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Euthanasie pour faire des économies (PDF)

mercredi 21 mai 2025, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 21 mai 2025).

Note de do : Je pense qu’il ne faut pas trop faire de parano, non plus. Quand je serai au bout, je ne vois pas pourquoi on devrait à grand frais prolonger mes souffrances le plus longtemps possible. Dans la loi, il sera dit que c’est le patient lui-même qui devra prendre la potion finale de sa volonté propre. C’est clair, non ? Alors certes cela fera des économies pour l’État, mais ça m’en fera surtout à moi qui souffrirait moins longtemps ! de même que la droit et l’extrême droite ont dû être combattu pour obtenir le droit à l’avortement libre et gratuit, C’est encore eux qui manipulent pour empêcher la loi de passer. il ne faut pas tomber dans leur piège.

La religion interdit l’avortement et le suicide :

https://mai68.org/spip3/spip.php?ar…>

Réponse de Fred, l’auteur de l’article :

Bien entendu, je suis aussi d’accord avec tes remarques, mais justement ils s’appuient là-dessus.

Dans le contexte actuel, je préfère que la norme soit l’absence d’autorisation sachant que ça se fait quand même, plutôt que d’avoir à faire à des abus comme ceux du rivotril sur les plus faibles, ça me révulse. Et regarde le texte qu’ils ont voté : serait inscrit "mort naturelle". On falsifie la réalité !

https://x.com/michel_viot/status/19…


Argentat, le 11 mai 2025

Bonjour,

Vous vous souvenez que pendant la manipulation covid, des soignants ont injecté du Rivotril à des milliers de personnes dans les EPAHD. Sous prétexte d’abréger des souffrances, on ne soignait plus en décrétant qu’il n’y avait plus rien à faire, on tuait. Si vous ne vous en souvenez pas, si vous n’avez pas connaissance de cela, sachez qu’en France, on a utilisé du Rivotril, parce qu’il n’y avait plus de stock de Midazolam à cause de l’Angleterre en avait raflé tous les stocks. Témoignages des proches de ces victimes :

https://x.com/LE_GENERAL_FR/status/…

+ voir le livre d’Eusèbe Rioché "COVID-19 Guerre ouverte contre les peuples" Résurgence 2023 pour les détails administratifs du processus de légalisation et de dissimulation du projet de mise à mort.

L’ambiance n’a pas changé ! Officiellement, le gouvernement a bien fait de prendre toutes les mesures qu’il a prises. On trouve encore beaucoup de gens qui croient aux bonnes intentions du gouvernement (ce qui constitue un véritable complot d’ailleurs). Donc, ils continuent sur la lancée, ils enchainent : ce ne sont plus les malades estampillés covid, c’est monsieur madame tout-le-monde qui est susceptible d’être "pris en charge" par les soignants tueurs.

Vous êtes en dépression parce que vous prenez des anti-dépresseurs. Vous êtes "en fin de vie", parce qu’on va vous tuer, potentiellement sans votre avis, ni celui de votre famille. Tout est permis, c’est open bar. Vous ne le croyez pas possible ?

En fichier joint à ce mail, la lettre du soignant Mercier qu’il propose d’expédier à tous vos parlementaires. Voir son explication ici : Ohé ohé les amis C’est certainement mon tweet le plus important Si rien n’est fait, je vous le dis de l’intérieur "Des générations de #soignantstueurs seront formés dès la fin de l’été 2025".

https://x.com/Art50Mercier/status/1…

"Juste Milieu" nous alerte aussi sur ce qui est en train d’être préparé à l’assemblée nationale. Avec une pétition pour suivre ce qu’il va faire.

https://juste-milieu.fr/euthanasie-…

Analyse de Grégor Puppinck : « Double discours interne, d’un côté on essaye de rassurer, mais ensuite une fois qu’on a brisé l’interdit de tuer, et bien alors on reviendra tous les ans pour aller sans cesse plus loin. C’est ça la tactique des militants de l’euthanasie… »

https://x.com/mk_polis/status/19201…

"La stratégie du « pied-dans-la-porte » pour faire évoluer les lois républicaines en appliquant un progressisme luciférien de type "non serviam", en dehors de toute consultation du peuple profane, n’est pas une légende complotiste. Voici une archive montrant le Dr Jean-Louis Touraine expliquer calmement qu’il faudra revenir tous les ans pour faire progresser le projet mortifère (pour votre bien) : « Une fois qu’on aura mis le pied dans la porte, il faudra revenir tous les ans et dire on veut étendre ça ! »

https://x.com/mk_polis/status/19209…

J’arrête là, c’est pas exhaustif mais ça devrait suffire pour avertir vos proches : il ne faut pas que cette loi passe (voir le positif et le négatif dans la lettre du soignant Mercier en PDF ci-dessous).

