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Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux

mardi 3 décembre 2024, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 1er décembre 2024).

Extension de l’empire des Khazars,
de 650 à son apogée en 8501
wikipedia

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Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux qui, originellement, étaient juifs. Ensuite, ils se sont convertis au christianisme quand le petit Jésus est né… à Bethléem… en Palestine… Puis, plus tard, ils sont devenus musulmans. Alors, certes, la religion juive vient de Palestine, mais pas les juifs qui font leur alya !

L’État d’Israël a d’ailleurs été fondé essentiellement par des Juifs Ashkénazes, qui descendent des Khazars d’après Arthur Koestler. La population de ce royaume européen avait été convertie de force par ses dirigeants, eux-mêmes convertis au judaïsme par des religieux de passage.

La génétique éclaire le débat sur l’origine des Juifs d’Europe

16 janv. 2013

AFP

Les Juifs d’Europe trouvent leur origine dans un mélange d’ascendances, dont de nombreuses proviennent de tribus du Caucase qui se sont converties au judaïsme, selon une étude de génomes publiée jeudi.

AGENCE FRANCE-PRESSE

Cette enquête, selon son auteur, devrait régler un débat de plus de deux siècles.

Les juifs d’origine européenne, les Ashkénazes, représentent environ 90% des plus de 13 millions de juifs dans le monde aujourd’hui.

Selon l’hypothèse dite « rhénane », les Ashkénazes descendent des juifs qui ont fui la Palestine après la conquête musulmane en 638 après J.C.

Toujours selon cette hypothèse, ils se sont installés dans le sud de l’Europe, puis, à la fin du Moyen-Age, environ 50.000 d’entre eux se sont déplacés de la Rhénanie, en Allemagne, vers l’Europe de l’Est.

Certains estiment cependant cette hypothèse invraisemblable, car le scénario est impossible en termes démographiques.

Cela supposerait un bond de la population des juifs d’Europe orientale de 50 000 individus au 15e siècle à environ huit millions au début du 20e siècle.

Le taux de natalité aurait été ainsi 10 fois supérieur à celui de la population locale non-juive. Et cela malgré les difficultés économiques, les maladies, les guerres et les pogroms qui ont ravagé les communautés juives.

Pour tenter d’y voir plus clair, une étude publiée dans la revue britannique Genome Biology and Evolution a comparé les génomes (qui forment le patrimoine génétique) de 1287 individus non apparentés descendants de huit groupes de population juifs et de 74 non juifs.

Le généticien Eran Elhaik (Ecole de Santé publique Johns Hopkins, Baltimore, États-Unis) a passé au crible ces données, à la recherche de mutations dans le code ADN liées à l’origine géographique d’un groupe.

Ces indicateurs ont déjà été utilisés dans le passé pour faire la lumière sur les origines des Basques ou des Pygmées d’Afrique australe.

Parmi les juifs d’Europe, le généticien a trouvé des signatures ancestrales qui pointaient clairement vers le Caucase et aussi, mais dans une moindre mesure, vers le Moyen-Orient.

Ces résultats, a déclaré Eran Elhaik, viennent appuyer la théorie rivale de l’hypothèse rhénane, connue sous le nom d’« hypothèse Khazare ».

Selon cette théorie, les juifs d’Europe orientale descendent des Khazars, un mélange de clans turcs qui se sont installés dans le Caucase dans les premiers siècles de notre ère et, influencé par les juifs de Palestine, se sont convertis au judaïsme au 8e siècle.

Les juifs khazars ont construit un empire florissant, attirant des juifs de Mésopotamie et de l’Empire byzantin.

Ils ont tellement prospéré qu’ils ont essaimé en Hongrie et en Roumanie, plantant les graines d’une vaste diaspora.

Mais l’empire khazar s’est effondré au 13e siècle, attaqué par les Mongols et affaibli par des épidémies de peste noire.

Les juifs khazars ont alors fui vers l’ouest, s’installant dans le royaume polonais et en Hongrie, où leurs compétences en finances, en économie et en politique étaient très appréciées. Selon l’hypothèse khazare, ils se sont finalement répandus en Europe centrale et occidentale.

« Nous concluons que le génome des juifs d’Europe est une mosaïque de populations anciennes, incluant des Khazars judaïsés, des juifs gréco-romains, des juifs de Mésopotamie et de Palestine », a expliqué Eran Elhaik.

