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OMS - Le Traité Pandémie adopté le 20 mai 2025 est extrêmement dangereux pour la liberté

mercredi 4 juin 2025, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 4 juin 2025).

Note de do : Si l’extrême gauche laisse à l’extrême droite le privilège de défendre la liberté ; alors, c’est l’extrême droite qui va l’emporter. Ce texte provient malheureusement de l’extrême droite. Je le publie pour deux raisons : montrer le danger pour la liberté que présente le Traité Pandémie, ET montrer que l’extrême gauche a pris du retard par rapport à l’extrême droite dans la dénonciation de ce traité.


Ce que cache vraiment le traité sur les pandémies : l’interview-choc de Christine Anderson, députée européenne

https://www.breizh-info.com/2025/06…

4 juin 2025

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Le 20 mai, l’assemblée mondiale des États membres de l’Organisation mondiale de la santé a finalement adopté le « Pandemic Agreement » (accord sur les pandémies), plus connu sous le nom de « Pandemic Treaty » (traité sur les pandémies), le premier traité international complet visant à harmoniser la réponse mondiale aux pandémies sous la direction centrale de l’OMS. Il semble y avoir beaucoup de confusion quant à la mesure dans laquelle les États membres ont renoncé à leur souveraineté et quant à l’objectif réel de ce traité. Christine Anderson, députée européenne de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), s’est entretenue avec europeanconservative.com afin de faire la lumière sur la véritable nature de cet accord (traduction par nos soins)

Christine Anderson représente l’AfD au Parlement européen depuis 2019. Elle s’est fait connaître internationalement pendant la pandémie de COVID-19 pour avoir défendu sans relâche les libertés fondamentales contre les restrictions imposées à l’échelle mondiale. Les murs de son petit bureau au Parlement sont recouverts de lettres et de dessins d’enfants – des messages de gratitude provenant d’aussi loin que le Japon – ainsi que d’un immense drapeau canadien qui a flotté à Ottawa pendant le blocage des camionneurs en 2022.

Lorsqu’il a été proposé pour la première fois, le traité pandémique de l’OMS a fait l’objet d’un débat public houleux. Mais maintenant qu’il a été approuvé, tout le monde reste étrangement silencieux, et je pense que c’est parce que personne ne comprend vraiment ce qu’il implique.

Christine Anderson : En effet, l’ensemble du texte est volontairement ambigu, mais il s’agit essentiellement d’une question de pouvoir et de contrôle. Et il est surprenant de voir toutes ces prétendues démocraties occidentales accepter d’être dépouillées de leur pouvoir. Les gouvernements élus, qui sont les seuls représentants exécutifs du peuple, renoncent volontairement à leurs pouvoirs et les confient à un organisme non élu et non responsable. Quand on y réfléchit bien, pourquoi feraient-ils cela ?

Eh bien, je pense que la réponse est très simple, et ils l’ont découvert pendant la pandémie de Covid. La commission spéciale COVID-19 du Parlement européen a été baptisée « Leçons apprises », mais elle n’essayait pas de comprendre où nous avions fait erreur, quelles restrictions nous avions imposées qui n’étaient pas justifiées, etc. Non, ce qu’elle essayait de comprendre, c’était « Où avons-nous échoué à faire en sorte que les gens se contentent de faire ce qu’on leur dit ? ».

Ils ont été stupéfaits de constater qu’il y avait autant d’opposition, et leur objectif était donc de remédier à cela. Car nos gouvernements auraient adoré nous imposer des restrictions beaucoup plus sévères, mais ils ne pouvaient pas le faire en raison de la réaction négative de l’opinion publique. En tant qu’élus, ils devaient se présenter à des élections à un moment donné, et ils devaient donc simplement s’abstenir d’imposer des mesures plus strictes, sous peine d’être remplacés. Ils ont donc compris que s’ils confiaient ces pouvoirs à l’OMS, les représentants élus pourraient s’en laver les mains et dire : « Ce n’est pas nous qui avons fait ça, c’est l’OMS ! » En substance, le traité sur les pandémies vise à fournir aux gouvernements un déni plausible.