Fred Boutet

4 Messages de forum

  • Euthanasie pour faire des économies (PDF) 21 mai 21:21, par a_suivre

    Bonjour Do,

    « Dans la loi, il sera dit que c’est le patient lui-même qui devra prendre la potion finale de sa volonté propre. C’est clair, non ? »

    En effet, c’est très clair, mais cela existe déjà :

    - La loi du 9 juin 1999 vise à garantir le droit d’accès pour tous au soulagement de la douleur et à des soins palliatifs en fin de vie.

    - La loi du 4 mars 2002, dite loi Kouchner et première loi relative aux droits des malades, précisait clairement le droit au refus de traitement et instituait le droit à désigner une personne de confiance, mais restait silencieuse sur la question de la fin de vie proprement dite.

    - La loi de 2005, dite loi Leonetti et première loi spécifique à la fin de vie, introduit l’interdiction de l’obstination déraisonnable.

    Tout patient est en droit de considérer qu’un traitement constitue pour lui une obstination déraisonnable et peut le refuser, même si ce refus peut avoir des conséquences vitales. Il a alors le droit de bénéficier d’un accompagnement palliatif.

    Surtout, la loi impose cette interdiction d’obstination déraisonnable aux équipes soignantes, ce qui leur permet d’arrêter les traitements chez un patient qui n’est plus en état d’exprimer sa volonté, lorsqu’elles estiment que leur poursuite n’a plus de sens sur le plan médical et à condition d’en avoir discuté préalablement dans le cadre d’une procédure collégiale.

    La loi de 2005 a aussi rendu possible la rédaction de directives anticipées, qui permettent au patient d’exprimer ses volontés en matière de décision relative à la fin de vie pour le cas où il ne pourrait plus le faire lui-même. Mais en 2005, ces directives anticipées ne sont valables que 3 ans et ont seulement une valeur d’information pour le médecin, elles ne s’imposent pas à lui.

    Le 2 février 2016, la loi Claeys-Leonetti crée de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie.

    Les directives anticipées sont revalorisées, elles n’ont plus de condition de durée et elles deviennent contraignantes pour le médecin, sauf cas exceptionnel.

    Le rôle de la personne de confiance est lui aussi renforcé.

    La loi ouvre également la possibilité pour le patient de demander l’accès à une sédation profonde et continue jusqu’au décès.

    L’accès à ce droit est encadré par des conditions très strictes : le patient doit souffrir de façon insupportable et son décès doit être reconnu comme inévitable et imminent.

    L’accès à la sédation profonde et continue jusqu’au décès est lui aussi conditionné par une discussion en procédure collégiale pour vérifier que la situation du patient rentre bien dans le cadre des conditions prévues par la loi.

    Pour voir et entendre l’évolution du cadre législatif, consultez la première séquence du MOOC du Centre National Fin de Vie Soins Palliatifs

    Source & suite : https://www.parlons-fin-de-vie.fr/m…

    ---

    Même si ces protocoles ne sont pas parfaits, ils ont le mérite d’exister et je ne vois pas ce que Macron et sa clique - qui nous ont prouvé, depuis 2017, qu’ils transforment en merde tout ce qu’ils touchent - vont améliorer, alors qu’ils continuent à détruire les centres hospitaliers, et qu’il est devenu de plus en plus difficile dans certaines villes de trouver un simple médecin traitant…

    Comment peux-tu faire confiance à ce nouveau projet d’euthanasie "sans limite" d’Emmanuel Macron & du Dr Jean-Louis Touraine ?

    http://mai68.org/spip3/spip.php?art…

    Longue vie à toi Camarade !

    "Quand l’un d’entre eux manquait a bord,
    C’est qu’il était mort.
    Oui, mais jamais, au grand jamais,
    Son trou dans l’eau n’se refermait,
    Cent ans après, coquin de sort !
    Il manquait encor."

    A_suivre

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  • salut Do

    Bien entendu, je suis aussi d’accord avec tes remarques, mais justement ils s’appuient là-dessus.

