Macron : de la start-up nation à la promotion de l’euthanasie avec Rémy Watremez - Idriss J. Aberkane - 14_mai_2025 - vidéo_2h07’
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Arguments de Rémy Watremez, de Juste-Milieu, contre le projet de loi sur la fin de vie :
- Risque de dérives éthiques : La légalisation de l’« aide à mourir » pourrait conduire à des abus, notamment pour les personnes vulnérables (âgées, handicapées), comme observé dans des pays comme la Belgique.
- Pression sociale implicite : Les patients pourraient se sentir obligés de choisir la mort par manque de soutien ou pour ne pas être un « fardeau » pour leurs proches.
- Insuffisance des soins palliatifs : Avec 180 000 patients sans accès à des soins palliatifs de qualité, l’État pousse l’euthanasie comme une solution de facilité au lieu d’investir dans l’accompagnement.
- Méfiance envers l’État : Watremez, critique des politiques macronistes, voit dans ce projet une volonté de l’État de contrôler la vie et la mort, au détriment de la liberté individuelle.
- Ambiguïté du texte : Les termes flous (« aide à mourir ») et les amendements comme celui sur les souffrances psychologiques risquent d’élargir l’application de la loi de manière incontrôlée.
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Suicide assisté : comment fonctionne la mini-cabine pour se donner la mort qui pourrait être utilisée "très bientôt" en Suisse
Une capsule d’assistance au suicide, qui permet de s’ôter soi-même la vie sans l’aide d’un médecin, pourrait être utilisée "très bientôt", selon l’association qui la promeut, soulevant toutefois de vives inquiétudes en Suisse où elle pourrait être mise à disposition pour la première fois.
Créée il y a quelques mois, l’association appelée The Last Resort n’a pas souhaité dire exactement "où", "quand", ni "qui" l’utilisera pour la première fois, précisant toutefois lors d’une conférence de presse à Zurich qu’il est envisageable que le premier décès dans cette capsule intervienne d’ici la fin de l’année.
"C’est tout ce nous pouvons dire", a déclaré Dr. Fiona Stewart, sociologue spécialisée dans les questions de santé publique, et membre consultative du conseil d’administration de l’association, car "nous ne voulons vraiment pas que le désir d’une personne de s’éteindre paisiblement en Suisse tourne au cirque médiatique", a-t-elle affirmé.
Le suicide médicalement assisté est possible dans le pays alpin, mais cette capsule à l’aspect futuriste fait des remous depuis que le journal NZZ am Sonntag a révélé début juillet 2024 qu’elle pourrait être utilisée pour la première fois sur le sol helvétique.
"Après deux ou trois respirations" Appelée "Sarco" pour sarcophage, cette capsule se présente sous la forme d’une mini-cabine dans laquelle doit s’allonger la personne qui souhaite mettre fin à ses jours.
Elle doit actionner elle-même le bouton après avoir répondu à une série de questions pour confirmer qu’elle comprend ce qu’elle fait et libérer de l’azote dans la capsule.
"Après deux ou trois respirations, elle perdra conscience et mourra quelques minutes plus tard", a décrit Mme Stewart.
"Totalement surréaliste" Un examen psychiatrique pour prouver que la personne est en pleine possession de ses moyens sera nécessaire.
L’association prévoit de donner accès aux plans pour fabriquer la capsule à l’aide d’une imprimante 3D aux personnes âgées d’au moins cinquante ans, même si les demandes de personnes plus jeunes sérieusement et physiquement malades pourront être prises en considération.
L’azote nécessaire coûte 18 francs suisses (18,60 euros).
Dans un "endroit isolé" Le premier suicide à l’aide de cette capsule devrait avoir lieu dans un "endroit isolé", "face à la beauté de la nature", sur un terrain "privé", a précisé Mme Stewart.
