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L’impérialisme européiste qui vient de s’appliquer en Roumanie menace de s’appliquer bientôt en Allemagne !

dimanche 12 janvier 2025, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 12 janvier 2025).

https://x.com/myriampalomba/status/…

Vidéo de 19’’

Myriam Palomba - 1:59 PM · 10 janv. 2025 - @myriampalomba

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Incroyable. Le censeur pro européen Thierry Breton vient d’avouer que l’UE avait fait annuler les élections en Roumanie et qu’elle se permettra de le faire aussi en Allemagne si l’AFD gagnait.

Il n’y a donc plus aucune élection libre dans cette Union Européenne de misère ! Le suffrage universel, ils s’en fichent. La soumission, ils l’ont testée pendant le Covid. Soit on se réveille, soit le peuple souverain est définitivement mort. RIP la démocratie. ➡️➡️➡️ FREXIT ou DICTATURE, à nous de choisir ! Et VITE !!!!

Note de do : Je ne suis absolument pas d’extrême droite ; mais, cette vidéo montre tout de même que l’impérialisme européiste est bel et bien au-dessus de tous les États européens, même de l’Allemagne. Ce qui est bien normal, puisque l’impérialisme européiste n’est qu’un camouflage de l’impérialisme américain.

5 Messages de forum

  • Il faut être prudent en ce qui concerne les partis dits "souverainistes" ou "populistes" ou "d’extrême-droite".
    La raison est que l’extrême-droite est divisée, et en Europe en particulier.
    Une partie soutient Poutine contre "l’Empire" et une partie soutient Trump, c’est-à-dire l’hégémonisme US, alias "l’Empire".
    La nébuleuse souverainiste avait pour partie déjà soutenu Trump contre la Chine Populaire dans son premier mandat.

    La direction de l’UE avec la clique Van der Layen est clairement atlantiste, avec Biden ou Trump peu importe. Après il y a des dissensions plus ou moins appuyées parce que les bourgeoisies européennes n’ont pas les mêmes intérêts. Et au sein de ces bourgeoisies il y a parfois des positions différentes.
    De toutes façons l’hégémonisme par définition écrase ses alliés et ça créera nécessairement des oppositions.

    Mais chez les libéraux atlantistes, Poutine = Trump = extrême droite. Le problème c’est que les alliés US ont à leur tête un fasciste Trump et un bras droit tout aussi fasciste Musk. Et la différence entre Trump et Biden c’est que le premier est juste moins hypocrite.

    Bardella a soutenu Herbert Kickl qui serait "pro Poutine", mais Bardella est ouvertement pro Otan.
    Quant à l’AFD en Allemagne ses liens avec Musk sont connus.
    Calin Georgescu est accusé d’avoir des liens avec Poutine, il s’est opposé à l’OTAN et au soutien à l’Ukraine mais idéologiquement il se réfère à Musk.

    A mon avis les fascistes n’ont pas de position unie sur l’hégémonisme et pour la plupart ils se rangeront de ce côté-là.
    Les libéraux démocrates et soc-démocrates sont atlantistes et ils penchent déjà pour les USA quel que soit le président. Et comme ils sont complètement discrédités ils laisseront la place aux fascistes en faisant plus ou moins de bruit.

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  • les aveux de Thierry Breton ne laissent aucune place au doute

    VITE FREXIT

    SUN TZU

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  • La lutte entre les blocs pour le contrôle de la machine à gouverner

    Nous avons assister en 2019 à une première confrontation entre Google et l’entreprise chinoise Huawei, et plus généralement, entre les États-Unis et la Chine, qui semblent être officiellement entrés dans une guerre commerciale de grande ampleur. Google, est le fournisseur du système d’exploitation mobile Android, à ce niveau il a pratiquement le monopole sur la plupart des téléphones mobiles. A l’époque (2019) sous la présidence de Trump Huawei deuxième fabricant mondial de smartphones, sera mis sur une liste noire pour espionnage.