L’accord accorde-t-il vraiment à l’OMS des pouvoirs étendus sur ses États membres ?

Christine Anderson :Oui, il transfère certains pouvoirs en cas de pandémie. Ce qui est pratique, car l’OMS est le seul organisme compétent pour déclarer une pandémie, et elle a même modifié les critères pendant la COVID-19, de sorte qu’elle peut désormais la déclarer quand elle le souhaite. Dès qu’elle le fait, le Règlement sanitaire international et désormais ce traité entrent en vigueur, ce qui signifie que l’OMS définit les restrictions qui seront imposées et que les gouvernements qui ont ratifié le traité sont tenus de les respecter. Elle pourra imposer des couvre-feux, des confinements, le port obligatoire du masque ou la vaccination obligatoire. Elle pourra également censurer les réseaux sociaux, décider de ce qui constitue une « fausse information » ou de la « désinformation », et les interdire. Et je tiens à souligner que les gouvernements ont volontairement donné à l’OMS le pouvoir de le faire en approuvant ces accords.

ADF International, un groupe mondial de défense de la liberté d’expression, a récemment publié une déclaration saluant le fait que les aspects contraignants de la censure aient été supprimés de la version finale. Cependant, le traité encourage la création future de systèmes mondiaux de surveillance numérique.

Christine Anderson : Or, il n’y a qu’un pas entre encourager quelque chose et l’imposer ; le texte est délibérément conçu pour servir de tremplin. Ils ont compris que s’ils disaient d’emblée qu’ils voulaient imposer des mesures, celles-ci risquaient de ne pas être approuvées, mais qu’en se contentant de « suggérer » ou « encourager » quelque chose, ils pouvaient ouvrir la voie à des obligations ultérieures. Il leur suffit de déclarer une crise « exceptionnellement » grave pour que les suggestions deviennent la norme du jour au lendemain.

Et c’est la stratégie adoptée pour de nombreux autres aspects de cet accord, et même au-delà. Regardez le « euro numérique », le projet de monnaie numérique de l’UE, qui sera lancé en octobre. Ils disent que c’est « volontaire », car vous pouvez choisir entre l’argent liquide et l’argent numérique. Mais combien de temps pensez-vous que cela va durer ? Combien de temps avant qu’ils ne commencent à interdire l’argent liquide ? Combien de temps avant qu’ils ne commencent à lier toutes les prestations sociales ou les subventions gouvernementales à l’euro numérique uniquement ? Ils ont déjà commencé à interdire l’argent liquide en abaissant les plafonds de paiement année après année. La prochaine étape consiste à mettre en place la monnaie numérique, puis à lui donner deux ou trois ans, et ils trouveront des raisons de supprimer complètement l’argent liquide. C’est la même histoire avec le traité sur la pandémie.

La raison pour laquelle je m’intéresse à la capacité des États membres à s’opposer à ces « recommandations » est qu’il y a un passage spécifique dans le texte final (art. 22) qui stipule que rien dans ce traité ne doit être interprété comme donnant à l’OMS le pouvoir « d’imposer ou de rendre obligatoire toute exigence » aux signataires, y compris les obligations vaccinales et les confinements.

Christine Anderson : N’oubliez pas qu’il est beaucoup plus facile de modifier ou d’amender des traités que de les faire approuver au départ. Cet article sera probablement supprimé dans quelques années, ou dès que la prochaine « pandémie » sera déclarée. Tous les États membres l’auront ratifié d’ici là, et ils ne vont guère aller à contre-courant de la majorité dominante et faire tout un foin pour modifier des « détails techniques » pour le « bien commun ». C’est une pente glissante : cela commence toujours par un petit pas qui semble insignifiant sur le moment, mais qui s’accumule avec le temps. Si cela était insignifiant, comme ils veulent nous le faire croire, l’OMS n’aurait pas fait autant de pression pour que tous les pays l’acceptent.