    Dans le contexte actuel, je préfère que la norme soit l’absence d’autorisation sachant que ça se fait quand même, plutôt que d’avoir à faire à des abus comme ceux du rivotril sur les plus faibles, ça me révulse.
    Et regarde le texte qu’ils ont voté : serait inscrit "mort naturelle". On falsifie la réalité !

    https://x.com/michel_viot/status/19…

    fred

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  • Euthanasie pour faire des économies (PDF) 21 mai 23:29, par a_suivre

    Soleil Vert 2.0 : quand la réalité frôle la fiction

    Auteur : Xavier Azalbert, France-Soir
    Publié le 21 mai 2025

    La réalité est-elle en train de rejoindre, voire de dépasser, la dystopie du film Soleil Vert ?

    Le projet de loi français sur la fin de vie, en cours de discussion, soulève cette question troublante. En légalisant l’euthanasie active et le suicide assisté pour les patients en phase terminale d’une maladie incurable – sous conditions strictes comme le consentement éclairé et l’avis médical collégial –, ce texte promet de soulager les souffrances. Mais il instaure aussi un délit d’entrave à l’euthanasie, punissant jusqu’à 7 ans de prison toute tentative de dissuasion, une mesure qui menace la liberté d’expression et le débat éthique.

    Les déclarations d’un des défenseurs du projet, Jean-Louis Touraine, laissent craindre une dérive vers une vision utilitariste de la vie humaine, où le droit de vivre serait conditionné par des critères toujours plus larges.

    Une stratégie d’extension progressive

    En 2024, Jean-Louis Touraine, ancien député et figure influente du débat sur la fin de vie, rapporteur du projet de loi en 2019, a dévoilé une stratégie inquiétante.

    Selon lui, la première version de la loi exclura les mineurs, les maladies psychiatriques et les cas de démence comme Alzheimer. Mais il ajoute : « Une fois qu’on aura mis le pied dans la porte, il faudra revenir tous les ans et dire : “On veut étendre ça.” » (1). Cette approche, qu’il présente comme pragmatique, révèle une ambition : élargir progressivement les critères d’éligibilité à l’euthanasie, jusqu’à inclure des cas aujourd’hui exclus.

    Ces propos soulèvent une question cruciale : qui décide des lois en France ?

    Touraine, bien que n’étant plus député depuis 2022, semble jouer un rôle clé dans l’orientation de ce projet, au point de revendiquer une influence sur son évolution future. Cette posture interroge la transparence du processus législatif et le rôle des lobbies dans les débats éthiques.

    Les leçons de Soleil Vert

    Dans Soleil Vert (1973), la société dystopique de 2022 normalise l’euthanasie volontaire pour gérer la surpopulation et la pénurie de ressources, tout en dissimulant une réalité inhumaine : les corps des euthanasiés sont transformés en nourriture.

    Si le parallèle peut sembler extrême, il souligne un risque réel : celui d’une déshumanisation progressive, où la valeur de la vie serait subordonnée à des critères utilitaires.

    En Belgique, où l’euthanasie est légale depuis 2002, les cas ont bondi de 12 % en 2023.

    Les cas pour souffrances psychiatriques (dépression, troubles bipolaires) ont eux augmenté, représentant 1 % des euthanasies en 2022 (Rapport fédéral belge, 2023 et 2024). Ce précédent illustre la « pente glissante » redoutée par les opposants au projet français.

    Un délit d’entrave : une menace sur la liberté

    Le projet de loi va plus loin en créant un délit d’entrave à l’euthanasie, punissant de 7 ans de prison et 100 000 € d’amende toute tentative de dissuader une personne de recourir à l’euthanasie (France Soir, 14 mai 2025).

    Cette mesure, présentée comme une protection du choix individuel, risque de museler les voix discordantes.

    Familles, amis ou soignants qui proposeraient des alternatives – comme les soins palliatifs – pourraient être accusés d’entrave, même dans un cadre privé.

    Ce délit menace la liberté d’expression et instaure un climat de méfiance, où le débat éthique serait réduit à une pensée unique. Dans Soleil Vert, l’État contrôle les esprits en imposant des vérités officielles ; ce délit nous en rapproche dangereusement.

    Un précédent troublant : la crise covid

    Jean-Louis Touraine n’en est pas à son premier combat controversé.

    Durant la crise Covid, alors député LREM, il s’est illustré par son zèle à défendre la vaccination obligatoire. En juillet 2021, il affirmait sur Sud Radio : « Tous les gens de bonne volonté savent qu’il s’agit d’un très bon vaccin qui a des mérites indiscutables. »

    Pourtant, les données ultérieures ont nuancé ces certitudes, révélant une efficacité limitée contre la transmission et des effets secondaires rares mais graves.

