recommande de consulter des bases de données académiques comme PubMed ou Google Scholar, où tu pourrais trouver des articles sur la santé mentale des militaires et l’utilisation de médicaments."

                Dans ce "résultat de recherche" il n’y a donc toujours aucune source précise, aucun document, en ligne ou non (ouvrages en bibliothèques, dont les bases de données sont connues, par exemple), de cités.

                L’IA ne fait donc ici que régurgiter les données évasives déjà posées sur le net et qui ne dépassent pas le stade de la rumeur. Le tout conclu par un petit laïus suffisamment consensuel pour ne pas contrarier le "client" en fonction de la question posée.

                Mais si ça te suffit pour te réconforter dans tes croyances et préjugés c’est très bien ainsi pour toi, surtout si tu ne comprends pas que tôt ou tard l’IA te mènera là où elle voudra en finir avec le troupeau des moutons bêlants.

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                • En effet Luniterre : «  L’IA ne fait donc ici que régurgiter les données évasives déjà posées sur le net et qui ne dépassent pas le stade de la rumeur.  », mais pas que, à chaque échange l’IA s’évertue à sous-entendre que :

                  « les armées modernes cherchent à avoir une approche plus humaine et se concentrent sur le bien-être psychologique et physique de leurs soldats. »

                  Cela me fait penser à « l’armée la plus morale du monde », que nos militaires de plateau TV admirent.


                  Selon le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), le conflit à Gaza a provoqué la mort de 39 965 personnes dont plus de 14 100 enfants et 9 000 femmes. Selon ce bilan établi le 16 août 2024 (1), plus de 92 000 personnes auraient été blessées, dont 12 320 enfants.

                  Je n’ai pas de croyance ou d’opinion préconçue en ce qui concerne l’armée. Je n’ai tout simplement pas d’insultes assez fortes pour qualifier tous ces chiens.

                  Honte à toutes ces armées de merde et à leurs complices.

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    • Ma seule certitude :

      l’armée ne m’a jamais fait bander !

      Ce que je me souviens aussi, c’est que, pendant les classes, les officiers ne mangeaient jamais à la table des troufions, ils avaient toujours leur propre intendance !

      Mais, si, chez les soldats, la réputation anti-libido du bromure, tient depuis la Grande Guerre, à la Guerre d’Algérie et que dans les années 80, pendant mes deux mois de classe, c’était encore une évidence, au point que toute la bouffe, le café,… avait ce goût si particulier, pourquoi nous dire maintenant que ce ne serait qu’une "Faxe-News" ?

      Pour Wikipedia, les propriétés antispasmodiques du bromure de potassium ont été d’abord évoquées par Charles Locock à un congrès de la Société médicale et chirurgical royale en 1857. Le bromure peut être considéré comme le premier médicament efficace contre l’épilepsie.

      À l’époque, on pensait généralement que l’épilepsie était causée par la masturbation. Charles Locock a noté que le bromure calme l’excitation sexuelle et la pensée, d’où son succès dans le traitement. Il n’y aura pas de meilleur médicament pour l’épilepsie jusqu’au phenobarbital en 1912.

      Le bromure de potassium n’est pas approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis (FDA) pour une utilisation humaine.

      En Allemagne, il continue à être utilisé comme antiépileptique, particulièrement pour les enfants et les adolescents. Ces indications incluent les formes sévères.

      Il était employé comme drogue sédative aux États-Unis5.

      Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bromu…

      Alors, peut-on, vraiment faire confiance à l’armée ?

      Ce qui est certain, c’est que ce n’est pas très sexy cette histoire au moment même où Macron veut recruter des jeunes pour aller botter les fesses de l’Ours Russe…

      Peut-on croire que nos Officiers étoilés, vont avoir des scrupules à tester ce genre de produits sur leur "chair à canon" ?

      N’ont-ils jamais rêvé avoir des soldats serviables corps et âme, au point d’aller jusqu’à la mort ?

      N’ont-ils pas, déjà, des labos militaires de haute sécurité, où ils nous fabrique sans scrupules des trucs comme le COVID ?

      ---

      Les laboratoires militaires de création d’armes biologiques de destruction massive :
      http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

      Selon le ministère de la Défense russe, le gouvernement américain pourrait être complice de l’émergence du Covid : http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

      Des armes nouvelles pour une guerre nouvelle :
      http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

      Le porte parole du gouvernement chinois déclare que l’armée américaine a peut-être amené le virus Corona à Wuhan :
      http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

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