« La structure de leur population a été formée dans le Caucase et sur les rives de la Volga, avec des racines qui s’étendent à la région de Canaan et aux rives du Jourdain », a-t-il poursuivi.

Selon Eran Elhaik, l’histoire esquissée dans les gènes est étayée par les découvertes archéologiques, par la littérature juive qui décrit la conversion des Khazars au judaïsme, ainsi que par la langue.

13 Messages de forum

  • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 2 décembre 2024 01:27, par a_suivre

    « Le « peuple juif » est une pure et simple fabrication. »

    Par Mil Boumaza

    Au commencement Abraham naquit à Ur, ville irakienne à 15 km de Baghdad et, selon la tradition biblique, était soit d’origine araméene (correspondant à l’actuelle Syrie), soit chaldéenne (Irak actuel). Au commencement donc, Abraham n’était pas hébreux, mais « arabe » pourrait-on dire.

    Du reste, l’origine du peuple hébreux demeure problématique pour les chercheurs, car celui-ci n’est mentionné dans aucun document archéologique, notamment égyptien. Les sources égyptiennes constituent en effet, pour les archéologues, le principal matériau de recherches et de reconstitution historique concernant cette période. En effet, vain de leur grandeur, les Égyptiens du temps des pharaons, consignaient tous les événements : transactions commerciales, relations diplomatiques, faits d’arme, etc, se déroulant dans les territoires sous leur domination et les royaumes limitrophes.

    Les Palestiniens selon le récit biblique

    Abraham, après qu’il en reçut ordre de Dieu, quitta sa ville natale Ur pour se rendre en Palestine, que l’on nommait pays de Canaan :
    Genèse, chapitre 12, verset 6 et 7 : « Abram passa au travers du pays jusqu’au lieu appelé Sichem, et jusqu’à la vallée illustre.

    Les Chananéens occupaient alors ce pays-là. Or le Seigneur apparut à Abram, et lui dit » Je donnerai ce pays à votre postérité ». Abram dressa en ce lieu-là un autel au Seigneur, qui lui était apparu. »
    Abraham fit alors alliance avec Abimélech, roi des Philistins, puis :
    Genèse, chapitre 21, verset 33 et 34 : « Abimélech s’en alla ensuite avec Phicol, général de son armée ; et ils retournèrent dans la Palestine. Mais Abraham planta un bois à Bersabée, et il invoqua en ce lieu-là le nom du Seigneur le Dieu éternel. Et il demeura longtemps au pays des Philistins. »
    Ainsi, suivant la narration biblique, la Palestine et son voisinage étaient peuplées de Cananéens et de Philistins avant l’arrivée d’Abraham avec sa famille.

    Les Palestiniens selon les preuves archéologiques et scientifiques

    Or les Cananéens ne sont autres que les descendants des Phéniciens, aussi peut-on les considérer comme les ancêtres des Arabes vivant actuellement dans la région.

    Les Philistins, également aïeux des Arabes locaux, représentaient, quant à eux semble-t-il, suivant le récit biblique, les principaux adversaires et obstacles à la mainmise de ces nouveaux colons sur le territoire. En outre ils ont cela de particulier que, contrairement aux autres peuples ayant vécu à la même période, ils ont conservé leur nom à ce jour.

    Les occidentaux se sont efforcés d’en occulter toute trace en transmutant le son « f » en « p » ; cependant, pour les populations de culture sémitique la supercherie ne saurait prendre, car pour ces dernières, « Palestine » s’est toujours prononcé « Philistine ». Preuve linguistique, s’il en est, que les Philistins ont, depuis la nuit des temps, occupé cette terre (Liban, Jordanie, etc), mais qui correspondait, selon les sources bibliques, aux territoires de … Gaza.

    Par ailleurs la présence des Philistins est attestée, dès la plus hautes antiquité, par les découvertes archéologiques, notamment des bas-reliefs égyptiens où l’on raconte que leur puissance aurait même menacé le pouvoir de Mérenptah et de Ramsès III, ou encore dans les fragments de poterie et autres objets d’art dont le raffinement était particulièrement prisé des Égyptiens.

