Le capitalisme est, par essence, un phénomène dialectique. Mais l’« idéal » du capitaliste reste le plus court chemin, A-A’, pour l’accumulation du capital… Depuis l’usure antique, ce n’est que par l’évolution des rapports de production et la nécessité de son implication de plus en plus directe dans le processus productif qu’il a, en partie, mais en partie seulement, pris conscience que la source réelle de son « bonheur » est la sueur du travailleur !
Essentiellement par nécessité politique, en outre, de justifier sa domination, sinon par pure hypocrisie, ce qui revient le plus souvent au même, du reste, il tente par tous les moyens de dissimuler cette réalité basique…
Mais cette chape d’ignorance en ramène néanmoins une grande partie d’entre eux à leur chimère A-A’…
Tout capital a donc nécessairement un double caractère, et « productif » et « spéculatif ».