Ces deux derniers samedis ont été extrêmement éprouvants. Si l’État a le monopole de la violence physique légitime, l’usage de la force pour maintenir l’ordre public et assurer la sécurité des interventions est une lourde responsabilité pour chacun. Dans les conditions difficiles imposées violence à l’égard des policiers et des institutions, le respect des libertés fondamentales, la déontologie, et le discernement doivent néanmoins toujours présider à l’action. Je sais pouvoir compter sur la maîtrise, le sang-froid et le professionnalisme de tous, ainsi que sur la rigueur et l’engagement sans faille des (...)