    En revanche, la présence d’un peuple hébreux n’est mentionnée nulle part dans la considérable somme de documents archéologiques disponibles à ce jour. Ce qui pose problème quant à leur existence historique. A telle enseigne que des auteurs (que nous avons délibérément choisis dans la communauté juive dans un objectif d’impartialité) tels Shlomo Sand, dans son ouvrage, « Comment le Peuple Juif fut inventé », ou encore Arthur Koestler dans « La Treizième Tribu » en sont venus à la conclusion que le « peuple juif » est une pure et simple fabrication. Nous recommanderons également, au passage, l’excellent ouvrage d’Israël Finkelstein, « La Bible Dévoilée ».

    Quant à Eran Elhaik, généticien et bioinformaticien, les résultats de son étude pour le Genographic project , publiée dans la revue Genome Biology and Evolution, sont sans appel : la population juive actuelle de Palestine est constituée à plus de 90 % de peuples d’origine Khazare, un empire qui s’étendait sur les territoires actuels du Khazakhstan (Khazarstan ?) Géorgie, Ukraine, Arménie, etc, et dont les populations se seraient converties au judaïsme entre les 8e et 9e siècle. Ils constituent la récente immigration dans la région, notamment depuis 1948. Aussi, le prétendu retour à la terre promise est-il irrémédiablement démystifié et démonté par des auteurs, chercheurs et historiens israéliens.

    Ainsi la création d’Israël ne repose-t-elle sur aucune justification historique, ethnique ou génétique, ni même religieuse, car, de ce point de vue, elle ne doit avoir lieu qu’après que Dieu ait envoyé le messie et que celui-ci remplisse certaines conditions.

    Or sauf à considérer Théodore Hertzel ou encore Ben Gourion comme le messie tant attendu des écritures, il ne nous semble pas que ce dernier ait manifesté sa présence ni avant, ni pendant 1948, date de la création de l’Etat d’Israël, aussi celle-ci s’est-elle faite en totale contravention et opposition à la volonté de Dieu.

    Quoi qu’il en soit, nonobstant toutes les preuves historiques, archéologiques, génétiques et en dépit du fait qu’il y avait déjà un peuple qui vivait là depuis l’aube des temps, l’on a fait violence sur tout un peuple pour lui prendre de force sa terre.

    Une religion prônant le génocide

    De nombreux passages de la Bible narrent la lutte des Israélites contre leurs plus grands ennemis, les Philistins, que Dieu, dans l’Ancien Testament, demande de combattre en perpétrant un véritable génocide pour s’emparer de leurs terres, la fameuse « Terre Promise » :

    – Nombres, chapitre 31, verset 17 et 18 : « Tuez donc tous les mâles d’entre les enfants même, et faites mourir les femmes dont les hommes se sont approchés ; Mais réservez pour vous toutes les petites filles, et toutes les autres femmes vierges »

    – Deutéronome, chapitre 2, verset 34 : « Nous prîmes en même temps toutes ses villes, nous tuâmes tous les habitants, hommes femmes et petits enfants, et nous n’y laissâmes rien du tout »

    – Deutéronome, chapitre 3, verset 6 : « Nous exterminâmes ces peuples, comme nous avions fait de Séhon, roi d’Hésébon, en ruinant toutes leurs villes, en tuant les hommes, les femmes et les petits enfants »

    – Rois, chapitre 15, verset 3 : « C’est pourquoi marchez contre Amalec, taillez-le en pièces, et détruisez tour ce qui est à lui. Ne lui pardonnez point ; ne désirez rien de ce qui lui appartient ; mais tuez tout, depuis l’homme jusqu’à la femme, jusqu’aux petits enfants, et ceux qui sont encore à la mamelle, jusqu’aux boeufs, aux brebis, aux chameaux et aux ânes. »

    Quant à ce passage, il semblerait décrire une des nombreuses scènes de colons juifs expulsant les familles palestiniennes et squattant leurs propriétés ainsi que leurs maisons (quand il ne les détruisent pas) :
    Deutéronome, chapitre 6, verset 10 et 11 : « Et lorsque le Seigneur votre Dieu vous aura fait entrer dans la terre qu’il a promise avec serment à vos pères Abraham, Isaac et Jacob, et qu’il vous aura donné de grandes et de très bonnes villes que vous n’aurez point fait bâtir, Des maisons pleines de toutes sortes de biens que vous n’aurez point creusées, des vignes et des plants d’olivier que vous n’aurez point plantés »

    La cause palestinienne ou le degré zéro des valeurs humaines.