    a annoncé lundi 20 mai 2019 qu’il se conformerait à un décret signé par le président américain Donald Trump

    La gigantesque société américaine Google a fait une annonce choc dimanche 19 mai 2019, en expliquant qu’elle ne fournirait plus de logiciels, de matériel informatique et de services techniques à la société chinoise Huawei Technologies. Un porte-parole de Google a annoncé dans la foulée, sans entrer dans les détails, que l’entreprise "se conformait à l’ordre et examinait les conséquences". Cette annonce surprise fait suite à la décision, mercredi 15 mai 2019, du président américain Donald Trump, d’interdire aux groupes américains de télécoms de commercer avec certaines sociétés étrangères. En plein bras de fer commercial avec la Chine, Huawei Technologies ainsi que certaines de ses filiales ont été jugées "à risque" pour la sécurité nationale et placées sur une liste noire. En effet, deuxième fabricant mondial de smartphones, Huawei est présent dans 170 pays et soupçonné d’espionnage au profit de Pékin, qui aurait largement contribué à son irrésistible expansion internationale.

    Cet événement est à rapprocher de ce qui se passe actuellement dans UE avec ce que nous pouvons appeler l’ affaire Thierry Breton.

    L’ affaire Thierry Breton

    Nous venons d’apprendre le 16 septembre 2024, la démission de Thierry Breton5 de la commission européenne suite à un conflit avec Ursula Von der Leyen.

    En effet Thierry Breton est parfaitement conscient du rôle dominant des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) 6 dans le monde et comptait bien faire surgir au niveau européen non seulement un concurrent au Gafam mais aussi une réglementation du numérique.

    « Thierry Breton, connu pour ses positions fermes contre les GAFAM, semble avoir été jugé trop tranché. Son départ soulève également des questions sur l’équilibre des portefeuilles au sein de la Commission. Celle-ci qui, à contresens des exigences de Von Der Leyen, ne sera pas paritaire. D’autant plus qu’Emanuel Macron a suggéré son ministre démissionnaire des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné » Radio France

    Cependant :

    « Une série de mesures est ainsi en gestation, avec l’ambition de repenser la réglementation. Un accord sur le Digital Markets Act (DMA)7, qui cherche à encadrer le marché du numérique et à limiter les monopoles en imposant des obligations telles que l’interopérabilité des messageries instantanées, vient d’être conclu à Bruxelles. Il s’accompagne du Digital Services Act (DSA), qui encadre les contenus sur Internet, notamment par la lutte contre la fraude et les contenus illégaux en ligne, tandis que le Data Governance Act (DGA) s’attaque à la gouvernance des données.

    Lire aussi Digital Markets Act (2/2) : les empires des géants du Net enfin sous pression ?
    Contrôler l’espace informationnel en légiférant sur les services numériques

    Dans un interview à radio France Thierry Breton explique tout l’ enjeu pour le capital européen de ne pas dépendre des mastodontes américains et chinois.

    "J’ai personnellement réunie l’ensemble du corps judiciaire européen pour commencer à leur expliquer, à les sensibiliser, à les former à tout cela. C’est tout à fait inédit : nous sommes la première démocratie au monde à posséder des règles dans cet espace-là."

    L’Union européenne a également "accès aux données", poursuit Thierry Breton.