C’est vrai, cela me rappelle le Premier ministre slovaque Robert Fico, qui a déclaré que le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, l’avait personnellement appelé au téléphone pour lui demander d’annuler le vote parlementaire sur le traité. Demander à un dirigeant élu de ne pas soumettre une décision au parlement national ne me semble pas très démocratique, ni ne souligne l’aspect « volontaire » de l’accord.

Christine Anderson : Je vous avais bien dit qu’ils ne céderaient pas. C’était leur plan depuis le début : accorder des pouvoirs gouvernementaux à l’OMS, un organisme qui n’est élu par personne et qui n’a donc de comptes à rendre à personne. Il n’y a aucun processus démocratique, le but est d’exclure le peuple des décisions. Bien sûr, les super-riches de ce monde, comme Bill Gates, peuvent acheter leur place à l’OMS, et ensuite décider si vous devez vous faire vacciner avec un vaccin à ARNm, porter un masque, rester chez vous, perdre votre emploi, etc. Comme je l’ai dit, ils ne céderont pas. Même s’ils doivent faire un pas en arrière, ils le feront, mais ils n’arrêteront pas tant qu’ils n’auront pas accompli leur « mission ».

Pensez-vous que les pays européens devraient suivre l’exemple des États-Unis et se retirer de l’OMS ?

Christine Anderson : Absolument. À tout le moins, l’OMS ne s’intéresse pas à la santé publique. Ce n’est qu’un groupe de pression au service des grandes entreprises pharmaceutiques. L’OMS s’intéresse autant à la santé publique que l’industrie de l’armement à la paix mondiale, c’est-à-dire pas du tout. En principe, il n’y a rien de mal à avoir une institution qui recueille des informations et conseille éventuellement les gouvernements du monde entier, mais la manière dont elle procède actuellement consiste à exercer un pouvoir sur les États membres. Et elle doit le faire, car c’est le seul moyen de garantir que les grandes entreprises pharmaceutiques continueront à engranger des milliards et des milliards de bénéfices.

Nous voyons comment la Commission européenne fait tout ce qui est en son pouvoir pour que Ursula von der Leyen échappe à ses responsabilités dans l’affaire Pfizergate . S’agit-il vraiment de vaccins et de corruption, ou y a-t-il autre chose ?

Christine Anderson : Le pouvoir. Ils ont vraiment peur à ce stade, car ils voient leur pouvoir leur échapper. Si vous regardez les résultats des élections dans les différents pays, les partis de droite sont en hausse. Ils perdent le contrôle du discours, ils perdent le contrôle des élections. Ils perdent le contrôle, c’est aussi simple que cela. Ils feront donc tout ce qu’il faut pour protéger et préserver ce qui leur reste. C’est aussi la raison pour laquelle ils mettent en place tous ces nouveaux mécanismes visant à censurer les « discours de haine » et la « désinformation » sur les réseaux sociaux, car il est crucial pour eux de réprimer les voix dissidentes.

Si vous voulez imposer un discours, vous devez vous assurer que personne ne puisse le contester. Chaque voix dissidente a le pouvoir de briser leur cycle de mensonges et d’exposer la réalité au public, un peu comme le petit garçon qui a crié « Le roi est nu ! ». C’est pourquoi ils ont besoin de la censure, car chaque voix dissidente contribue à ce que davantage de personnes voient la vérité. Et c’est d’ailleurs la marque du totalitarisme, dans lequel nous glissons chaque jour un peu plus.

L’Assemblée mondiale de la Santé adopte un accord historique sur les pandémies pour un monde plus équitable et plus sûr face aux futures pandémies

L’Assemblée mondiale de la Santé adopte un accord historiquesur les pandémies pour un monde plus équitable et plus sûrface aux futures pandémies

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20 mai 2025 Communiqué de presse

Genève

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  • L’adoption de l’Accord fait suite à trois ans de négociations intenses lancées pour remédier aux lacunes et aux inégalités recensées lors de la riposte à la COVID-19 au niveau national et mondial.
  • L’Accord encourage la collaboration mondiale pour garantir une riposte plus forte et plus équitable face aux futures pandémies.
  • Les prochaines étapes comprennent des négociations sur le système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages.