    Voilà sans doute l’une des raisons expliquant cette insensibilité de la « communauté internationale » à l’endroit des souffrances palestiniennes.
    Comment en serait-il autrement lorsque c’est Dieu lui-même qui vous enjoint, dans son livre saint, d’exterminer toute cette engeance, toute cette vermine, hommes, femmes, enfants, jusqu’aux nourrissons ? Ainsi, si vous êtes chrétien ou juif, même un génocide ne saurait ou ne devrait vous émouvoir, car il s’agit d’un commandement de Dieu.

    On comprendra alors les réticences des occidentaux ou plutôt leur cécité à l’égard de ces souffrances car, outre les raisons évoquées plus haut, cela équivaudrait à reconnaître et condamner leurs propres turpitudes et leurs exactions durant la période coloniale. Nous considéraient-ils seulement comme des humains à cette époque ?

    C’est suivant ce schéma psychologique, sous ce prisme ethnocentrique que des membres du conseil de sécurité, toujours les mêmes, rejettent les résolutions de l’ONU condamnant ces crimes de l’entité ainsi que celles relatives aux droits des Palestiniens.

    On refuse et l’on nie donc des droits humains aux Palestiniens ?

    Qu’est-ce à dire ?

    Les Palestiniens ne sont donc pas des humains ?!

    Cela est-il acceptable alors qu’en Europe et ailleurs, même des chiens ont des droits ?

    Les Palestiniens ont-ils donc moins de valeurs que des animaux ?

    Quant aux Saharouis, ceux-ci ne sont même pas dans les radars de la « communauté internationale », il n’existent tout simplement pas : c’est un non-peuple.

    Est-ce à dire que tous les Israëliens sont fondamentalement mauvais, racistes, ennemis du genre humain, etc. Nous nous opposons à toute généralisation et essentialisation des peuples.

    Il y a des juifs non seulement pro-palestiniens mais également anti-sionistes qui appellent tout de go à la disparition de l’entité. Certes ceux-ci sont peu connus car n’ayant aucun accès aux médias. Mais faut-il s’en étonner lorsqu’on considère la conception de la liberté d’expression que s’en font les occidentaux ?

    Pour les promoteurs sionistes quels qu’ils soient ainsi que les impérialistes, les peuples ne sont que des outils que l’on utilise et manipule pour des desseins qui leur sont si hors de leur portée que combien même ces desseins leur sont dévoilés, ils ne se résoudront à y croire.

    C’est ainsi que, aussi bien Daech que les Juifs immigrés en Palestine servent le même agenda : servir les intérêts occidentaux en créant le chaos et en détruisant les pays récalcitrants.

    Manipulée et détournée par le complexe militaro-sioniste occidental, la religion étant le principal motif invoqué pour leur enrôlement, ces deux groupes constituent la chair à canon et les boucs émissaires dans les projets coloniaux et impérialistes.

    Or rien n’est plus opposé à l’Islam que d’assassiner des innocents (souate 5 verset 32 : « … quiconque aura tué un innocent, ce sera comme s’il avait tué l’humanité toute entière »).

    Le prophète Mohamed (asws), dans sa prise de la Mecque avait par exemple interdit que l’on s’en prenne aux hommes désarmés, etc et de ne pas même abattre un animal ou un arbre. Saladin (Salah Eddine Ayoubi) avait diligenté son médecin personnel au chevet de Richard Cœur de Lion, terrassé par une fièvre qui allait l’emporter. L’Émir Abdelkader, dont l’exemplarité en tant que chef guerrier avait suscité le respect et l’admiration de ses ennemis mêmes pour son humanisme, est aujourd’hui une figure internationale reconnue mondialement.

    Quant à la création d’un État juif, sa mise en œuvre constitue, du point de vue de la croyance juive, une véritable rébellion contre Dieu. Car cet État ne peut avoir lieu que lorsque Dieu l’aura permis en envoyant le Messie comme signe de Son accord. C’est pourquoi les Juifs se considérant Israëliens encourent Sa colère et Sa malédiction ainsi que celle des hommes.

    Israël, le Pharaon Bibi et le peuple palestinien

    Dans toutes les religions, Dieu a toujours protégé, favorisé les peuples faibles et opprimés, notamment par les puissants de ce monde : Pharaon contre les esclaves Hébreux, les Quraych contre les convertis à l’Islam dont un grand nombre d’esclaves, parmi lesquels Bilal ibn Rabah, le plus célèbre d’entre eux.