"Je ne peux pas songer à plus belle façon de respirer de l’air sans oxygène jusqu’à sombrer dans un repos éternel", a déclaré Florian Willet, son directeur général et vice-président, qui a ouvert la conférence en expliquant qu’il comptait lui-même l’utiliser un jour.
Le "Sarco" Un premier suicide pourra être programmé "dès qu’il y aura une personne spécifique et que tout le monde sera au clair sur cette personne". Et "dans la mesure où il y a des gens qui font la queue, en demandant à utiliser le "Sarco", il est très probable que cela aura lieu très bientôt", a-t-il ajouté.
Les autorités du Valais s’y sont toutefois opposées par le biais d’une "mesure provisionnelle préventive dans un but de santé publique", en attendant d’obtenir "des renseignements et des informations plus conséquentes sur le dispositif et son utilisation", a expliqué sur les ondes de la RTS Cédric Dessimoz, le médecin cantonal adjoint de cette partie de la Suisse où un premier suicide avait été envisagé, selon la NZZ am Sonntag.
Car la capsule développée par Philip Nitschke, un ancien médecin australien connu pour ses positions controversées sur le suicide et la fin de vie, est loin de faire l’unanimité.
"C’est totalement surréaliste", a réagi Jean-Jacques Bise, le co-président d’Exit, un des organismes suisses qui fournit une assistance médicalisée au suicide.
Elle risque de bouleverser le cadre légal Le suicide avec assistance médicalisée est aujourd’hui réservé aux personnes exposées à de grandes souffrances liées à un état pathologique, une maladie des suites d’un accident.
Or selon lui, cette capsule risque de bouleverser le cadre légal dans lequel opèrent les organismes qui fournissent une aide médicalisée pour mourir "dans la dignité".
"S’il y a des dérapages, les politiciens envisageront de faire une législation qui sera certainement beaucoup plus stricte", estime-t-il.
"Si un jour, on vient à aider des gens à mettre fin à leur jour uniquement sur leur auto-détermination, il faudra que ce soit une décision prise démocratiquement", selon lui.
AFP - Publié le 18/07/2024 - Midi-Libre
Source : https://www.midilibre.fr/2024/07/18…
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"Tu vas bientôt mourir, tu n’as plus besoin d’argent" : le première cliente de la capsule du suicide dénonce les pressions de l’inventeur
Le première cliente de la "capsule du suicide" s’est finalement rétracté, dénonçant les pratiques plus que discutables de la société des exploitant.
Elle devait mourir prochainement. Une Américaine atteinte de surpoids et de plusieurs maladies : tout d’abord mais aussi de polyneuropathie et d’une maladie du système nerveux. Elle décide d’écourter ses soufrances d’avoir recours au suicide assisté, avec la "capsule du suicide" qui fait tant polémique. Mais elle a décidé de se rétracter et a dénoncé dans une lettre les pratiques de l’exploitant de la capsule, indique Blick.
"Des soins psychiques plutôt qu’une aide au suicide" L’Américaine avait quitté son État et avait pris la direction de la Suisse pour mettre fin à ses jours. Arrivée sur place, les choses ne se passent pas comme prévu. Elle met en avant l’"exploitation financière" de l’inventeur de la machine qui fait scandale.
"Le cirque médiatique était constant, alors que je devenais de plus en plus malade et faible. J’ai tout sacrifié et j’ai épuisé toutes les ressources, en pensant que Sarco [la capsule] m’offrirait une fin paisible. Si j’avais su que des personnes sans cœur qui tenaient mon destin entre leurs mains n’étaient motivées que par leur marketing, je ne me serais jamais soumise à cette épreuve", se désole-t-elle.
Elle indique également que les frais auraient été à sa charge, au sein d’un hôtel de luxe. Cette dernière aurait ainsi dépensé près de 7 000 dollars pour cinq nuits. "Tu vas bientôt mourir, alors tu n’as plus besoin de ton argent", lui aurait lâché la femme de l’inventeur de la "capsule à suicide", Philip Nitschke.