Les États Membres de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont officiellement adopté aujourd’hui par consensus le premier accord mondial sur les pandémies. Cette décision historique de la Soixante-Dix-Huitième Assemblée mondiale de la Santé est l’aboutissement de plus de trois ans de négociations intenses lancées par les gouvernements en réponse aux effets dévastateurs de la pandémie de COVID-19, et motivées par l’objectif de rendre le monde plus sûr face aux futures pandémies, et plus équitable dans sa riposte face à celles-ci.

« Le monde est plus sûr désormais grâce au leadership, à la collaboration et à l’engagement dont ont fait preuve nos États Membres pour adopter l’historique Accord de l’OMS sur les pandémies », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS. « L’Accord est une victoire pour la santé publique, la science et l’action multilatérale. Il nous permettra de mieux protéger, collectivement, le monde contre les menaces pandémiques à venir. Il représente aussi la reconnaissance par la communauté internationale qu’il convient d’agir pour que nos citoyens, nos sociétés et nos économies ne soient plus vulnérables et ne subissent à nouveau les pertes endurées pendant la COVID-19.

Les gouvernements ont adopté aujourd’hui l’Accord de l’OMS sur les pandémies lors d’une séance plénière de l’Assemblée mondiale de la Santé, le principal organe de décision de l’OMS. Cette adoption fait suite à l’approbation hier de l’Accord par un vote en commission (124 voix pour, zéro objection, 11 abstentions) par les délégations des États Membres.

« Au plus fort de la pandémie de COVID-19, les gouvernements des quatre coins du monde ont agi avec beaucoup de détermination et de dévouement, conscients de l’urgence, et ce faisant, exerçant ainsi leur souveraineté nationale, ont commencé à négocier l’historique Accord de l’OMS sur les pandémies qui a été adopté aujourd’hui », a déclaré le Dr Teodoro Herbosa, Secrétaire du Département philippin de la santé et Président de l’Assemblée mondiale de la Santé cette année, qui a présidé à l’adoption de l’Accord. « Maintenant que l’Accord a vu le jour, nous devons tous agir avec la même urgence pour mettre en œuvre ses composantes essentielles, y compris les systèmes visant à garantir un accès équitable aux produits de santé vitaux liés aux pandémies. La COVID-19 a été une situation d’urgence unique dans une vie, et c’est pourquoi l’Accord de l’OMS sur les pandémies offre une occasion unique de tirer les leçons de cette crise et de veiller à ce que les populations du monde entier soient mieux protégées si une pandémie émergeait à l’avenir.

L’Accord de l’OMS sur les pandémies définit les principes, les approches et les outils permettant d’améliorer la coordination internationale dans toute une série de domaines, afin de renforcer l’architecture sanitaire mondiale pour la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies, et notamment l’accès équitable et rapide aux vaccins, aux traitements et aux produits de diagnostic.

Pour ce qui est de la souveraineté nationale, l’Accord précise qu’« aucune disposition de l’Accord de l’OMS sur les pandémies ne doit être interprétée comme conférant au Secrétariat de l’Organisation mondiale de la Santé, y compris au Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé, le pouvoir d’orienter, d’ordonner, de modifier ou de prescrire de toute autre manière le droit national et/ou interne, selon qu’il convient, d’une Partie, ou de prescrire ou d’imposer de toute autre manière aux Parties de prendre des mesures spécifiques, telles que l’interdiction ou l’acceptation des voyageurs, l’instauration de l’obligation de vaccination ou de mesures thérapeutiques ou diagnostiques, ou la mise en place de mesures de confinement. ».

Notes aux rédactions

La résolution sur l’Accord de l’OMS sur les pandémies adoptée par l’Assemblée mondiale de la Santé définit les étapes à suivre pour préparer la mise en œuvre de l’Accord. Elle prévoit le lancement d’un processus pour rédiger et négocier un système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages découlant de leur utilisation (Système PABS) par le biais d’un groupe de travail intergouvernemental. Le résultat de ce processus sera examiné lors de l’Assemblée mondiale de la Santé de l’année prochaine.