    Ainsi en calquant l’actualité historique sur la Torah (ou Ancient Testament), Israël serait la copie conforme de l’Égypte pharaonique, et les Palestiniens, à qui aucun droit n’est accordé et dont les vies peuvent être prises sans forme de procès par les colons sionistes, seraient l’exacte réincarnation des esclaves Hébreux, Israël représentant par ailleurs la Babylone et la Sodome et Gomorrhe bibliques (avec ses défilés gay pride).

    Quant à Netanyahu et sa poursuite sans merci du massacre des enfants palestiniens, n’est-il pas la réminiscence de cet épisode de Pharaon qui ordonnait l’extermination de tous les enfants hébreux ?

    Pour le combat inégal entre Israëliens et Palestiniens, d’aucuns y voient la lutte entre David et Goliath et la victoire prochaine du peuple palestinien, car il est l’élu non seulement de Dieu mais également de toute l’humanité.

    Source : La victoire de la Palestine prédite… par la Bible
    Par Mehdi Messaoudi Publié le : décembre 28, 2023 :
    https://algerie54.dz/palestine-43/#….

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    • Excellent. Aussi, les "juifs" ne peuvent pas être sémites !
      Il faudrait aussi cesser de conseiller aux Arabes de toutes origines (car là aussi, il y a une différence entre les Maghrébins et les Arabes du Proche-Orient et ceux d’Arabie (saoudite), de porter plainte pour "islamophobie" quand ils sont l’objet (je préfère ce terme à celui de victime, car une victime accepte son statut et ne se défend pas) de discrimination, mais bien plutôt pour "antit-sémitisme". Les Arabes ne sont pas tous musulmans, comme le rappelle cet article, car le christianisme est bien né au Proche-Orient, en Palestine, ils sont donc aussi chrétiens et …… athés.
      L’origine Khazar des juifs qui composent l’immense majorité des habitants d’Israël explique, de mon point de vue, en partie, la complicité active de la Turquie à leur égard. La reprise d’Alep par les gentils djihadistes "modérés’ si chers à Fabius le Somnolent n’a pas eu lieu par hasard : ces groupes ont été réactivés par celui qui se prend pour Soliman. Ne jamais oublier, ce que nombre d’Algériens oublient ou ne savent pas, c’est que sous l’Empire Ottoman, en Algérie, les juifs étaient sur l’échelle hiérarchique, juste à côté des Turcs, les Arabes un peu en dessous et les Berbères, en-dessous. Par ailleurs, il y avait moyen de défendre la ville d’Alger, le Bey a préféré en en remettre les clés à l’armée française et le pillage a commencé. Il faut relire, entre autres, le livre de Pierre Péan sur le sac des médinas des grandes villes d’Algérie.

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  • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 2 décembre 2024 13:55, par Palestinophile

    Il n’est pas évident de distinguer les personnages légendaires de la Bible (Entre autres Abraham, Noé, etc..) et des personnes détenant peu ou prou un certain pouvoir ayant véritablement existé.

    Pour les ethnologues les Arabes sont aussi des Sémites (descendants du légendaire Sem)

    Il y a des bonnes raisons de croire que les Palestiniens actuels sont pour beaucoup des descendants de pratiquants "palestiniens" du judaïsme que les Romains n’ont pas du tout contraint à l’exil, mais qui ont été contraint de se convertir à l’islam, une religion qui a adopté à la fois des textes et des traditions juives et aussi chrétiennes attribués à leur légendaire prophète

    _
    On ne soulignera jamais assez que la majorité des racistes fondateurs dans le sang du soi-disant état hébreu, David Grün, modestement autorebaptisé Ben Gourion (fils du lion) en premier, n’avaient pas de gènes hébreux dans les veines. Le raciste Ben Gourion, pas à une contradiction près, disait "Je suis athée, mais c’est Dieu qui nous a donné cette terre" ; alors que le même méprisait les Séfarades et les Misrahim génétiquement plus "proches" des Hébreux de l’an 0 et avant et que c’est seulement sur pression des sionistes US qu’il s’intéressa du bout des lèvres au sort des "Juifs" des camps de concentration qu’il considérait comme des lâches n’ayant pas résisté aux nazis

    Sans oublier qu’une bonne partie des influenceurs des présidents des USA, par leur argent (Rothschild , et autres,), ou leur intellect (Kissinger et Cie , élèves de Léo Strauss) étaient, voire sont encore des "juifs" ashkénazes

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    • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 2 décembre 2024 15:45, par Poggiale Avidor Berthe

      Cette longue rhétorique est inutile et RACISTE !!!!