    Plus troublant, Touraine a soutenu une obligation vaccinale pour certains citoyens tout en exemptant les parlementaires, déclarant à l’Assemblée nationale : «  Il ne peut y avoir en ce domaine la moindre liberté. » Cette rhétorique autoritaire jette une ombre sur son approche actuelle de la fin de vie.

    Les arguments des défenseurs et leurs limites

    Les promoteurs du projet, dont Touraine, invoquent le droit à mourir dans la dignité pour les patients en fin de vie, confrontés à des souffrances insupportables.

    Cet argument, légitime en apparence, ignore les alternatives comme les soins palliatifs, qui, selon l’Association française pour les soins palliatifs (SFAP), ne sont accessibles qu’à 20 % des patients éligibles en France.

    De plus, les garde-fous proposés – consentement, avis médical – pourraient s’éroder avec le temps, comme l’a montré l’expérience belge, où des euthanasies ont été pratiquées sur des patients non terminaux sans consensus clair.

    Vers une mobilisation citoyenne

    Le projet de loi sur la fin de vie n’est pas, en l’état, une réplique de Soleil Vert.

    Mais les déclarations de Touraine et l’instauration du délit d’entrave alertent sur un risque : celui d’une normalisation progressive de l’euthanasie, où des catégories entières de personnes – mineurs, malades psychiatriques, déments – pourraient être jugées « indignes » de vivre, et où le débat serait étouffé par la peur de sanctions. Ce scénario, s’il reste hypothétique, exige une vigilance collective.

    Plutôt que de céder à une logique utilitariste, la France doit investir dans les soins palliatifs, garantir un débat public transparent et protéger la liberté d’expression.

    Car, comme dans Soleil Vert, c’est en laissant les élites décider seules que la société risque de perdre son humanité. Mobilisons-nous pour que la réalité ne dépasse pas la fiction.

    1) « On obtiendra pas tout de suite, dans la première loi ; parce que vous avez vu la frilosité que notre pays véhicule sur ces questions-là. Il faut tenir le plus possible.

    Et surtout ! Une fois qu’on aura mis le pied dans la porte, il faudra revenir tous les ans et dire «  On veut étendre ça.  »

    Parce que ; je ne vous apprends pas quelque chose, probablement, à la plupart d’entre vous ; dans la première loi, il n’y aura pas les mineurs, dans la première loi, il n’y aura pas les maladies psychiatriques, dans la première loi il n’y aura même pas les maladies d’Alzheimer. Donc tout ça ne viendra pas tout de suite. Mais dès qu’on aura au moins obtenu une loi, pour ceux qui ont une maladie de Charcot, pour certaines formes de tumeur généralisée, pour ceci, pour cela, après on pourra étendre les choses en disant « C’est quand même pas normal, que y ait des malades, des Français, parce qu’ils ont telle forme de maladie, qui ont droit, et des autres qui y ont pas droit. Donc il faudra introduire cette légalité.  »

    Source : https://www.francesoir.fr/opinions-…

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  • Euthanasie pour faire des économies (PDF) 22 mai 08:46, par gilles

    Salut do, fred et a_suivre !

    Il s’agit en prévision d’un combat futur d’éliminer les inutiles au combat. Que ce soit les inutiles au combat de la production, rappelez-vous pendant le COVID, des notions de "travailleurs essentiels" et de "travailleurs en première ligne" ou bien les inutiles au combat militaire.

    Il s’agit de concentrer ses forces pour des futurs combats de haute intensité comme l’avaient déjà fait les nazis avant la Seconde Guerre Mondiale en éliminant les malades mentaux et d’autres types de population dont les nazis jugeaient qu’ils les affaibliraient dans leurs combats.

    En effet, comment soigner rapidement des blessés en nombre alors que les structures de soins et d’accueil sont déjà occupés par la partie affaiblie de la population ?

    Cette loi affiche clairement ses buts d’élimination de la partie affaiblie de la population et cela tombera bien plus souvent sur des gens pauvres et isolés que sur Bernard Arnaud, Arnaud Lagardère et consorts …

    Comme loi de classe, on peut difficilement faire mieux.

    Quant à l’aspect individuel, les lois actuelles découragent l’acharnement thérapeutique, alors, c’est vite vu : si tu es très vieux et malade, le simple arrêt des soins amène une mort rapide.

    Je signale une pétition dénommée : « Contre le projet de loi actuel sur l’aide active à mourir » :
    https://petitions.assemblee-nationa…

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