    "Nous sommes là encore les premiers à avoir imposé l’obligation d’ouverture de leurs données à l’ensemble des centres de recherche. C’est quelque chose qui existe en Europe et non aux Etats-Unis. Je vais vous citer une anecdote : tous les trimestres ont lieu des réunions avec les Américains appelées ça TTC (Trade and Tech Council). Pendant deux jours, nous nous réunissons avec le secrétaire d’état Anthony Blinken et trois ministres américains pour parler de différents sujets. Évidemment, le règlement du numérique est très important. Lors de la dernière réunion, à Bruxelles, nous avons fait venir des chercheurs américains, parce que c’est en Europe qu’ils avaient accès aux données et non aux Etats-Unis."Radio France

    Pour parvenir à s’imposer face aux américains sur des domaines dits sensibles comme la constitution d’une armée européenne et une autonomie numérique , la partie est mal engagée pour l’ Union Européenne. En effet la principale multinationale Atos est en grande difficultés, voir en quasi faillite.
    Rachat des activités sensibles d’Atos par l’État

    La France a récemment proposé une offre de 700 millions d’euros afin de racheter les activités du géant de l’informatique Atos8 et éviter qu’elles ne tombent entre les mains d’acteurs étrangers.

    "Il me semble qu’il est très important d’avoir en Europe des acteurs européens, de taille européenne et donc de taille mondiale, qui puissent gérer, contrôler, traiter l’ensemble des données des entreprises européennes, souligne Thierry Breton. J’ai constaté que ceux qui maîtrisaient, traitaient ces données, s’octroyaient bien souvent des avantages extraterritoriaux. Je pense en particulier aux Etats-Unis, et à la loi qui a suivi le Patriot Act, permettant aux juges américains, sur simple injonction, d’accéder à des données sans que les utilisateurs ne le sachent." L’objectif d’Atos est donc de "gérer les données de nos entreprises et de nos concitoyens selon nos règles."

    "Bien sûr, admet l’ancien PDG de l’entreprise (2008-2019), la gestion des données est peut-être moins excitante que la conception de grands applicatifs nouveaux, mais c’est fondamental" : un travail de "soutiers". Si l’Etat a fait le choix d’acquérir Atos, c’est "pour pouvoir traiter les données des entreprises européennes de bout en bout. […] Lorsque je l’ai quitté, Atos était le numéro un des supercalculateurs et de la cybersécurité en Europe". En effet, "traiter les données des entreprises européennes c’est aussi les protéger. Atos est devenu donc le premier acteur européen, et troisième acteur mondial en matière de gestion de services de cybersécurité. Premier aussi sur les les serveurs, qui permettent de faire fonctionner les plateformes." Ainsi, le choix du conseil d’administration d’Atos d’entretenir des négociations avec David Layani plutôt que Daniel Kretinsky semble mieux respecter, selon Thierry Breton, "l’intégrité du groupe, importante pour l’Europe."Radio France

    Voila résumé l’ enjeu final pour le capitalisme européen, et de la gouvernance mondiale

    En résumé

    Nous avons démontré qu’avec la cybernétique, nous n’ étions qu’ à la préhistoire de l’ informatisation du monde capitaliste. Nous avons pu nous rendre compte comment l’informatisation de la société s’est faite sur une longue période, pour aboutir à un saut qualitatif dit quatriéme révolution industrielle. Cette révolution a comme caractéristique de remettre en cause la structuration même du capitalisme industriel et financier en le médiatisant, d’imposer un hyper contrôle des populations pour les « sécuriser » en réalite les rendre complètement dépendant de la numérisation mondiale,la technétronique de Bresynsky réalisée et ses aliénations.

    De remettre cause le salariat lui même et tout le l’ état providence,

    Nous voyons que la « silicolonisation de la planète est en marche » comme une force de destruction/créatrice, qui sous des aspects « humanitaires » se présente au niveau politique comme une superstructure étatique mondiale, un trou noir absorbant et réifiant des pans entiers de l’ économie mondiale. Avec les affaires Huawei et Thierry Breton nous avons fait ressortir le niveau des contradictions Chine/USA et Europe/USA pour le contrôle et la régulation du Jack pot mondial.

    Sur le plan de la militarisation du monde, les nouvelles technologies sont elles aussi décisives, nous amenant aux portes d’une conflagration mondiale titanesque.

    G.Bad le 2024

    https://www.touteleurope.eu/economi…

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