      Je le réitère, être juif c’est pratiquer la religion juive !! être musulman c’est pratiquer la religion musulmane, être chrétien c’est pratiquer la religion catholique, etc.… etc …. Et il n’existe pas de sang et gènes juifs !! il faut arrêter d’écrire de pareilles absurdités !!!

      Le drame horrible qui se passe aux proches et moyen orient n’est pas une guerre de religion, mais comme l’écrivait Lénine en 1906, nous assistons à la tentative désespérée du capital financier mondial, ayant à sa tête la grande finance des Etats Unis, de s’approprier GRATOS les FABULEUSES RESSOURCES NATURELLES DU CONTINENT RUSSE, ORIENTAUX, et tous autres lieux aux mirifiques richesses pétrolières et gazières.

      Aussi stop aux rhétoriques stériles et solidarité à la lutte des résistances Palestiniennes, Libanaises, Syriennes et autres, luttes implacables qui vont précipiter la désintégration de l’état sioniste assassin de masse qui commence à être lâché par son sponsor les industriels et banquiers des Etats Unis, lesquels sont aussi en voie de désintégration et cela active la disparition du capitalisme porteur de morts au plan mondial.

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      • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 2 décembre 2024 18:19, par Palestinophile

        Effectivement "chez ces gens-là", comme chantait Brel, un même mot , cas unique, désigne un pratiquant plus ou moins assidu d’une religion (inventée par des humains au retour de l’exil des intellos de Babylone pour faire corps) et une espèce d’ethnie cumulant des descendants de pratiquants de la religion juive depuis - 700 (selon le calendrier universel) et des descendants de convertis plus ou moins volontairement vers le IX° siècle entre la mer noire et la mer caspienne.

        Alors que pour comble de tout le calendrier officiel de la religion et du pseudo-état hébreu prétend que leur YHWH a créé le Monde il y a environ 5784 ans. Une conviction dont doutent beaucoup les géologues pour le moins

        Ils sont vraiment particuliers ces descendants du mythique Abraham .Mais est-ce finalement la majorité de ceux, même athées, qui admettent qu’on les qualifient, en théorie avec une majuscule comme pour tout ethnonyme ,de "Juifs" . Sachant que des "Juifs" plus ou moins athées sincèrement défenseurs au minimum des Palestiniens plus ou moins de base seraient de plus en plus nombreux. Honneur à eux.

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      • Berthe, Je ne vois pas le rapport. Personne na parlé de gênes juifs, chrétiens, ou musulmans !

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    • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 23 décembre 2024 19:29, par Palestinophile

      voire sont encore des "juifs" ashkénazes

      Je me suis lourdement planté

      Je devais écrire évidemment "juifs" khazars

      Léo Strauss était lui aussi un "triste sire" dont il est bon d’avoir entendu parler.

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      • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 24 décembre 2024 13:06, par a_suivre

