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La guerre à Gaza : « C’est Auschwitz. »* (2_vidéos)

dimanche 11 mai 2025, par a_suivre

https://www.youtube.com/watch?v=Pnk…

Ce que le monde doit à Gaza - Christophe OBERLIN - Belkacem_Boboche - 11_mai_2025 - première partie - vidéo_52’27’’

Le 26 avril 2025, l’Association Espace Cadres reçoit CHRISTOPHE OBERLIN pour parler sur le thème : Ce que le monde doit à Gaza.

#palestine #gaza #stop #ceasefirenow

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https://www.youtube.com/watch?v=rJd…

QR : Ce que le monde doit à Gaza - Christophe OBERLIN - Belkacem_Boboche - 11_mai_2025 - deuxième partie - vidéo_42’18’’

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POUR L’HONNEUR DE GAZA

« DES DÉPLACÉS SOUS LES TENTES »

La vie à Gaza est un poème inachevé, où chaque vers évoque la lutte pour la dignité et la paix. C’est un tableau vivant, où la beauté de l’humanité se mêle à la douleur, où l’espoir, tel un phœnix, renaît des cendres des épreuves.

La guerre, bien qu’elle soit un destructeur implacable, révèle aussi la force de l’esprit humain.

Les citoyens de Gaza, des personnes talentueuses, entre autres musiciens, artistes, journalistes, femmes, enfants et hommes, malgré la souffrance infinie donnent vie à leurs inspirations, transformant la douleur en énergie qui transcende le temps.

Ainsi, la vie sous les bombardements, malgré son horreur, devient un témoignage poignant de la lutte pour la paix et la dignité.

Pour l’honneur de Gaza, est un récit de survie, mais aussi d’espoir, où l’amour, et l’attachement à la vie de peuple palestinien à Gaza, illuminent les jours sombres et difficiles depuis plus de 17 mois, rappelant à chacun que, malgré la guerre et la destruction, la vie continue dans les camps et sous les tentes, prouvant que même dans l’adversité, l’esprit humain de « peuple de Gaza » demeure indomptable. Iyad ALASTTAL

Après vous avoir présenté les Gaza Stories voici donc une nouvelle série de courts métrages qui ont pour ambition de montrer Gaza autrement. « Autrement », ça veut dire montrer la vie « en vrai », telle qu’elle est à Gaza, en donnant la parole à sa population. Parler de la vie, des talents, de la joie, et de toutes formes de résistance pacifique.

  • Muhana, l’art contre les colis 8mn
  • Amal, Gaza des rêves expirés 7mn
  • Oday, le dentiste humain 11mn
  • Youcef, le théâtre des marionnettes 10mn
  • Maha, une leçon de vie 6mn
  • Bashar, le chorégraphe 4mn
  • Mohammed, le théâtre pour soigner 7mn
  • Rahaf, Gaza des classes sous les tentes 6mn
  • Mahmoud, le journaliste du camps 12mn

Présences palestiniennes a pour but de faire connaître la culture et la société palestinienne et de favoriser les échanges franco palestiniens. Contact : presences.palestiniennes@laposte.net

Source : https://www.cinemas-utopia.org/avig…

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* La guerre à Gaza : « C’est Auschwitz. »

Le 10 mai 2025, dans l’émission Quelle Époque ! sur France 2, Thierry Ardisson a prononcé une phrase qui pourrait marquer un point de bascule dans le traitement médiatique de la guerre à Gaza : « C’est Auschwitz. »

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Cette déclaration, lancée face à Léa Salamé, n’est pas anodine. Elle s’accompagne d’un avertissement lourd de sens :

« On nous dira : “Vous le saviez.” Nos enfants et petits-enfants nous diront : “Vous le saviez, et vous n’avez rien fait.” »

Ardisson, connu pour son flair médiatique, semble avoir mesuré le poids historique de ses mots. Et surtout, leur portée dans un paysage médiatique français longtemps frileux sur la question israélo-palestinienne. Il sait très bien qu’il peut parler. S’il le fait maintenant, c’est pas par hasard. Avant, il se taisait. Là, il sent que le vent a tourné. Mais ça risque de lui poser des problèmes.

Un climat de retournement : de la fidélité à Israël à la dénonciation du carnage à Gaza

La sortie de Thierry Ardisson survient dans un contexte particulier. Depuis quelques jours, des figures médiatiques, jusque-là perçues comme proches d’Israël, opèrent un revirement inattendu. Delphine Horvilleur et Anne Sinclair ont récemment publié des prises de position critiquant ouvertement les opérations militaires israéliennes à Gaza. Elles parlent désormais de

« faillite morale » et de « catastrophe humanitaire »,

un langage qu’on n’aurait jamais imaginé entendre de leur part il y a encore quelques mois.

Le silence de certains, la parole libérée d’autres

Le phénomène n’est pas seulement médiatique. Il est aussi moral. Ardisson, qui fut autrefois contraint d’écarter Dieudonné et Alain Soral de ses émissions pour ses positions critiques à l’égard d’Israël, semble aujourd’hui vouloir rattraper ce que d’aucuns considèrent comme des années de silence imposé.

En prenant la parole aujourd’hui, il s’expose aux accusations d’antisémitisme et devra certainement faire techouva, mais il confirme aussi ce que beaucoup pensent tout bas : le sionisme politique est en perte de légitimité.

Et dans cette dynamique, ceux qu’on a réduits au silence pendant des décennies — comédiens, journalistes, artistes, intellectuels — vont reprendre la parole. Avec des mots lourds, parfois tranchants, souvent douloureux, mais qui témoigneront d’une rupture.

Le vent a tourné du côté des États-Unis… et les girouettes suivent le mouvement. Donald Trump ne posera pas le pied en Israël lors de sa tournée au Moyen-Orient qui débute le 13 mai.

La Maison-Blanche multiplie les annonces de négociations, voire d’accords, avec des ennemis d’Israël : le Hamas, les Houthis du Yémen, l’Iran. Et ce, sans coordination avec le gouvernement Netanyahou.

La parole se libère. Les masques tombent. Et ceux qui avaient été forcés au silence, parfois humiliés pour leurs prises de position, voient aujourd’hui leur discours validé, ou du moins, entendu.

par Le Média en 4-4-2

Source : https://lemediaen442.fr/thierry-ard…

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