C’est d’une évidence, d’une limpidité stupéfiante de vérité mais comment ne pas se prosterner devant votre jugement ? Ne pas voir avec vos yeux, ne pas entendre avec votre ouïe et surtout ne pas penser avec votre intellect…
Oh, merci pour votre juste et divine intervention cléricale.
Vous avez su trouver les mots pour me convaincre de mes erreurs d’impie. Avant je n’étais qu’une brebis égarée maintenant grâce à vos lumières, j’ai enfin trouvé la béatitude enivrante du troupeau glorieux marchant d’un même pas sur le chemin des abattoirs.
Que vos steaks soient sanctifiés par les braises encore ardentes, des (...)