        Vous n’avez peut-être jamais entendu parler de Leo Strauss, mais ses idées dominent le monde
        /…/
        Strauss était un émigré juif allemand qui est arrivé aux États-Unis pendant la montée du fascisme en Allemagne. Son expertise était la philosophie politique, en particulier celle du monde antique et pré-moderne, c’est-à-dire des philosophes tels que Socrate, Platon, Aristote, Nietzsche, Machiavel, etc. (ainsi que le philosophe persan al-Farabi).
        /…/
        Strauss était l’auteur de 18 livres et de 80 articles ; il a enseigné à la New School for Social Research, à l’Université de Chicago, au Claremont Men’s College et au St. John’s College d’Annapolis. Il a inculqué une dévotion quasi sectaire à ses étudiants, qui sont devenus connus sous le nom de Straussiens. Strauss a également été appelé le « gourou du conservatisme américain ».
        /…/
        Mais, comme le souligne Drury, il serait imprudent de penser que ses disciples ne sont que des cerveaux enfermés dans leur tour d’ivoire ; ces hommes, et ce sont en majorité des hommes, partagent une prédisposition philosophique, un « penchant pour le secret, le mensonge et la tromperie, leur confiance dans la manipulation presque illimitée de l’opinion publique, leur politique étrangère agressive, leur nationalisme virulent et leur approche follement théologique de la politique ». Et ces personnes ont obtenu des postes au gouvernement, dans le monde universitaire et dans les médias.
        /…/
        les acolytes de Strauss ont infiltré le gouvernement américain et l’enseignement supérieur, et ont fièrement influencé les politiques sociales et publiques du pays. Au sein même de l’administration Bush, de nombreuses personnes ont été soit des disciples de Strauss, soit des disciples de ses idées – notamment Paul Wolfowitz, Stephen Cambone, le sous-secrétaire à la Défense pour le renseignement, et Abram Shulsky, directeur du Bureau des plans spéciaux du Pentagone ; et il y a des personnes extérieures au gouvernement qui ont une grande influence sur la politique intérieure et étrangère américaine, comme William Kristol, rédacteur en chef du Weekly Standard .
        /…/
        Au cœur de la philosophie politique de Strauss se trouve le problème de la domination et de la subordination, ou, en d’autres termes, le conflit entre la philosophie et le domaine politique. Selon lui, il n’existe pas de droits naturels, mais un « droit naturel » du supérieur à dominer et à subordonner l’inférieur (voir Le droit naturel et l’histoire de Strauss ). Cependant, une clé pour comprendre Strauss est qu’il a tendance à écrire de manière aussi bien exotérique qu’ésotérique ; en d’autres termes, il y a des écrits destinés à la consommation publique et des écrits destinés à ceux qui comprennent le sérieux de la philosophie, c’est-à-dire la règle du sage qui doit être tenue à l’écart du grand public.

        Strauss, s’appuyant sur Platon, soutient que les sages ne sont pas autorisés à gouverner parce que les masses sont stupides et vulgaires et les en ont empêchés. Ainsi, au lieu de gouverner directement par les sages, ceux qui comprennent la sagesse des anciens – que les masses sont stupides et ont besoin de leur opium religieux pour les maintenir sous contrôle – les sages cultivent les gentilshommes, ou les princes de l’État, et gouvernent par leur intermédiaire. Le prince est le roi-philosophe une fois destitué ; le véritable roi-philosophe est l’homme de sagesse.

        Le pouvoir doit être obtenu et maintenu par le mensonge, la ruse et la tromperie. Le philosophe « gouverne » indirectement par son association avec les puissants via une « royauté secrète »…

        Source & suite : https://brooklynrail-org.translate….

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  • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 2 décembre 2024 16:16, par Mohamed

    Merci Do,
    c’est partagé ici
    Amitié
    Mohamed
    https://t.me/eppscdz/11065

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    • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 2 décembre 2024 17:17, par Jean-Paul Cruse

      Passionnant !…Mais on ne parle de " Juifs", en langue française que depuis l’époque,récente,au Moyen-Âge, où l’on a commencé à nommer les rues selon les professions,réelles,ou supposées, d’une majorité de leurs habitants. Ainsi d’une " rue aux Juifs", à Paris, à Rouen, etc. où se trouvaient concentrés les petits métiers d’argent : changeurs de monnaie, prêteurs sur gages, usuriers, orfèvres etc. Selon,du moins,les recherches d’Aline de Dieguez. Auparavant,on nommait les habitants de la province de Judée les Judéens. Jésus est crucifié comme " roi des Judéens" ( Judaios rex). Ce sont les sionistes,juifs, au sens contemporain du terme, et plus encore chrétiens de tradition vétéro-testamentaire ( protestants dogmatiques) qui entretiennent,à dessein,la confusion. La religion de Moïse n’est pas le " judaïsme", pas plus qu’Israël ne peur être appelé " l’État hébreu" , du nom d’une peuplade improbable. cf espoir2013.blogspot.fr

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  • Toutes ces histoires ça me saoule grave….

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    • Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux 3 décembre 2024 22:45, par a_suivre

      Je peux comprendre que cela te saoule, car c’est toujours la même logique macabre au nom d’un soi-disant Dieu ou Démon.

      Concrètement :

      « aussi bien Daech que les Juifs immigrés en Palestine servent le même agenda : servir les intérêts occidentaux en créant le chaos et en détruisant les pays récalcitrants. »

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  • « Les Palestiniens sont les vrais descendants des Hébreux »

    Et si on « remontait » encore plus haut !