De son côté, la société se défend et réfute toutes accusations. "Compte tenu de sa situation, il est clair que cette personne devrait désormais recevoir des soins psychiques plutôt qu’une aide au suicide", a déclaré Philip Nitschke.
Un "Sarco" Créée il y a quelques mois, l’association appelée The Last Resort n’a pas souhaité dire exactement "où", "quand", ni "qui" l’utilisera pour la première fois. Appelée "Sarco" pour sarcophage, cette capsule se présente sous la forme d’une mini-cabine dans laquelle doit s’allonger la personne qui souhaite mettre fin à ses jours.
Elle doit actionner elle-même le bouton après avoir répondu à une série de questions pour confirmer qu’elle comprend ce qu’elle fait et libérer de l’azote dans la capsule.
"Après deux ou trois respirations, elle perdra conscience et mourra quelques minutes plus tard", a décrit Mme Stewart.
THOMAS LORENTZ - Publié le 01/08/2024 - Midi-Libre
Source : https://www.midilibre.fr/2024/08/01…
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Euthanasie avec Irène Ismaïloff et Thomas Séraphine - Les films à l’arrache - 13_avril_2025 - vidéo_2’32
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LOI EUTHANASIE : Homicide légalisé pour les gens qui ne sont rien et suicide assisté pour les gens qui réussissent ? (vidéo_22’18’’)
📢 LOI EUTHANASIE : Suicide assisté ou Homicide légalisé ? [DÉCODAGE] - Fabien_Moine - Exuvie_TV - 12_mai_2025 - vidéo_22’18’’
« On ne prend plus de nouveaux patients, mais on peut vous aider à mourir ! » |
À Toulouse, qui serait la 4e ville de France, pour trouver un médecin traitant sur Doctolib, Resalib ou sur KelDoc, c’est devenu le parcours du combattant. La réponse qui revient systématiquement lorsque l’on veut prendre un rendez-vous : « ce soignant réserve la prise de rendez-vous aux patients déjà suivis ».
Aussi, pour résoudre ce problème notre gouvernement nous propose de diminuer la population en organisant une bonne guerre contre la Russie ou l’Algérie (à définir) et en faisant voter par nos députés et sénateurs une loi sur l’euthanasie.
Plutôt que de se préoccuper de la vie de ses concitoyens, notre gouvernement préfère se préoccuper de leur mort et ose nous présenter la chose comme une avancée sociale, un progrès éthique en ce qui concerne cette loi sur l’euthanasie.
Comme la population mondiale continue d’augmenter - de 5 milliards en 1987, nous étions 8,2 milliards en 2024 - le grand public n’y verra que du feu et notre gouvernement, lui y verra de substantielles économies pour la CAF, la SÉCU et pour les caisses de retraite…
A_suivre
Note de do : La religion interdit l’avortement et le suicide.
Le droit à mourir, c’est comme le droit à l’avortement. Les femmes avortaient dans des conditions horribles à l’époque où l’avortement était interdit. Aujourd’hui, les gens qui veulent mourir doivent le faire souvent dans des conditions horrible parce que l’aide à mourir est illégale.
C’est la droite et l’extrême droite qui étaient contre l’avortement. Ce sont les mêmes qui tiennent à ce qu’on vive son agonie jusqu’au bout !
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Euthanasie : ils ne savent plus quoi inventer pour nous exterminer… (vidéo_42’23’’)
Censure, manipulation, franc-maçonnerie, euthanasie, pire que le Covid… - Juste_Milieu - 9_mai_2025 - vidéo_42’23’’
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🔥 SIGNEZ - RELAYEZ la pétition contre l’euthanasie sans limite ICI ⏩ https://info.juste-milieu.fr/contre…
Note de do : je fais un commentaire à cette vidéo concernant la Franc-Maçonnerie. Cliquer ci dessous pour le lire.