Une fois que l’Assemblée aura adopté l’annexe relative au Système PABS, l’Accord de l’OMS sur les pandémies sera ouvert à la signature et à l’examen en vue de sa ratification, notamment par les organes législatifs nationaux. Après 60 ratifications, l’Accord entrera en vigueur.

En outre, les États Membres ont également demandé au groupe de travail intergouvernemental de prendre des mesures pour permettre la mise en place du mécanisme de coordination financière pour la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies, et du réseau mondial de chaîne d’approvisionnement et de logistique (« Réseau GSCL ») en vue « d’élargir, de faciliter et de garantir un accès équitable, en temps opportun, sûr, rapide et abordable aux produits de santé liés aux pandémies, au bénéfice des pays qui en ont besoin pendant les urgences de santé publique de portée internationale – y compris les urgences dues à une pandémie –, ainsi que de s’efforcer d’éliminer les obstacles à cet égard, et afin de prévenir ces situations d’urgence. »

Selon l’Accord, les fabricants de produits pharmaceutiques participant au Système PABS joueront un rôle clé dans l’accès équitable et en temps opportun aux produits de santé liés aux pandémies en mettant à la disposition de l’OMS « un accès rapide à un pourcentage visé de 20 % de [leur] production en temps réel de vaccins, de traitements et de produits de diagnostic sûrs, de qualité et efficaces visant l’agent pathogène responsable de l’urgence due à une pandémie. ». La distribution de ces produits aux pays se fera en fonction des risques et des besoins en santé publique, en accordant une attention particulière aux besoins des pays en développement.

L’Accord de l’OMS sur les pandémies est le deuxième accord juridique international négocié en vertu de l’article 19 de la Constitution de l’OMS, le premier étant la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac, adoptée en 2003 et entrée en vigueur en 2005.

PDF - accord mondial sur les pandémies :

https://mai68.org/spip3/IMG/pdf/A78…

La résolution sur l’Accord de l’OMS :

https://mai68.org/spip3/IMG/pdf/A78…

4 Messages de forum

  • Malheureusement, «  l’extrême gauche a pris du retard » dans de nombreux domaines : comme dans la sortie de l’Otan, de l’UE, de l’Euro et bien sûr de l’Oms, mais pas que, dans la critique des vaccins, qu’ils soient, obligatoires comme les 13 vaccins des nourrissons de moins d’un an, ou comme pour les injections expérimentales contre les coronavirus, l’extrême gauche systématiquement collabore et protège l’industrie de Big-Pharma, de la même manière qu’elle protège l’industrie de l’armement en cautionnant la livraison d’armes aux sionistes d’Israël et aux nazis d’Ukraine… etc

    “La gauche de la gauche a perdu le vote des plus modestes car elle alimente le spectacle politique en surjouant une mythologie ouvrière qui ne peut plus parler aux nouvelles classes populaires”.

    Christophe Guilly dans “La France périphérique”

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    • Salut a_suivre,

      Je ne pense pas que l’extrême gauche "protège l’industrie de l’armement en cautionnant la livraison d’armes aux sionistes d’Israël". À ma connaissance, à gauche, seule une fraction du P"S" cautionne Israël.

      Le patron du PS Olivier Faure dénonce, à son tour, le génocide (vidéo 1’36) :

      https://mai68.org/spip3/spip.php?ar…

      Par contre il est bien clair que le Front National soutient aussi bien Israël que Zélinsky !

      Et, si je crois me souvenir que dans le NPA il y a des gens qui voulaient, au début, envoyer des armes en Ukraine, Je crois bien que ce n’était pas le cas de Lutte Ouvrière ou du POI.

      Quant à "Big Pharma" voici que que disait Nathalie Artaud de LO :

      http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

      Bien à toi,
      do
      http://mai68.org

      Répondre à ce message

      • Bonjour Do,

        Merci pour ta réponse qui précise, malheureusement, qu’aujourd’hui en France, l’extrême gauche dans de nombreux domaines est vraiment mou du genou.