    L’endroit du monde où l’on célébrait les Mystères qui étaient les plus renommés s’appelait « Is » (ou « Ys »). On disait « Is-la-Grande » (situé dans la baie de Douarnenez dans le Finistère). C’était le nom de la Divinité féminine, la « Mère universelle ». De ce nom viendra « Isis », « Isca », « Ichalis », « Isa » (Flavius Josèphe dit que les Hébreux donnent à la Femme le nom de « Issa »), « Isha » (Aïsha) en arabe, « Ischen » en Mexicain, mot qui signifie « jeune fiancée » pour les peuples qui ont perdu la tradition. Le pays des Déesses celtiques était appelé « Is-land » ; il s’étendait dans tout le Nord de l’Europe. Ajoutons à ceci que Cybèle était Matrice des Galates et que son nom mystique est « Rhéa » en grec, « Râ » en égyptien, et de ces deux noms réunis, Is et Râ, on a fait « Isra-el » (el est un article).

    « Le nom d’« Israël » n’a-t-il pas été souvent employé aussi pour désigner l’ensemble des initiés, quelle que soit leur origine ethnique, et ceux-ci qui en fait forment réellement le « peuple élu » ne possèdent-ils pas la langue universelle qui leur permet à tous de se comprendre entre eux, c’est-à-dire la connaissance de la tradition unique qui est cachée sous toutes les formes particulières ? » (René Guénon, L’Esotérisme de Dante)

    NB : Chez les Celtes, le sanglier et l’ours symbolisaient respectivement les représentants de l’autorité spirituelle et ceux du pouvoir temporel, c’est-à-dire les deux castes des Druides et des Chevaliers, équivalentes, au moins originairement et dans leurs attributions essentielles, à ce que sont dans l’Inde celles des Brâhmanes et des Kshatriyas.

    De plus, le sanglier représentait anciennement la constellation qui, plus tard, est devenue la « Grande Ourse ». Précisons que dans la tradition hindoue, le nom le plus habituel de la Grande Ourse est « sapta-riksha » ; le mot sanscrit « riksha » (comme le celtique « arth », le grec « arktos » ou le latin « ursus ») est le nom de l’ours. Cependant, « riksha » désigne aussi une étoile, c’est-à-dire une « lumière » de manière générale (« archis », de la racine « arch » ou « ruch », « briller » ou « illuminer »). Dans une certaine période, le nom de « sapta-riksha » fut appliqué, non plus à la Grande Ourse, mais aux Pléiades, qui comprennent également sept étoiles. Rappelons que cette constellation a eu encore d’autres noms, entre autres celui de la « Balance ».

    Il y a, dans cette substitution de noms, une des marques de ce que les Celtes symbolisaient précisément par la lutte du sanglier et de l’ours, c’est-à-dire la révolte des représentants du pouvoir temporel contre la suprématie de l’autorité spirituelle.

    Il convient néanmoins de préciser que les deux symboles du sanglier et de l’ours n’apparaissent pas toujours forcément comme étant en opposition ou en lutte, mais que, dans certains cas, ils peuvent aussi représenter l’autorité spirituelle et le pouvoir temporel dans leurs rapports normaux et harmoniques, comme on le voit notamment par la légende de Merlin et d’Arthur.

    Chez les Grecs, la révolte des Kshatriyas était figurée par la chasse du sanglier de Calydon. Et faisons remarquer que le nom de « Calydon » se retrouve exactement dans celui de « Caledonia », ancien nom de l’Écosse : en dehors de toute question de « localisation » particulière, c’est proprement le pays des « Kaldes » ou Celtes, et la « forêt de Calydon » ne diffère pas en réalité de celle de « Brocéliande », dont le nom est encore le même, quoique sous une forme un peu modifiée, et précédé du mot « bro » (« pays » en Breton) ou « bor » (ou « boar »), c’est-à-dire du nom même du sanglier. Il est d’ailleurs probable que ce nom des Celtes, comme celui des Chaldéens (ou Kaldéens) qui lui est identique, n’était pas originairement celui d’un peuple particulier, mais celui d’une caste sacerdotale, exerçant l’autorité spirituelle chez différent peuples.

    Notons au passage que le mot « Lycaon », dont la racine grecque ancienne signifie « Loup » (le loup, « lykos », est pris ici dans son aspect lumineux, « lyké »), est presque la parfaite anagramme de « Calydon », cette citée d’Étolie, anagramme d’Étoile…

    « Toi aussi tu es Israël, si tu cherches la Lumière », dit un Rabbi caballiste.

    BLOG : https://livresdefemmeslivresdeverit…

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