Extrait du France 3 Auvergne du 25 février 2018 à 18h59
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Conclusion :
S’il y a eu la guerre à Clermont-Ferrand pendant 4 heures le samedi 23 février 2019 pour l’acte XV des Gilets Jaunes, c’est uniquement de la faute des autorités. Car si elles avaient fait comme d’habitude, tout se serait passé comme d’habitude. C’est-à-dire sans "violence". Mais, comme je l’ai expliqué précédemment, elles ont cherché la guerre et elles l’ont obtenue !
À Clermont-Ferrand, cette manifestation se serait passé sans heurts si le pouvoir n’avait pas pris toutes ces mesures de barricadement de la ville, si elle n’avait pas déplacé la gare routière hors de la ville, si elle n’avait pas fouillé les gens, si la banlieue avait pu se rendre à la manif en tramway, et surtout si les flics n’avaient pas arrosé la manif de gaz lacrymogènes.
Si encore les "casseurs" étaient venus d’ailleurs, on aurait pu croire que c’étaient des "professionnels de la casse" venus spécialement pour "casser" ; mais non, les "casseurs" étaient des Clermontois et n’ont fait que répondre au provocations policières. Les "casseurs" n’étaient donc pas des casseurs !