        En même temps ce qui m’énerve, c’est d’en voir certains s’éparpiller dans des combats inutiles, se mobiliser contre des personnes qui ont le mérite de lutter seules, à leur manière, contre le système, par exemple comme :

        Pierre Chaillot, de Décoder l’éco : https://www.youtube.com/watch?v=lc1…

        ou comme le Dr Louis Fouché qui dans le Morbihan est qualifié d’antivax par des antifas !?
        https://www.ouest-france.fr/bretagn…

        En quoi ces deux personnes dérange l’extrême gauche ?

        Comme il ne faut jamais cracher dans la soupe, je vais en profiter pour rendre hommage au Camarade Député Jérôme Legavre - qui n’a pas été réélu - mais qui est le seul Député, le 30 novembre 2022, à avoir voté contre une proposition de résolution «  affirmant le soutien de l’Assemblée nationale à l’Ukraine et condamnant la guerre menée par la Fédération de Russie  ». : http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

        Bien à toi
        Amicalement
        A_suivre

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    • Le bouquin de Christophe Guilly semble avoir été nettement « prémonitoire » du mouvement GJ et possède donc à priori une relative pertinence, même s’il date de 2014.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/La_France_p%C3%A9riph%C3%A9rique

      En tout cas l’extrait cité :

      “La gauche de la gauche a perdu le vote des plus modestes car elle alimente le spectacle politique en surjouant une mythologie ouvrière qui ne peut plus parler aux nouvelles classes populaires”.

      …Est plus que jamais pertinent, malheureusement, mais c’est simplement une réalité et un constat qu’il faut avoir le « courage » de faire pour simplement se remettre précisément en phase avec la réalité du XXIe siècle :

      La « classe ouvrière » au sens du prolétariat industriel fonctionnant comme « cheville ouvrière » unificatrice de la gauche a tout simplement cessé d’exister en tant que classe en soi et pour soi.

      Il est au contraire « éparpillé » entre des unités de production de plus en plus dispersées et réduites, du fait de la « délocalisation », et de plus « ethnicisées » le plus souvent, du fait d’une politique migratoire durablement conçue à cet effet.

      C’est donc malheureusement assez « naturellement », au fil des décennies, que ce qui reste de la classe ouvrière « française de souche », ou même de quelques générations déjà, s’est « divisée » et rapprochée de l’extrême droite nationale-populiste.

      Réunifier les nouvelles classes populaires, si même encore possible, passe donc par une restructuration complète des concepts politiques et idéologiques, sur la base de la réalité économique et sociale actuelle, tenant compte en tout premier lieu des effets pervers de la mondialisation. Une restructuration à laquelle la gauche actuelle reste tout à fait « imperméable » et à laquelle elle ne songe même pas du tout, sans le moindre commencement de réflexion, sauf peut-être le QG d’Aude Lancelin, ni la moindre « étincelle », même à supposer que la plaine soit tout à fait à sec et inflammable !

      En ce sens même le mouvement GJ était une sorte de « feu de paille avorté », qui n’a pas réellement survécu à sa première flambée, se contentant d’entretenir quelques braises pathétiques. Et le mouvement « anti-pass », après quelques bons débuts, n’a pas su faire mieux, incapable de faire face au nouveau contexte géopolitique qui a immédiatement suivi la « crise covid ».

      En tout cas, si effectivement le clivage « droite-gauche » est moins pertinent que jamais, reste à trouver une expression politique de la réalité actuelle, qui ne peut, si elle se produit, que transcender définitivement, par la simple force du réel, ce clivage qui achève de perdre tout sens, sauf, comme on le voit actuellement, à se muer en clivage communautariste et ethnique, ce qui est la pire des situations, sauf pour le système, évidemment. Ceci expliquant cela… Ce que l’on « vit » depuis la dernière « dissolution » macroniste : une « dissolution », pas essentiellement du parlement, en fin de compte, mais de la société française, de la nation française, ou du peu qu’il en restait !

      Luniterre

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